Spinoza Traité Des Autorites

concernée(s) par le texte. Notions concernées = La science, la vérité. 2- Trouver et formuler la question à laquelle il répond. Question = question à laquelle le texte répond = qu'est-ce qui fonde la science? 3- Préciser le problème qu'il traite. Problème, question de la question: Le fondement de la science est-il fondé? Le principe d'objectivité (*voir en bas de la page) est-il lui même objectif? Qu'est-ce qui fonde le fondement de la science. Ce qui fonde la science est-ce la recherche

à s'assouvir et à emplir sa forme d’un contenu ; il se taille sa part selon sa force, son impatience et sa tension, sans beaucoup choisir, en grossier appétit qu’il est, et il accepte tout ce que lui hurle à l’oreille n’importe quelle voix ayant autorité - parents, maîtres, lois préjugés sociaux, opinion publique. Si l’évolution humaine est si étroitement bornée, si hésitante, si lente, souvent si régressive et si piétinante, c’est que l’instinct grégaire de l’obéissance est celui qui s’hérite le

strictes, placent le pouvoir décisionnel entre les mains des Etats membres, au travers du Conseil de l’UE et du Parlement européen. Les mécanismes budgétaires Définis à l’origine par les traités de Paris 1951 et de Rome 1957, modifications à plusieurs reprises : * A partir de 1970 et encore plus avec le traité de Lisbonne accroissement des pouvoirs du Parlement européen e, matière budgétaire * Depuis 1988 définition des « perspectives financières » qui fixent un plafond, et fixent la composition

Tricot) : "la philosophie est appelée la science de la vérité". Il n'est donc pas étonnant que nous commencions notre programme par cette notion. Pourtant, cette évidence ne manque pas de soulever plusieurs questions qu'il est nécessaire de traiter. D'abord, il s'agit de savoir quelle est précisément cette vérité que recherche le philosophe et, pour ainsi dire, tout homme. Également, de déterminer les conditions d'accès à cette vérité, le chemin vers elle. Et enfin et surtout, il faut comprendre

Platon est né dans une famille aristocratique, élève de Socrate. Il été frappé par les troubles sociaux de son époque. Il se méfié de la démocratie qui a condamné à mort son maître en 399. Sa pensée intéresse principalement la philosophie mais elle traite aussi les fonctionnements de la société. Platon fondateur de l’académie (former les hommes d’état) la pensée de Platon est d’abord idéaliste c’est-à-dire «  la réalité, le monde sensible ne sont que le reflet d’un monde préexistant celui des idées…

sur un bien commun imaginaire. Les passions sont combattues par d'autres passions, d'où la crainte des lois. Le bien se fait synonyme de bon relatif à des lois établies par convention comme production imaginaire. Il y a bien là une anthropologie (Spinoza). • Genèse La gloire et l'orgueil ne sont que le résultat des passions primitives (la reproduction de l'espèce n'étant qu'épisodique et sans valeur morale). Pour opérer le passage à l'état civil, l'instinct de conservation comme

réfléchit surtout autour d’Aristote. Pour lui le pouvoir est une nécessité naturelle. Il est incarné par des humains qui vont y accéder C’est une autorité supérieure (l’Eglise) qui va accorder au roi son autorité Ce pouvoir doit réaliser le bien commun, où se marie ordre et justice. C’est de cette mission que le pouvoir tient sa légitimité là encore une autorité temporelle et une spirituelle (la supérieure) A également écrit sur la tyrannie. Tyran = celui qui ne réalise par le dessein de Dieu, ne va

travailler sur la façon dont les idées ont émergé sur des supports non savants (échanges parlementaires, correspondances privées, trac). On ne va pas s’engager dans cette voie. C’est une discipline qui s’est créé récemment sur la façon de penser, de traiter de la philosophie. Certains débats internes, pour certain propres au monde universitaire, font changer les connaissances (ex montée en puissance des intellectuels sur le principe de la liberté absolue). Il y a aussi des débats socio, et les débats

intellectuel initié en Europe au XVIII° siècle dont le but est de promouvoir les connaissances en s'opposant à la superstition, l'intolérance, et les abus de l'Eglise et de l'Etat. Les précurseurs sont les philosophes rationnalistes René Descartes et Baruch Spinoza,, les philosophes politiques Thomas Hobbes et John Locke et le penseur sceptiques en France Pierre Boyle. Les auteurs majeurs sont Montesquieu avec De l'esprit des lois (1748), Diderot et d'Alembert avec L'Encyclopédie ( 1782), Voltaire avec Candide

Préface du traité théologico politique de Spinoza Si les hommes étaient capables de gouverner toute la conduite de leur vie par un dessein réglé, si la fortune leur était toujours favorable, leur âme serait libre de toute superstition. Mais comme ils sont souvent placés dans un si fâcheux état qu’ils ne peuvent prendre aucune résolution raisonnable, comme ils flottent presque toujours misérablement entre l’espérance et la crainte, pour des biens incertains qu’ils ne savent pas désirer avec mesure