Spinoza Superstition

exemple, si le texte affirme que les hommes sont superstitieux parce qu'ils sont balancés entre la crainte et l'espoir et ont besoin de se rassurer. La problématique est: pourquoi les hommes deviennent-ils superstitieux? Qu'est-ce qui explique les superstitions ? Pourquoi est-il intéressant de réfléchir sur ce problème? Quelle est sa portée? En quoi a-t-il une portée universelle (c'est-à-dire concernant chacun et donc me concernant aussi)? -L'analyse du texte: expliquer n’est pas résumer ou paraphraser:

nous éloignerait de notre liberté. La liberté suppose la connaissance ; la peur est créée par des perspectives inconnues. Peur et absence de libertés sont donc liées. La liberté avant de nous effrayer, est conditionnée par nos craintes. Selon Spinoza, la liberté est une illusion due à la méconnaissance de ce qui nous détermine. Ainsi, lorsque l’on croit être libre, on est en fait trop souvent guidés par ce qui nous entoure, et surtout, contrains par la peur. La peur se définit par une crainte

mystère. Loin d'être une croyance naïve, l'expérience religieuse peut se vivre dans l'absence de certitude, voire même, comme l'a montré Kierkegaard, dans l'angoisse. La religion n'est-elle qu'une illusion ? Le rationalisme classique, avec Descartes et Spinoza, ne récuse pas la foi ; mais, il affirme l'autonomie de la raison : la foi concerne le salut de l'âme, la recherche de la vérité est l'affaire de la seule raison. Cela peut encore être, d'une certaine manière, une façon de sauver la foi, en limitant

troube sont absents. Pour Epicure le bonheur est le "plaisir en repos" de l'âme qui naît spontanément de la satisfaction des desirs naturels et nécéssaires, dont les deux plus importants sont, outre la sécurité et la santé, la sagesse et l'amitié. Spinoza aussi semble être optimiste par rapport au bonheur; selon lui l'homme peut se libérer de la souffrance due aux passions et vivre toujours plus de bonheur en comprenant sa vraie nature par l'usage de la raison. Etre heureux c'est ressentir la joie

(1764) (535 pages) Il est composé de 73 articles. Voici des extraits et des commentaires de quelques-uns. Bonne lecture ! “Antitrinitaires” Voltaire, qui déclare dans l'article ''Morale'', que : «La morale n'est point dans la superstition, elle n'est point dans les cérémonies, elle n'a rien de commun avec les dogmes. On ne peut trop répéter que tous les dogmes sont différents, et que la morale est la même chez tous les hommes qui font usage de leur raison», suggère même une solution

l'époque moderne (1492-1789), incluant une partie de la Renaissance, le XVIIe siècle, et le siècle des Lumières. La philosophie moderne est, d'une part, l'héritière de la pensée antique en bien des points. Les penseurs de l'époque moderne, comme Spinoza, Descartes, Leibniz ou Hume, sont en effet loin d'avoir rompu tout lien avec la philosophie des Anciens. Ils les connaissaient parfaitement et leur ont notamment emprunté une partie de leur vocabulaire. Mais, d'autre part, les Modernes ont souvent

désacralisé le phénomène religieux De plus, la philosophie s’oppose également à la religion car elle fait appel à la raison et donc la remise en question. D’après Socrate, c’est la rupture de la philosophie et de la religion. Pour Spinoza, la religion n’est qu’une superstition religieuse née de deux passions : la crainte et l’espoir des biens incertains jugé menaçante car les puissants s’en servent pour faire taire les revendications à la libre-pensée. La religion est alors utilisée comme un moyen de

intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste

intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste

raison par l’alphabet’’ de VOLTAIRE (1764) (535 pages) Il est composé de 73 articles. Voici des commentaires de quelques-uns. Bonne lecture ! “Antitrinitaires” «La morale n'est point dans la superstition, elle n'est point dans les cérémonies, elle n'a rien de commun avec les dogmes. On ne peut trop répéter que tous les dogmes sont différents, et que la morale est la même chez tous les hommes qui font usage de leur raison» (article “Morale”). Voltaire