Sport Crétins Malfaisants

LA SOCIOLOGIE DU SPORT EN FRANCE Bertrand During P.U.F. | L'Année sociologique 2002/2 - Vol. 52 pages 297 à 311 ISSN 0066-2399 Article disponible en ligne à l'adresse: -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------http://www.cairn.info/revue-l-annee-sociologique-2002-2-page-297.htm -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Pour citer cet

/20 4. Exercices préparatoires à la dissertation Parmi les thèmes suivants, choisis-en 2 et détermine une thèse/problème, ainsi qu’un plan de dissertation : euthanasie – avortement – drogue – peine de mort – sport et tabac – tourisme – adoption – publicité Reformule les citations suivantes : ° Les larmes s’arrêtent toujours dès qu’on leur a trouvé une utilité (Giraudoux) ° En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu et on persécute ceux

plaqué au sol peut-être deux ou trois minutes avant d’être remis sur mes jambes. Devant moi se tenaient une dizaine de policiers. Certains portaient des brassards « Police », d’autres étaient en uniforme. Ils se tapaient dans les mains comme des crétins, ils étaient hilares et riaient nerveusement. Cette arrestation les rendait euphoriques. Le premier à m’adresser la parole fut un commandant de police, il arborait quatre galons sur son costume, c’était apparemment le chef du dispositif, ses premiers

entendue) Hum...la dernière c'était soirée diablotin !Non mais sérieusement, c'est quoi cet endroit ? O_O Y' a même des soirées organisées par l'école dont les thèmes ressemblent à des titres de magazines X !! Non, mais où j'ai atterri !? Et l'autre crétine qui paraît de plus en plus intéressé sans se rendre compte des bêtises que l'on nous sort depuis toute à l'heure ! Mais je n'ai pas le temps de râler intérieurement plus longtemps puisque un flot d'élèves commence à arriver de tous les côtés. Je les

aucun rapport. — Ça leur évite pas mal de paperasserie », lui dis-je obligeamment. Deb me montra les dents. « Ils pourraient pas se bouger le cul et faire leur boulot de flics le plus élémentaire, non ? lança-t-elle d‘une voix rageuse. N‘importe quel crétin peut voir que ces morts sont liées. » Et elle eut un léger frisson. Je la dévisageai, stupéfait. Elle était flic, et fille de flic. Elle n‘était pas facilement impressionnable. À son arrivée dans la police, les gars plus expérimentés lui avaient joué

dans la montagne, j’avais onze ans. Je n’aime pas les chiens, je ne les aimais pas non plus quand j’étais petit. Celui-là, un gros chien baveux, me regardait au milieu du sentier. Il bava sur mes pieds, il bava sur mes mains, c’était un gros chien crétin et sympathique. Je lui ai dit : « Écoute, gros chien, je vais loin, j’essaie de me perdre et de me retrouver ensuite, tu peux venir avec moi, mais bon Dieu arrête de me baver dessus, ça me dégoûte. » Le gros chien a pigé et il m’a suivi. Adamsberg

soit favoriser la sociabilité que de réunir tout un tas de gens et de les empêcher ensuite de parler. Une heure de télé-classe, une heure de basket, de base-ball ou de course à pied, encore une heure à copier de l'histoire ou à peindre, et encore du sport, mais vous savez, on ne pose jamais de question, en tout cas la plupart d'entre nous ; les réponses arrivent toutes seules, bing, bing, bing, et on reste assis quatre heures de plus à subir le télé-prof. Ce n'est pas ma conception de la sociabilité

favoriser la sociabilité que de réunir tout un tas de gens et de les empêcher ensuite de parler. Une heure de télé-classe, une heure de basket, de base-bail ou de course à pied, encore une heure à copier de l'histoire ou à peindre, et encore du sport, mais vous savez, on ne pose jamais de question, en tout cas la plupart d'entre nous ; les réponses arrivent toutes seules, bing, bing, bing, et on reste assis quatre heures de plus à subir le télé-prof. Ce n'est pas ma conception de la sociabilité

déchaîné ; ce n’est pas ta tête, c’est ton pantalon qui a craqué aux fesses… C’est vrai ! Je rougis comme une jeune tomate sur le point d’être épluchée par un pédophile végétarien affamé. - Tu as l’air intelligent ! Au boulot, maigris, cours, fais du sport, remue-toi et gagne-moi ce concours… Et il disparaît. Je suis bon pour l’asile. Mon grand-père mort depuis cinquante ans environ m’a parlé… Qu’est-ce qui m’arrive ? Je n’ai pas le temps d’approfondir. A toute volée, la porte d’entrée s’ouvre et Vicky

autonomes, il faut donner du sens; plus même, il faut y ajouter du souffle. (…) » p.37 « (…) comme nul ne l'ignore, c'est grâce aux exemples rencontrés (parents, profs, amis ... ), aux vicissitudes de la vie et aux épreuves surmontées, voire au sport, que se forgent peu à peu cette altérité dynamique, cette aptitude à écouter et à convaincre, cette capacité d'entraînement qui seules permettront demain d'amener des équipes à vouloir relever les défis de plus en plus acrobatiques de l'entreprise