Spinoza Traité Théologico Politique La Liberté De Penser

Vivre en société, c'est vivre avec d'autres hommes selon les mêmes lois. Distincte de la vie solitaire, la vie en société ne désigne donc pas la seule juxtaposition d'individus, mais un ensemble soudé par des lois communes. A priori, on pourrait penser que la vie sociale, par les contraintes qu'elle nous impose, par les limites qu'elle fixe à nos volontés individuelles, ­contrarie notre intérêt. Le problème posé par le sujet réside donc dans l'association de l'intérêt et de la société, puisqu'on

notion d’autonomie s’oppose le concept de minorité. Est mineur l’individu sous tutelle incapable d’agir suivant un jugement personnel ou de se conduire seul. Est majeur, celui qui agit par son propre jugement. L’autonomie revêt un sens moral et politique. L’autonomie morale apparaît comme la capacité d’un homme d’agir en suivant la raison indépendamment de ses intérêts particuliers. Si le désir renvoie les hommes à leur subjectivité singulière et à leurs intérêts antagoniques et divergents, la raison

devint une discipline majeure au sein du cycle secondaire. La raison en est simple : il convient alors de fournir aux futurs bacheliers les moyens de devenir des citoyens libres, raisonnables et responsables. Cela leur permet de former les esprits à penser par eux-mêmes, mais aussi d’aiguiser leur sens critique. Depuis notre plus jeune âge, et pendant toute la durée de notre enfance, on acquiert des valeurs, on cherche à imiter, ce qui est une phase nécessaire de la socialisation. La démarche philosophique

incompatible avec la liberté ? La liberté... Un grand mot qui fait rêver, que tout le monde prône et que personne ne peut avoir. On vit en société donc on obéit à des lois, à des règles. La liberté paraît donc impossible si on la prend dans son sens premier, c'est à dire pouvoir faire tout ce que l'on veut, quand on veut, où l'on veut. L'obéissance est donc incompatible avec cette vision car obéir à une force supérieure inclus forcément de perdre le libre arbitre. Mais cette liberté, qu'on peut

contraignante ou libératrice ? L’ANALYSE DU SUJET Le sujet porte sur la relation entre la raison et la liberté. Il s’agit de mettre en question une intuition, voire un préjugé, qui ferait de l’obéissance à la raison une forme de contrainte, pour ne pas dire de servitude. Cette intuition ou ce préjugé sont-ils erronés ? À quel degré ? Qu’entendre par « obéir à la raison » ? Quelle forme de liberté est compatible avec l’obéissance à la raison ? Voilà les questions que l’on doit peu à peu éclairer

sur l’idée de la  « corruption de l’Eglise ». Il critique la papauté de s’enrichir par l’exercice du culte, par le biais d’une pression morale injuste exercée sur les fidèles. L’inspiration des réformateurs est en priorité théologique mais aussi politique de façon indirecte.     Martin Luther (1483-1546) :    C’est l’initiateur de la réforme qui commence par s’insurger contre les indulgences qui se fondent sur un principe blasphématoire. Il prône un retour strict au christianisme pur de Saint

Lorsqu'il s'agit de révolte, l'idée nous paraît toujours hors la loi. En effet se révolter pourrait signifier désobéir à la justice, aux lois. Celles-ci sont mises en place afin de garantir notre sécurité et notre liberté tout en restant encadrés. Nous sommes ici face à un contraste opposant les termes « droit » et « révolte » . Effectivement le droit est synonyme de permission, de légalité, il a un lien avec la justice et autorise ou interdit aux citoyens de faire

Énoncé Les échanges favorisent-ils la paix entre les hommes ? Exemple de corrigé Introduction Lors de la campagne du référendum en faveur de la Constitution européenne, ont été avancés des arguments économiques et politiques. Les échanges et les traités commerciaux ont permis une entente entre les peuples, de telle sorte qu’aucune guerre n’a eu lieu depuis. Pourtant le « non » l’a emporté. Cela traduit-il un refus de l’échange, ou seulement une méfiance vis-à-vis de ses apports supposés ? Par

Introduction Lors de la campagne du référendum en faveur de la constitution européenne, ont été avancés des arguments économiques et politiques. Les échanges et les traités commerciaux ont permis une entente entre les peuples, de telle sorte qu'aucune guerre n'a eu lieu depuis. Pourtant le « non » l'a emporté. Cela traduit-il un refus de l'échange, ou seulement une méfiance vis-à-vis de ses apports supposés ? Par définition, et même dans les faits, il semble y avoir confluence entre les paramètres

exprimer par des lois mathématique. France : 1715 avec la mort de Louis XIV et le début d'une nouvelle ère. Paul Hazard écrit un livre qui porte sur l'apparition de cette nouvelle époque et fait commencer les Lumières en 1670 avec le Traité théologico-politique de Spinoza. Pour la fin des Lumières : 1789 avec le révolution française 1804 avec la mort de Kant que l'on peut présenter comme le dernier philosophe des Lumières. Autre problème : la rupture entre deux époques. Chaque époque hérite de