Statut Du Valet

secrète pour qu’il y attende ses ordres. Cependant, le retour inattendu du véritable Don César compromet les plans du maître. Salluste parvient enfin à donner un rendez-vous à la reine sous le nom de Ruy Blas. Il lui révèle la véritable identité du valet et la menace de rendre publique sa liaison. Celle-ci est prête à abdiquer pour se sauver avec son amant, lorsque Ruy Blas intervient et assassine son maître pour sauver la reine. Il s’empoisonne ensuite, incapable de survivre à son imposture. III

Confidences un jeu plus intériorisé.· Et y expose dans cette œuvre comment Dubois manipule les divers personnages de façon à rendre inévitable le mariage de Dorante avec Araminte.· Enfin, dans son œuvre Marivaux explore plusieurs thèmes : rapport maître/valet, mélange trouble entre l’amour et l’argent, rapport entre stratagème et moral. III- Situation du passage· Ce passage extrait de la scène 2 de l’acte I, est la Scène d’exposition. Dans celle-ci Marivaux met en scène un dialogue

les collèges artisanaux de l'Antiquité[14]» qui étaient indépendants de l'autorité politique. Les corporations sont plutôt soumis à l'autorité politique locale. Les corporations sont constituées par «les apprentis, les ouvriers (appelés d'ordinaire valets à Paris et plus tard compagnons) et les maîtres[15]». Un chef de métier dirige la corporation mais «d'une ville à l'autre, la manière de désigner les chefs de métiers peut varier notablement[16]». Dans certaine ville on le nomme bayle, consul, majoral

(1725). Elle montre le problème des rapports maîtres / serviteurs sous forme de fable (thème socio-philosophique). 2 des personnages de la liste sont présents sur le théâtre au lever de rideau. Ils sont identifiés : le valet par son nom « Arlequin » ; le maître par son statut social « patron ».Elle renvoie aussi à la comédie italienne (Commedia Dell’arte), c’est donc dans un registre comique que se joue la pièce. L’ouverture est une scène d’exposition vivante qui montre une révolte en action. C’est

esclaves est une pièce en un acte (1725). Elle montre le problème des rapports maîtres / serviteurs sous forme de fable. 2 des personnages de la liste sont présents sur le théâtre au lever de rideau. Ils sont identifiés : le valet par son nom « Arlequin » ; le maître par son statut social « patron ».Elle renvoie aussi à la comédie italienne (Commedia Dell’arte), c’est donc dans un registre comique que se joue la pièce. L’ouverture est une scène d’exposition vivante qui montre une révolte en action. C’est

matière efficace et pertinente à la pièce et nous fait comprendre l'essentiel : qui ? Où ? Quand ? Dans quelle atmosphère se déroule l'action ? Exemples « petite maison sombre » de l'acte V de Ruy Blas ; Dom Juan est vêtu en maître, Sganarelle en valet (Molière) et, au premier coup d'œil, les rapports sociaux entre les deux protagonistes de la pièce sont instaurés (si le costume ne le dit pas, le spectateur peut être perdu). C'est surtout valable pour les pièces à sujet historique ou situées historiquement

En effet ce sont des valets qui jouent le rôle de maîtres et nous retrouvons ainsi la parodie du jeu de séduction de leurs maîtres. La parodie est une forme d'imitation , mais une imitation moqueuse et ici Arlequin et Lisette, étant tous les deux des valets et jouant le rôle de maître , ne peuvent naturellement pas égaler la stature de leurs maîtres. C'est pourquoi nous retrouvons la parodie de la scène de séduction de Dorante et Silvia , car même en essayant les valets n'arrivent pas à ne pas

momentanément de statut pour devenir le maître d'Iphicrate. Peu rancunier, il pardonne ses excès à son maître. Pour lui, rien ne porte à conséquences. Son ton est familier. Euphrosine : Dame athénienne. Comme Arlequin, elle est issue de la Commmedia dell'arte. C'est la maîtresse de Cléanthis. Coquette et de mauvaise foi, elle refuse de reconnaître ses défauts. Cléanthis : Esclave d'Euphrosine et maîtresse d'Arlequin. Rancunière, elle profite de son renversement de statut pour assouvir sa

leurs propres valets. Ce genre d'histoire ne peut se passer que dans une pièce de théâtre, car dans la vraie vie une telle choses aurait été fort improbable. Molière lui respecte toutes les règles d'une comédie classique, la règle de vraisemblance, les trois unités, il écrit même en vers. Molière signe son coup de maître en réussissant à élever la comédie au rang de la tragédie tout en restant amusant. _ Eh bien je préfère une douce histoire d'amour absurde ponctué par des valets ridicules qui

de Ruy Blas un personnage romantique pour lequel la dimension religieuse semble primordiale. Dans cette scène de dénouement, Victor Hugo évoque ces deux personnages de manière inversée. Ruy Blas qui est en proie à une grande agitation est ici un valet déconcerté par un sentiment de culpabilité tandis que la reine un brin orgueilleuse manifeste dans cette scène ses sentiments vis-à-vis du personnage éponyme. Ruy Blas est très mal à l’aise surtout après s’être révélé contre la société qui l’opprime