Spitz De La Naissance A La Parole

Pour cette première fiche de lecture, j’ai choisi le livre de René A. Spitz «De la naissance à la parole », et plus particulièrement les chapitres concernants la carence affective chez le nourrisson. Nous verrons, dans un premier temps, la formation de l’objet libidinal, puis les affects qui peuvent découler de cet établissement et leurs conséquences. Voyons préalablement les lieux d’observation de Spitz lors de ses différents travaux avec les enfants. Deux lieux ressortent principalement dans ses

arquées à la naissance. Aujourd’hui les enfants sont libres de leur mouvement. Garçons et filles étaient habillés de la même manière. Maintenant ils portent chacun des vêtements qui leur sont propre et peuvent ainsi se démontrer entre eux. La guerre de 14 pousse les usines d’armement à ouvrir des crèches au sein de leur établissement. Les mères sont donc obligées d’y placer leur enfant. Des dispensaires voient le jour pour accueillir les enfants. En 1920, un enfant sur deux qui rentre à l’hôpital

l’Homme à l’autre. En quoi l’Homme diffère-t-il de l’animal ? Nous verrons premièrement que l’Homme a besoin d’amour. Dans un deuxième temps, nous étudierons dans l’importance du langage dans le développement de l’être humain. Des expériences, dont l’hospitalisme, ont montré que pour survivre, le bébé humain a besoin d’amour. Ce concept peut se définir par le sentiment idéal : « l’Eden ». Il s’agit pour l’enfant de se sentir en quelque sorte désiré. En effet, suite à l’expérience de Spitz, les scientifiques

en 1900 est s’est développée à la fin de la 2ème guerre mondiale. La place de l’enfant va considérablement changer quand les femmes ont eu le contrôle de leurs grossesses et qu’elles ont eu un accès massif au monde du travail, donnant ainsi le « relai » aux pères.   I)                   Relations précoces parents/enfants.   La relation ne sera pas la même selon le désir d’enfant. Ce dernier apparaît vers l’âge de 3-4 ans. L’enfant va, par exemple, jouer au papa et à la maman. Il va alimenter tout

ensemble jusqu’au bout de la vie » a été écrit par Yves Gineste et Rosette Morescotti. Il est tiré du site internet de l’humanitude dans le soin (http://cec-formation.net.pagesperso-orange.fr/philohumanitude.html) Ce texte traite de l’humanitude des soignants envers des patients très dépendants et peu communicants, et des différentes manières de communiquer avec eux. La thèse de l’auteur est que la majeur partie des soignants semble éprouver des difficultés à communiquer avec ces patients. L’être

NOTION D’ATTACHEMENT PLAN Introduction I Contexte d’émergence de la théorie de l’attachement A / Historique B / Apports de l’éthologie C / Précurseurs défendant le caractère primaire de l’attachement II Les concepts élaborés par John BOWLBY A / Parcours de John BOWLBY B / La théorie de l’attachement 1 / Concepts généraux 2 / Les différents phases du développement 3 / Attachement et exploration

confondus. Il vise à imposer les règles prescrites pour aboutir à une belle œuvre littéraire. La tendance perspective est issue de la philosophie d'Aristote qui a écrit la Poétique, œuvre théorique où il impose des règles classiques, qui font l'objet de juger la qualité des productions des écrivains. Un chef-d’œuvre est l'œuvre qui respecte la perspective d'Aristote. La Poétique D'Aristote a dominé le champ littéraire de 335 AJC jusqu'aux années 20 du 19 e siècle. Cette persistance est due à la reformulation

intellectuelle Démence : perte irrémédiable d’efficience intellectuelle chez qqun qui a connu une efficience intellectuelle →qq qui a été intelligent mais qui ne le sera plus Idiot : qqn qui n’a jamais bénéficié d’efficience intellectuelle et qui ne le sera jamais Au début du 20ème siècle, l’école devient obligatoire et met en évidence le fait que certains enfants n’arrivent pas à suivre. On demande dc à Alfred BINET d’évaluer ces enfants en fonction de l’âge réel et l’âge mental. Pendant la

sur le mot (mélodie montante pour l’appel par exemple), puis les premiers signifiants décrivent des états d’âme et non des objets (« ça » en pointant, « non », « encore » …). -Le pointage Le pointage est un acte de communication à l’aube de la parole : il permet à l’enfant de rentrer dans l’attention partagée avec son entourage autour des choses qui l’intéressent, le surprennent. -L’objet de l’attention partagée Il ne s’agit pas forcément de pointer les choses par besoin, plutôt d’abord

- Désir et survivance du lien à l’objet III/ Le début du traitement : la relation à Rosine Lefort IV/ De la jouissance du fantasme à la relation symbolique  - L’invidia - La séparation symbolique : l’Autre marqué du manque - L’avènement de la médiation symbolique V/ Symbolisation des éléments conflictuels au sein de la relation - La pulsion scopique - L’intrication des pulsions - L’inscription de l’oralité dans le rapport à l’Autre - Le signifiant « mama »