Spasme

1.Le spasme du sanglot 1.1 Définition : -C'est une manifestation de colère, de rage, de douleur ou de peur qui aboutit à la pâmoison avec perte de connaissance toujours réversible. Les spasmes du sanglot apparaissent à partir de l’âge de 9 ou 10 mois, dans deux circonstances précises : lorsque l’enfant est en colère, parce qu’on lui a refusé quelque chose ou lorsqu’il a eu un peu mal (quand il s’est légèrement cogné à un meuble, par exemple), Et que sa légère douleur s’accompagne de

muscles des paupières, qui entraîne la fermeture de ces dernières. Les spasmes peuvent devenir suffisamment fréquents pour empêcher le sujet de bien voir, bien que ses yeux et sa vision soient normaux. D'autres muscles du visage peuvent également être atteints, entraînant des grimaces ou d'autres distorsions faciales.   * La dystonie cervicale (torticolis spasmodique) atteint les muscles du cou et des épaules. Les spasmes musculaires forcent le cou à se pencher d'un côté (torticolis), vers l'avant

et on ma ammener à l'infirmerie et elle a apeler sos médecin, paske mon pouls etait élever. Ils sont venus, mon fait un électro cardiogramme qui a rien donner. J'ai des rdv a prendre chez un pneumologue et cardiologue.. j'ai peut être des broncho spasmes ou une petite malformation cardiaque... Et aussi à midi ya ma meilleure amie qui a manger chez moi et après on était sur le canapé tranquil et elle a eu à un appel de sa cousine et elle me dit jdois yaller et elle part alors qu'on devait passer laprem

La Négritude: http://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9gritude |   |   |   |   |   | |   | Mot Parmi moi de moi-même à moi-même hors toute constellation en mes mains serré seulement le rare hoquet d’un ultime spasme délirant vibre mot j’aurai chance hors du labyrinthe plus long plus large vibre en ondes de plus en plus serrées en lasso où me prendre en corde où me pendre et que me clouent toutes les flèches et leur curare le plus amer au beau poteau – mitan de

regards. Voici le troupeau roux des tordeuses de hanches : Soyez fous, vous serez drôles, étant hagards ! Tas de chiennes en rut mangeant des cataplasmes, Le cri des maisons d'or vous réclame. Volez ! Mangez ! Voici la nuit de joie aux profonds spasmes Qui descend dans la rue. Ô buveurs désolés, Buvez ! Quand la lumière arrive intense et folle, Fouillant à vos côtés les luxes ruisselants, Vous n'allez pas baver, sans geste, sans parole, Dans vos verres, les yeux perdus aux lointains blancs

Parce que chaque gestes sensuels et doux de sa part m'animaient d'un spasme profondément jouissant. Parce que sa peau se mélangeait à la mienne et que j'y posais mes doigts pour les transformer en de fines caresses. Et parce que ses lèvres rosées murmuraient de fructueux « embrasse - moi », je leur obéissais, les mordants avec douceur parfois. Ma langue était une danseuse folle que je ne maîtrisais plus et qui dévorait avec passion les parcelles les plus infimes de son corps dénudé. Puis ses doigts

de "Jeanne". Le leccteur peu ainsi mieu représenter la scéne et ainsi ce mettre à la place du personnage . Ce sont des mots assez fort que l'auteur utilise pour exprimer la souffrance de "Jeanne'' . '' Mes une convulsion effroyable la saisit , un spasme [...] cruel'' . l(24). Les mots "effroyable " et "cruelé" sont utilisés pour bien nous faire comprend se que peu endurer "Jeanne". Cela donne du poid à la déscription comme si l'auteur voulait que ses lecteurs soient marqués par les souffrances

déchirait si cruellement les entrailles ». Le fait que ce verbe soit à l’imparfait exprime l’idée d’une déchirure qui dure longtemps. À l’adverbe « cruellement », ici précédé de l’adverbe d’intensité « si », répond plus loin l’adjectif « cruel » : « un spasme si cruel ». Une nouvelle fois, le narrateur en souligne l’acuité avec l’adverbe d’intensité « si ». De même, la crise est qualifiée de « tellement violente ». Les douleurs de

sensible dans le rire, c’est un évènement qui atteint, qui touche. En un mot, c’est le corps qui rit, par « autorisation » corticale. Le terme d’hilarité rend bien compte de ce que le rire a de physique, comme l’ illustre Gotlib. Ainsi tous ces spasmes qui accélèrent la respiration peuvent aussi l’ handicaper, comme le nuance J. Evola et/ou la fortifier dans l’excès, comme le démontre à l’envie l’attitude relevant du gesticulatoire et du jubilatoire chez Rabelais, mettant en scène son géant Gargantua

d’intensité « si », répond plus loin l’adjectif « cruel » : « un spasme si cruel ». Une nouvelle fois, le narrateur en souligne l’acuité avec l’adverbe d’intensité « si ». De même, la crise est qualifiée de « tellement violente ». Les douleurs de Cned – 7FR20CTPA0112 1/4 l’accouchement sont des douleurs particulières dues aux contractions. En observateur réaliste, le narrateur les désigne en effet sous le nom de « spasmes » ou de « convulsions » et il utilise aussi le mot « crise » lorsqu’elles