Spleen De Paris Thème De La Ville

Texte 1Incipit de La Princesses de Clèves | L’auteur | - Mme de la Fayette - Née à Paris en 1634, de son vrai nom Pioche de la Vergne. - Education soignée littéraire et mondaine. - Fréquentation hâtive des salons mondains. - Propriétaire de son propre salon où elle réunit les membres de la haute société (Henriette d’Angleterre, Mme de Sévigné, La Roche Foucault…). - Type même de la femme savante, cultivée et dotée d’une parfaite maîtrise des codes de l’aristocratie. - Femme

de la Chapelle et des quais de Javel hommes des pays lointains cobayes des colonies doux petits musiciens soleils adolescents de la porte d’Italie Boumians de la porte d’Italie Apatrides d’Aubervilliers Brûleurs des grandes ordures de la ville de Paris ébouillanteurs des bêtes trouvées mortes sur pied au beau milieu des rues Tunisiens de Grenelle embauchés débauchés manœuvres désœuvrés Polacks du Marais du Temple des Rosiers Cordonniers de Cordoue soutiers de Barcelone pêcheurs des Baléares

absolue du genre romanesque par sa manière de transformer en légende toute l’histoire du XIXe siècleGéographie parisienne décrite par Victor Hugo, vue aujourd’hui· Pour marcher sur les traces des lieux évoqués dans le roman, on doit se diriger dans la ville de Seine-Saint-Denis d'abord vers le seul endroit identifiable : la fontaine Jean-Valjean, située sur la place du même nom. Cette fontaine a été érigée en hommage à Victor Hugo et c'est, dans le roman, le lieu de rencontre entre Cosette et Jean Valjean

Anthologie Cette anthologie regroupe dix poèmes extraits de 90 poèmes classiques et contemporains allant de Villon a Bonnefoy ces dix poèmes sont repartis en trois thème cité ci-dessous qui a pour but de changer le regard des jeunes sur la poésie . La poésie est une forme littéraire qui à traverser toutes les époques. Elle est un facteur libérateur pour les auteurs. En effet, ils s’en servent pour exprimer leurs sentiments envers quelqu'un ou quelque chose , pour critiquer certains faits

PAUL VERLAINE 1/Biographie Paul Verlaine est un poète français du 19e siècle. Il est né à Metz le 30 mars 1844 et est mort d’une congestion pulmonaire à Paris le 8 janvier 1896. La famille de Verlaine appartient à la petite bourgeoisie. Verlaine s’installe avec sa famille à Paris en 1851. Il commence alors des études médiocres au lycée Condorcet. Passionné de dessin et de littérature, il écrit des vers et des nouvelles à la manière d'Edgar Allan Poe. En 1858, à 14 ans, il envoie à

vert où la lumière pleut » (v.8) dans laquelle le soldat constitue une anomalie, révélatrice de l’horreur de la guerre : « les parfums ne font pas frissonner sa narine » (v.12). Ainsi, les poèmes de Ronsard et de Victor Hugo sont lyriques dans leur thème et dans leur forme poétique, tandis que le sonnet de Rimbaud est pathétique et satirique du fait de l’évocation de la guerre. Ecriture / 16pts Commentaire : C’est en 1870, dans le contexte de la guerre franco-prussienne, qu’Arthur Rimbaud rédige

la lumière pleut » (v.8) dans laquelle le soldat constitue une anomalie, révélatrice de l’horreur de la guerre : « les parfums ne font pas frissonner sa narine » (v.12). Ainsi, les poèmes de Ronsard et de Victor Hugo sont lyriques dans leur thème et dans leur forme poétique, tandis que le sonnet de Rimbaud est pathétique et satirique du fait de l’évocation de la guerre. Ecriture / 16pts Commentaire : C’est en 1870, dans le contexte de la guerre franco-prussienne, qu’Arthur Rimbaud

dern quatrin2. La méthode poétique a) présence du poète b) richesse de l’imaginat° -fertile, féconde -allitérat° [f],[m] -les enjambements c) le choc initial d)l’associat° des images de l’exil Andromaque = exil culturelLe vieux Paris = exil person.Le cygne = exil symboliqueL’H d’Ovide = forme supérieure de l’exil. e) personnificat° du cygne | 1. La rpz° des aveugles a) la laideur -« affreux » = rime + adv intensif = CURIOSITE b) le mystère -direct° regard inconnu

un passage de Louis Lambert (éd. P.-G. Castex, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, t. XI, p. 632), où les "idées" et les "créations" sont comparées à des "fleurs". 52. Voir les notes sur Les Liaisons dangereuses, Pl. II, p. 68, et, dans Le Spleen de Paris, la fin de La Fausse monnaie, Pl. I, p. 324. 53. On en lira plus loin le texte, dans la n. 467 à L'Héautontimorouménos. Selon G. Blin (Résumés de cours, Annuaire du Collège de France, 1967-1968), la première partie du canevas a pu passer dans

Complainte : une lamentation sous forme de chanson. Une épigramme : pièce de poésie satirique en vers. Épitaphe : inscription mise sur es tombes funéraires. Mulâtresse : mélange noir et blanc. Velléités : intention qui ne sont pas suivie de faits. Spleen : état d'abattement plus qu'un coup de cafard, absence d'envie de vivre. Précaire : instable, risque de basculer d'un moment à un autre. Aphasique : présentant un trouble de la parole. Éperdu : qui est sous le coup d'une émotion intense. Morphèmes :