Sourcil

source. L'Arabe n'a pas bougé. Malgré tout, il était encore assez loin. Peut-être à cause des ombres sur son visage, il avait l'air de rire. J'ai attendu. La brûlure du soleil gagnait mes joues et j'ai senti des gouttes de sueur s'amasser dans mes sourcils. C'était le même soleil que le jour où j'avais enterré maman et, comme alors, le front surtout me faisait mal et toutes ses veines battaient ensemble sous la peau. A cause de cette brûlure que je ne pouvais plus supporter, j'ai fait un mouvement

20 Je baissai les yeux et rougis. Quel regard, en effet ! Comme elle était belle, cette femme ! Je vois encore cette prunelle ardente sous un sourcil noir se fixer sur moi comme un soleil. Elle était grande, brune, avec de magnifiques cheveux noirs qui lui tombaient en tresses sur les épaules ; son nez était grec, ses yeux brûlants, ses sourcils hauts et 25 admirablement arqués, sa peau était ardente et comme veloutée avec de l'or ; elle était mince et fine, on voyait des veines d'azur serpenter

serpillière, ranger la réserve, nettoyer la poussière, étendre la machine de serviettes et de collants d’esthétiques, vider les poubelles, vendre des produits cosmétiques, observer une épilation du maillot, des aisselles, des jambes entières et des sourcils, prise de rendez-vous. Les horaires: La première semaine: 10h00/13h00 14h00/19h00 La deuxième semaine: 10h00/13h00 14h00/18h00

regarda. Je baissai les yeux et rougis. Quel regard, en effet ! Comme elle était belle, cette femme ! Je vois encore cette prunelle ardente sous un sourcil noir se fixer sur moi comme un soleil. Elle était grande, brune, avec de magnifiques cheveux noirs qui lui tombaient en tresses sur les épaules ; son nez était grec, ses yeux brûlants, ses sourcils hauts et admirablement arqués, sa peau était ardente et comme veloutée avec de l'or ; elle était mince et fine, on voyait des veines d'azur serpenter

versions de la scène de la rencontre Mémoires d’un fou (1838) Comme elle était belle, cette femme ! Je vois encore cette prunelle ardente sous un sourcil noir se fixer sur moi comme un soleil. Elle était grande, brune, avec de magnifiques cheveux noirs qui lui tombaient en tresses sur les épaules ; son nez était grec, ses yeux brûlants, ses sourcils hauts et admirablement arqués, sa peau était ardente et comme veloutée avec de l’or ; elle était mince et fine, on voyait des veines d’azur serpenter

antique : c'étaient un front et un nez grecs, la blancheur veloutée des femmes, des yeux noirs tant ils étaient bleus, des yeux pleins d'amour, et dont le cristallin le disputait en fraîcheur à celui d'un enfant. Ses beaux yeux étaient surmontés de sourcils comme tracés par un pinceau chinois et bordés de longs cils châtains. Le long des joues brillait un duvet soyeux dont la couleur s'harmonisait à celle d'une blonde chevelure naturellement bouclée. Une suavité divine respirait dans ses tempes d'un

regarda. Je baissai les yeux et rougis. Quel regard, en effet ! Comme elle était belle, cette femme ! Je vois encore cette prunelle ardente sous un sourcil noir se fixer sur moi comme un soleil. Elle était grande, brune, avec de magnifiques cheveux noirs qui lui tombaient en tresses sur les épaules ; son nez était grec, ses yeux brûlants, ses sourcils hauts et admirablement arqués, sa peau était ardente et comme veloutée avec de l'or ; elle était mince et fine, on voyait des veines d'azur serpenter

on a le sentiment de se trouver devant deux têtes autonomes, presque flottantes. De nombreuses similitudes de formes et d’effets de matière apparaissent : l’ovale des visages et de leurs ombres portées, l’allongement des paupières, des cils et des sourcils, les bouches petites, les chevelures peignées, l’aspect lisse des peaux. Pourtant cette photographie est construite par des jeux de contrastes entre le noir et le blanc, et l’éclairage façonne l’inversion entre les valeurs. Le volume du visage d’Alice

Résumé de la nuit du renard Personnages : Ronald Thompson : 19 ans, va mourir sur la chaise électrique Steven Peterson : rédacteur en chef du magazine L’Événement, 30 ans, cheveux cendrés, parsemés de fils gris, décoiffés, sourcils sombres, yeux bleu hivernal, POUR la peine de mort. Sharon Martin : journaliste, auteur Le Crime de la peine capitale, cheveux couleur miel, chignon lâche, pèse 60 kilos CONTRE la peine de mort. Nina : femme de Steven Thompson, assassiné étouffée, petite et menue

C’est magnifique parce que les phoques sont très rares. Ils sont en danger d’extinction. Il est proche a moi; seulement cinquante mètres. Je veux seulement le voir, mais son intrigue l’a conduit vers moi. Son visage, rond et brun noir, sauf des sourcils et une moustache, me regarde. Je le regarde aussi. J’entre dans l’eau lentement et nous nous approchons de l’autre. Nous arrêtons. Je m'émerveille de ce grand corps qui se bouge vers moi dans des vagues comme un poisson. Il avance vers moi en utilisant