Sport Euphémisation Violence

cultures alors que le temps psychologique est la perception du temps selon la personne. * Propre à la relation : les passes temps servent à « structurer un certain laps de temps avec les personnes que l’on connait peu » (p 25), (ex : météo, sport…). * Propre à la rencontre : les « rituels » sont une fonction importante dans les relations sociales. Ils facilitent la relation, ce sont des marques de reconnaissances et d’appartenance culturelles. * Le nombre de personnes, qui modifie la

première, illustrée  par les thèses du journaliste Robert Kaplan et d’Enzensberger, tends à reconnaître que la civilisation serait attaquée par « de nombreux maux », dont les plus nocifs seraient les nouvelles pandémies, le fondamentalisme ou la violence communautaire. .. Le deuxième courant quant à lui, s’est fait connaître par le biais des travaux de Collier qui propose une analyse plus économique des conflits civils. Le troisième enfin, était l’un des plus influant avant le 11 septembre 2001 :

bien le jeu que le ballon, appelé aussi « éteuf ». Première apparition : XIIème siècle. Pratiquée par le peuple jusqu’à la fin du XIXème siècle. Témoignages le plus ancien date du XIVème siècle : une ordonnance de Charles V l’interdit pour sa violence en 1369. Au XIVème siècle la soule se pratique avec un gros ballon de paille ou de foin comprimé dans un étui en cuir ou en bois. Les « éteufs » pouvaient différer suivant les régions et les occasions : en bois, en cuir, voire en « ploncq »

QUE SAIS-JE ? Histoire du sport THIERRY TERRET Professeur à l'Université Claude-Bernard (Lyon-I) Troisième édition mise à jour 7e mille   Introduction Définition et délimitation Les historiens s’accordent pour affirmer que le sport naît au XVIIIe siècle en Angleterre, dans le contexte de la révolution industrielle et d’un capitalisme émergeant. Il se diffuse au XIXe siècle dans les colonies britanniques et les sociétés industrialisées (Amérique du Nord et Europe continentale) avant de

technique et scientifique ISSN 1424-4683 Volume LV SOMMAIRE Juillet - Septembre 2002 Crime et sécurité dans le sport par Dominique Malatesta et Christophe Jaccoud . . . . . . . . . . . . . . . .259 Les violences sur les stades suisses dans une perspective historique par Marco Marcacci . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .266 La violence dans les stades de football. Eléments d’étiologie à partir du cas des autonomes du Racing Club de Lens par Williams Nuytens

des positions sociales différenciées, qui font l’objet de luttes de position et de classement. Cette sorte de guerre sociale, inhérente au champ, se mène principalement sur le plan symbolique, et génère deux produits, le pouvoir symbolique et la violence symbolique. Destinés à assurer la position symbolique des dominants, ils s’exercent en partie à travers les discours et institutions officiels pour produire un effet de distinction au profit de ses détenteurs. Il applique dans une seconde partie

cohésion des sociétés. Après un effort de définition qui cherche notamment à restituer le contexte d’apparition des termes, le texte qui suit explore les modes d’articulation possibles de ces deux principes, notamment grâce aux exemples de l’économie, du sport et de l’école. Introduction ............................................................................................................................................................. 2 1. Compétition et solidarité : quelles définitions adopter

Chapitre 1 – La violence politique La violence politique ne devrait plus exister car la démocratie représentative est une compétition pacifiée pour la conquête et l’exercice des positions dans l’Etat. Mais en réalité la violence est un outil devenu ordinaire. Une violence politique doit d’abord être physique (une injure est une violence symbolique) et être pris en charge par le politique (sans quoi les actes demeurent des violences sociales, comme le hooliganisme). Section 1 – Les manifestations

les grandes lignes de fractures ont donné naissance aux partis politiques. Les partis politiques ont attisé les conflits sociaux, ont permis une expression politique aux clivages sociaux, mais les ont aussi modéré, ce qui permet de ne pas avoir de violence. On a donc deux révolutions avec deux séries de clivages fondamentaux. - La construction de l’Etat Nation : a donné naissance à un premier clivage entre l’Etat et l’Eglise. Ce qui renvoi à l’enjeu de la sécurisation du pouvoir politique. C’est

printemps 1968 avec mai 1968 en France. Mouvement A connu deux trajectoires différentes à partir des années 1960. Il existe des pays où l’on assiste à une véritable radicalisation des mobilisations (Allemagne, Italie) et qui a donné lieu à des violences politiques et sociales. 2e : les thèmes de revendications se sont réorientés progressivement vers une dimension identitaire relative à la condition étudiante. Mobilisation redevient sectorielle. En France, élargissement des mobilisations au-delà