Station de sports d'hiver

Camargue d) Faune e) Flore f) Pêche g) fêtes 4) INFRASTRUCTURE ET HEBERGEMENT a) Transport b) Hébergement touristique c) Carte de répartition des lits de la région 5) LE LITTORAL DU LANGUEDOC ROUSSILLON a) Les stations balnéaires du littoral b) Les ports de plaisance c) Les stations thermales et thalassothérapie d) Les étangs e) Les aquariums e) Les golfs d) Patrimoine et villes d’art du littoral e) La Via Domitienne f) Le naturisme 1 ) Carte : 2) Généralité: Habitants Préfecture

de vente d’articles de sports, DECATHLON. Son pari était d’équiper tous les sportifs au meilleur prix. Aujourd’hui, Le groupe Décathlon (3,4 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2004) est présent dans 23 pays pour un parc de plus de 330 magasins (dont plus de cent à l'international). Il s'est résolument tourné vers une stratégie de marques propres : sept marques correspondant à sept univers sportifs différents (Quechua pour la montagne, Tribord pour les sports nautiques, Decathlon Cycle

professionnels expérimentés, qui ont occupé d'autres fonctions dans le tourisme culturel. Leur évolution consiste donc à rejoindre une structure plus importante ou à cumuler d'autres responsabilités dans le secteur touristique (direction d'une station balnéaire ou de sports d'hiver). En moyenne le salaire mensuel brut d’un directeur d’OT est compris dans la fourchette 2 400 à 2 900 €. b) une formation aléatoire Il n’existe pas à proprement parlé de formation pour atteindre ce poste. Cependant, la plupart

croissance. Pendant toutes ces années, il y a eu effectivement une croissance de 6% par an et une destruction des milieux naturels : ex : autoroute A6 qui coupe la forêt de Fontainebleau, la création à la montagne ex nihilo (= à partir de rien) de station de sport d’hiver moderne à base de tours, de barres d’immeubles, inspirées de la banlieue, le développement du littoral anarchique qui détruit le paysage naturel, un réseau routier permettant aux français d’aller très vite sur tous les territoires. Dans les

d’aménagement des hommes et notamment ces fameuses zones sont devenues au contraire aujourd’hui des atouts pour le tourisme. La neige qui était une contrainte est devenue l’or blanc avec le développement d’un tourisme de masse des sports d’hiver et notamment les stations des Alpes du Nord qui constituent un apport de devises. *Le faible peuplement du bassin parisien pourrait poser des questions, dans cette zone de plaine on a développement pendant longtemps une agriculture mécanisée qui nécessite

entreprises des secteurs cipiques. En effet, l'endettement impose à l'entreprise le paiement des intérêts et le remboursement du capital quelque soit son résultat. Ceci augmente la vulnérabilité de l'entreprise. Ainsi par exemple, comment une station de sport d'hiver ayant financer l'ensemble de ses infrastructure par emprunt pourra-t-elle rembourser ses dettes les années où il n y a pas de neige. A l'inverse, il est possible de faire jouer l'effet de levier dans les secteur dont l'activité et les résultats

qu'une île lors des marées hautes. Il y a aussi les forêts d'île de France qui ont été réduite à cause des espaces urbains et agricoles. Nombreux de ces milieux naturels ont été transformé à cause de l'homme, en milieux touristiques comme les stations de sport d'hiver, en milieux urbains et périurbains qui sont des espaces marqués par l'urbanisation où le risque de pollution est très important, ou encore par les milieux agricoles affectés par les catastrophes naturels comme les innondations ou alors par

pour alimenter en eau la commune de Bourg St Maurice. Commune placée sur la route de la Haute Tarentaise, relais sur la route de l’Italie - Topographie : utilisation par les hô de la haute montagne  Traits noirs : télésièges, téléskis... : sport d’hivers  Pente peu forte : installation possible des pistes de ski - Hydrographie : peu de ruissellement => possibilité d’équiper le versant. - Peuplement : décalage entre l’offre de logement et la pop vivant à l’année  Système de barres (habitat

pour l’aménagement touristique du littoral Languedoc-Roussillon, pour un coût de 3 milliards et comme objectif de créer 500 000 lits touristiques. A la base, nous avons une zone très marécageuse, des zones agricoles, viticoles, de pêche. Quelques stations touristiques peu concurrentielles (Palavas, Valias). Le but est d’attirer les étrangers. La première phase va concerner la viabilisation de la zone : démoustication, reboisement, asséchement, … Le but n’était pas de bétonner toute la côte, mais

l’introduction du tourisme balnéaire. Ce dernier « était très limité dans l'espace et concernait quelques petites stations limitrophes des plaines occupées par les colons (Moulay Bouselham et Oualidia) ou à proximité des grandes capitales (les plages au sud de Rabat ou au Nord de Mohammedia et qui gardent encore des noms héritées de l'époque : sable d'or, val d'or, Manesmann etc). Ces stations très simples dans leurs aménagements (cabanons en bois) répondaient à un besoin interne et non à celui du tourisme