Stahlhelm

casque, au premier plan en bas, est français. En effet on peut y discerner le logo et les lettres RF (République Française) : c'est un casque Adrian M1915). Alors que le soldat allongé à l'arrière-plan est allemand, on peut voir sur sa tête un Stahlhelm (casque en acier) qui ne possède ni de coiffe, ni de jugulaire. De plus, on peut voir le symbole de la République Fédérale Allemande sur le poteau de fils barbelés en haut du dessin : Tous ces petits détails rendent le travail de Tardi très

qu’en septembre 1915 que le casque Adrian remplace le képi pour les Français. Les Anglais quant à eux distribuent le casque Brodie dans la même période122. Le casque à pointe allemand offre peu de protection et est progressivement remplacé par le Stahlhelm en 1916123. Les débauches d’artillerie empêchent toute percée d’aboutir. Les soldats combattent souvent pour quelques mètres et n’arrivent pas à percer les tranchées ennemies protégées par un tir nourri d’artillerie et des lignes de barbelés. De

Affiche d'appel à l'emprunt de guerre en France En novembre 1915, octobre 1916-1917 et 1918, le Gouvernement Français décide de lancer des affiches à la populations françaises, réalisé par Abel Faivre ou Georges Scott, car pendant la première guerre mondiale, l'affiche est l'un des principaux moyens de communication dont disposent les autorités pour s'adresser à la population. Bien-sur éditées en grandes séries et diffusés rapidement ,elles sont placardées sur les façades des édifices publics

pour modifier ainsi la Constitution. Il manquait donc 13%, soit 90 voix. Le quorum fut atteint grâce aux votes du Zentrum (72 voix), du BVP (19 voix) et des petits partis (14 voix pour six partis) lors d'une session, en présence de SA, de SS et de Stahlhelm en armes, gardant toutes les issues et entourant le bâtiment. Seuls les 94 députés sociaux-démocrates votèrent contre. Les 81 députés du KPD ainsi que 26 des 120 députés SPD n'étaient pas présents lors du vote car avaient été contraints d'entrer

industriels bavarois. Ses frères se nomment Karl (1912-1949) et Alois (1914-1974). En janvier 1930, il quitte sa ville natale pour rejoindre Munich. C’est dans cette ville qu’il va adopter l’idéologie nationale socialiste. En mars 1931, il entre dans la Stahlhelm, Bund der Frontsoldaten (Ligue des Soldats du Front, Casque d’Acier), qui le rapprocha du NSDAP. En octobre 1933, il s’enrôle dans la Sturmabteilung. Il part ensuite pour Francfort-sur-le-Main, où il étudie la médecine. En 1935, il soutient sa thèse

représenté les atrocités découlant de la guerre… J’ai choisie de faire un véritable reportage de celle-ci afin de montrer la terre dévastée, les souffrances, les blessures. » Il représente tout d’abord le matériel allemand comme les casques en acier « Stahlhelm », les fusils, les grenades à main, les munitions de mitrailleuse, les baïonnettes…Puis il met en avant les conditions de vie des soldats, qui vivent avec les rats dans les dépouilles de leurs camarades. Et pour finir il dévoile à tout le monde la

a peint la journée d’un soldat au front en 3 temps : la montée au front, l’assaut, le retour des survivants et le repos. Les détails sont saisissants : à droite le fantassin allemand avec son fusil Maiser modèle Gewehr 98, son casque en acier « stahlhelm », son masque à gaz, sa gourde, sa grenade à manche... sur les corps mutilés, la gangrène et les impacts de balle... Il montre l’inhumanité, la peur, le chaos et la violence des combats. Otto Dix utilise-t-il la perspective ? Pourquoi ? Il n’y

description de l’univers du front : On peut identifier les éléments de l’équipement du fantassin allemand qui s’est adapté, à partir de 1915, aux conditions nouvelles de la guerre : le casque à pointe en cuir a laissé place au casque en acier « Stahlhelm », l’équipement réglementaire comprend tout le nécessaire pour tenir plusieurs jours au front. On voit l’armement qui s’est, lui-aussi, adapté aux nouvelles formes de combat : armes offensives (fusil Mauser, modèle Gewehr 98, arme performante, pesant

cet appel démontreront qu'ils sont aux côtés des ennemis de l'Allemagne » — Julius Streicher, 31 mars 193316. Déroulement[modifier] Membres de la SA empêchant l'accès à un magasin juif. Le 1er avril, des membres de la SA, de la SS17 et du Stahlhelm se postent de manière menaçante devant les commerces tenus par des juifs ou devant les bureaux d'avocats ou de médecins juifs, entre autres psychiatres18 ; ils apposent un peu partout des pancartes aux slogans antisémites, comme « Allemands ! N'achetez

ce qui li permet d'être éligible. Le 11/10/31 Harzburger Front (front de harzburg) est le théâtre de vives tensions: Hugenberg et Hitler se disputent la première place . Une étape de plus dans l'alliance liant la NSDAP et la SA à la DNVP et au Stahlhelm. Soutenue par des personnalités, ce front est la base de la coalition qui aide à la percée de 1933. B) La faiblesse de la gauche, ou : les consequences de la définition staliniste du fascisme « théorie d'agent » du comité exécutif de l'Internationale