Sour El Ghozlane

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communes : bouira, haizer, ain turk et oued el berdi pour 19131 abonnes. · Centre de Lakhdaria : Gère 06 communes : lakhdaria, aomar, kadiria, djebahia, guerrouma et zberber pour 11508 abonnée. · Centre de Sour El Ghozlaine : Gère 02 communes : sour el ghozlaine et dirah pour 7207

performances réalisées (Arrêt de l’importation détergents et début de l’exportation). - Finalisation dossier patrimoine (Passage Projet – Unité) - ❖ 1987/1989 : Muté pour raisons de service comme Directeur Complexe Détergent ENAD Sour-EL-Ghozlane (ex- SNIC). - Stabilisation du complexe. ❖ Pris en charge du problème d’eau. ❖ 1989/1996 : Muté pour raisons de service comme Directeur au Complexe peintures ENAP SOUK-AHRAS (ex- SNIC), installé par le représentant du Ministère

du sultan Ennacer qui a construit le palais du Manar pour la princesse Bellara dont il était tombé amoureux fou, et puis des huit émirs qui se sont succédé à la Qalaâ depuis sa fondation par Hammad Ben Ziri. Il s’agit, dans l’ordre, d’ El Qaïd, de Mohcene Ben El Qaïd de Bologhine, de Nacer Ben Alennas, le fondateur de Béjaïa, de Mansour le fondateur de Mansoura à Tlemcen, de Badis Ben Mansour, d’El Aziz Ben Mansour, puis de Yahia, le dernier prince hammadide qui a quitté la Qalaâ en 1152 après la

Tous ces paramètres nous ont conduit à faire une étude de formulation de béton appropriée. 9. Etude de la formulation du béton : La première formulation de béton avait une granularité de 0/32.5 avec un ciment CPJ-CEM II/A 32.5 (ciment de sour el ghozlane) et adjuvant à base de naphtalène sulfoné. Le problème qu’on a rencontré c’est qu’avec cette formulation on obtenait difficilement le C40/50 et la mise en oeuvre du béton par pompage été difficile. Cela est du aux facteurs suivants : Les agrégats

Touta) 1986 02 lignes de production 767 000 tonnes/an, une probable troisième ligne. SCIZ (Zahana) 1976, 02 lignes de production 760 000 tonnes – SCT Tébessa (1995), 01 ligne de production 580 000 tonnes (03% de l’offre mise sur le marché). SCSEG (Sour El-Ghozlane) 1983, 1 ligne de production 1,1 MT/an. – SCAL (Alger) 1914, rénové en 1958, 2 lignes de production,175 000 tonnes. – SCIS Saïda 1979, 1 ligne de production, 470 000 tonnes. – SCIM (Meftah) Mitidja 1975, 01 ligne de production 926 000 tonnes

mériterait amplement d’être réédité, est rendu par Sadek Sellam dans L’ Islam et les Musulmans en France, Paris : Editions Tougui, 1987, pp. 353-357 et par Nourredine Khendoudi dans La théorie de la civilisation chez Malek Bennabi, Alger/Paris : Editions El Borhane/Editions Tougui, 1993, pp. 89-83. Ces deux essais renferment la bibliographie complète de Tazerout, avec cependant quelques erreurs dans les dates de parution des ouvrages publiés par Subervie. 6 Je n’ pas pu consulter cet ouvrage. ai 1

militaires nous relâchaient, nous refuserions, car où aller dans ce paysage désolant et aride. J’ai déduit qu’ils ont refusé de faire équipe avec nous et nous les avons oubliés. Le 2° candidat à l’évasion ; nous a réconforté, il s’agit du frère HAMA el-Guelmi. Ce fameux type je m’en souviendrai toujours de son courage et de son enthousiasme pour notre projet. Il restait un 4° candidat à l’évasion, nous avons mis notre dévolu sur le frère SI ALI Ksentini. Le frère YACEF M’hamed, a sollicité 2 détenus

passée alors à 10.000.000 T/an. Date début de production Avant 1962 1973 1975 1975 1977 1978 1978 1979 1979 1980 1982 1983 Usine Rais Hamidou Zahana 1 Meftah Hadjar soud 1 Meftah 2 Hadjar soud 2 Zahana 2 Chlef 1 Ain El Kebira Saida Béni Saf Chlef 2 Hamma Bouziane Sour El Ghozlane Capacité installée T/an 400.000 200.000 0.000 450.000 1.000.000 450.000 1.000.000 1.000.000 1.000.000 500.000 1.000.000 1.000.000 1.000.000 1.000.000 10.0000.000 Constructeur de l’usine La Pointe Lafarge Cado Lafarge

Les souks urbains sont linéaires longeant des rues et ruelles et ponctuées par d’importants équipements comme le centre du pouvoir. La Djina. Les remparts de la médina donnent sur les alentours à partir des portes : Bab-Azoun, Bab-El-Djedid, Bab-Edzira et Bab-El-Oued. Souks et mosquées sont les pôles qui articulent la ville, traduisent clairement deux principales fonctions : commerciale et religieuse. La structure socio-économique de la ville s’organisait en rapport avec les corporations