Spectaculaire Dom Juan

avec la tragédie et corriger les mœurs en riant avec la comédie. 3 grandes dramturges de cette époque : - « le cid »  de pierre corneille - Molière : écrivain et comédien, auteur notamment de « l’école des femmes » ou encore « Tartuffe » ou « Dom Juan » - Jean Racines : plus grand auteur des tragédies du siècle e) Le 18e s. en France Les comédiens italiens ont beaucoup de succès en France avec leur spectacle théâtral : la Comedia dell’arte. C’est un théâtre d’improvisation à partir

Grave Countess Dracula Dr. Jekyll and Sister Hyde Orange mécanique Phase IV LE FANTASTIQUE AU CINÉMA 2.7 Les années 70 Un regain évident du film fantastique et du film policier a lieu aux Etats-Unis. En mettant en scène des histoires spectaculaires faisant appel à des trucages élaborés, le cinéma américain essaye de contrer l’essor de la télévision. En science-fiction, c’est le début du règne des space operas et le grand public se rend enfin dans les salles obscures où passent les films

mots avec gag visuel) - Zazie est une créatrice à sa manière : Vénus de Milo improvisée alter ego enfantin et féminin de l’auteur, muse de Queneau 29.43 les mannequins Zazie • Séquence 3 : Gaby sur la tour Eiffel I Une scène spectaculaire 1) des incongruités scénaristiques - la colère surjouée de Charles - une femme lit son journal à l'envers - Gaby finit en bas de la tour direct dans un tas de sable Gaby descendu d'un coup du 3ème étage de la tour grâce aux ballons, comme

Argument Résumé de l'histoire que la pièce met en scène. Pavis 1987. On parle également d'un argument de ballet. Arlequinade Pièce, avec ou sans paroles, ayant Arlequin pour personnage central. Il peut s'agir de la réécriture d'une pièce connue, comme Dom Juan, dont une version, Le Festin de pierre, attribue à Arlequin le rôle du valet. Cette version a été présentée à Québec en 1765. Robert 1991; Corvin 1991 Assonance Répétition du même son, spécialement de la voyelle accentuée à la fin de chaque vers

c’est la statue d’un mort qui parle et bouge. Dans les deux cas la mort a était invitée a manger par le séducteur et dans les deux cas, la mort emporte les pécheurs.Donc la pièce de Tardieu est bien une imitation comiques, une parodie de la pièce dom Juan de molière.Faust et Yorickcette pièce est une parodie de 2 pièce de théâtre le Faust de GoetheFaust est un savent qui rêve d’obtenir le savoir universel pour ce faire, il fait un pacte avec le diable son âme en échange de la connaissance universel

s'est développée au détriment du spectaculaire et les pièces classiques accordent beaucoup de place à l'expression des sentiments et à l'analyse psychologique. La règle de bienséance oblige à ne représenter sur scène que ce qui ne choquera pas le public. On écarte la violence physique, mais aussi l'intimité physique. Les scènes violentes doivent ainsi être racontées par un personnage. Quelques exceptions sont restées célèbres comme les morts de Phèdre et de Dom Juan dans les pièces éponymes de Racine et

vaudeville de Cour à l’adresse de bourgeoises fascinées par la vie des Grands. On évoque les intrigues : « vie bruyante de débauches », « duels », « paris », « femmes enlevées » de ce Dom Juan de la cour de Marie-Antoinette, ainsi que la violence et l’excès d’une telle vie, avec un vocabulaire éloquent, spectaculaire : « dévoré », « effrayé », « couché ». De plus, le rythme essoufflé donné à la phrase « Il avait mené une vie bruyante de débauches, de paris, de femmes enlevées, avait dévoré sa fortune

objectifs didactiques apparaissent-ils nettement : – faire saisir aux élèves qu’ils étudient telle ou telle œuvre en ce qu’elle a de singulier et de significatif, et que sa signification ouvre l’accès à un vaste domaine culturel. Exemple manifeste : Dom Juan participe de tout un ensemble d’œuvres, littéraires et artistiques, présent à travers l’Europe moderne ; – leur faire percevoir comment ces divers aspects – domaines, objets – dialoguent entre eux. Un même « sujet » grec peut avoir été repris dans

Extrait de la scène 4 de l’acte I de Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand (p. 55, v. 310, à p. 59, v. 389). Texte B : Extrait de la scène 3 de l’acte V du Mariage de Figaro de Beaumarchais (pp. 70-73). Texte C : Extrait de la scène 2 de l’acte I de Dom Juan ou le Festin de pierre de Molière (pp. 73-75). Texte D : Extrait de la scène 3 de l’acte III de Lorenzaccio d’Alfred de Musset (pp. 75-76). Texte E : Extrait de la scène 2 de l’acte II de Ruy Blas de Victor Hugo (pp. 76-78). Texte A : Extrait de

lever de son siège et de monter sur scène. Or nous décidons de ne pas le faire. La structure même de la représentation suppose à la fois que nous acceptions de croire à l’histoire tout en ayant conscience que ce que nous avons devant nous n’est ni Dom Juan ni une statue qui marche mais des gens et des accessoires. Cela a l’air d’aller de soi. Mais si on regarde de près, c’est beaucoup moins évident d’accepter de croire que Gérard Philippe n’est pas Gérard Philippe. Il y a un concret que l’on va accepter