Spinoza Spinoza La Paix Guerre

des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789 Certes, la sécurité n'est pas la liberté. Mais en un sens la sécurité est une condition de la liberté. Je me sens plus libre de sortir le soir dans la rue si la loi est appliquée qu'en temps de guerre civile. De même, je me sens plus libre d'aller et venir dans un Etat réglé par des lois que dans une jungle où je risque à chaque instant d'être attaqué par une bête sauvage. Ici, la question est de savoir si l'homme est fondamentalement bon ou mauvais

signifie en grec « citoyen du monde ». Cette idée du cosmopolitisme remonte à l’antiquité et on la retrouve chez Diogène de Sinope ainsi que chez les stoïciens. Pour Kant, l’histoire a un sens, et ce sens, c’est celui d’une humanité unie grâce une paix mondiale entre les Etats.Intro : Derrière l’apparente irrégularité actions humaines, se trouve un fil conducteur. guidé par lois universelles de la nature → les actions de l'homme sont bien déterminées. Ex : mariages, naissances

la vérité mais elle existe quand même : rein n’est certain. L’enseignement de Montaigne est que cette vérité est présente mais « en creux » il nous dit qu’elle existe mais qu’on ne l’appréhendera, l’arrêtera jamais. L’erreur de Descartes et de Spinoza est d’avoir cru pouvoir détenir la vérité .Montaigne, lui, ne s’arrête jamais de marcher vers la recherche de la vérité. Dans Montaigne on constate que ce moment vers la vérité n’est jamais achevé, mais pour Rousseau il n’est pas totalement sincère

Nulle part.     3) Cette idée d’une volonté de puissance renforcée se retrouve dans l’opinion courante selon laquelle la joie serait une forme de « motivation » supérieure. « Il faut vous motiver ! Travailler dans la joie ! » Lors de la dernière guerre, on entendait ce genre de discours. La motivation est un concept dérivé de l’intentionnalité qui signifie la direction de la conscience du sujet vers l’objet. Lemotif est l’expression abstraite de l’intention, la raison invoquée pour atteindre un

soumission. Selon Locke, il faudrait pouvoir s’opposer à un État en lui opposant des droits qui garantissent l’indépendance des individus, pour ne pas basculer dans un régime totalitaire. Cela rappelle la définition du fils, de l’esclave, et du sujet, de Spinoza, dans son œuvre Traité Théologico-politique . Le fils serait la théorie de Hobbes, protégé par ses parents en échange de son obéissance, et le sujet la théorie de Locke, obéissant à l’État, mais pouvant tout de même exprimer

(abrégé) Peut-on être homme sans être citoyen ? L'homme est-il par nature un être politique ? La finalité de l'État doit-elle être la liberté individuelle ? Existe-t-il des violences légitimes ? "La fin de l'État est donc en réalité la liberté." Spinoza La société Quel rapport entre individu et groupe ? Entre un état de nature et un état social ? Conflit entre désir de liberté absolue et les contraintes d'origine sociale (obligation de travail, répression de la sexualité, disciplines de toute nature)

la philosophie politique comme science, en la séparant nettement de l'éthique (alors que cette dernière et la politique étaient inséparables chez les trois grands penseurs de l’Antiquité qu'étaient Socrate, Platon et Aristote). En outre, aussi bien Spinoza et Hobbes que Machiavel ont cherché à fonder la philosophie politique sur l'étude de l'homme tel qu'il est — et non de ce qu'il devrait être comme le faisaient les Anciens. Cette pensée trouvera au XIX et XXème siècle une nouvelle tendance. Ce qui

http://www.citationspolitiques.com/recherche.php3?recherche=juste+guerre 1) "Les hommes en général sont plus portés à ménager celui qui se fait craindre que celui se fait aimer." Machiavel, Le Prince. 2) "La révolution sociale est une expression de cette guerre dont chaque grande grève constitue un épisode." J. Sorel, Réflexions sur la violence, Page Libre, page 372. 3) "Quelquefois, il arrive qu'une nation conserve la paix à la faveur seulement de l'apathie des sujets, menés comme

en temps de guerre, de se donner un roi, parce que les rois sont plus heureux au combat que toute autre personne souveraine. Le raisonnement est absurde, il revient à dire que, pour gagner la guerre, on doit accepter l’esclavage en temps de paix. L’état de paix est-il même imaginable, lorsque la puissance souveraine a été transférée à un seul homme, en vue précisément de la conduite d’opérations guerrières1 ? Le roi, dans un Etat de ce genre, ne saurait faire éclater que dans la guerre sa vaillance

vie qui sans cesse nous entraîne au-delà de nous-mêmes : vers les objets extérieurs pour nous les approprier, ou vers ce que nous voudrions être mais que nous ne sommes pas. 1. Le désir est-il essentiel pour comprendre ce qu'est l'homme ? • Si Spinoza a pu faire du désir l'essence même de l'homme, c'est que désirer n'est pas un phénomène accidentel mais bien le signe de notre condition humaine. • C'est d'abord le signe d'un manque : on ne désire que ce que l'on n'a pas. Il y aurait au cœur de