Statut Du Valet

l’intrigue dans un acte d’exposition > Comprendre les liens entre les personnages > Comprendre les caractéristiques du genre de la comédie > Réfléchir à la mise en scène I. L’entrée en comédie A) Des scènes de confidence 1) Dans ces deux scènes le valet a presque un rôle identique. Identifiez-le. 2) La scène 1 peut-elle vraiment être qualifiée de scène de confidence ? Qui apporte toutes les informations ? Est-ce logique ? 3) D’où vient Sylvestre ? 4) Montrez que les deux personnages sont complices

1725. Dans celle-ci, et comme dans beaucoup d’autres, il exploite le thème emblématique du couple maître-valet, désirant instituer le respect entre les deux individus, et détourne la règle de bienséance qui, dans le théâtre classique, empêche un maître de dévoiler ses sentiments lui-même, rôle qui était alors donné à son esclave et confident. Cette pièce présente donc deux couples maître-valet, Iphicrate et Arlequin, et Euphrosine et Cléanthis, qui s’échouent près d’une île et qui partent alors s’y

d’exposition est d’informer le lecteur/spectateur du stratagème qui a été mis en place par les deux hommes, stratagème dont le mobile est ambigu comme le signale l’emploi polysémique du terme «  fortune  ». Dubois, héritier du valet machiniste de la comédie traditionnelle, rassure son maître et expose au public la machination ourdie. LectureA l’issue de cette scène d’exposition, il s’agira d’analyser comment Dubois, dans ce dialogue, parvient à convaincre Dorante de l’infaillibilité

ne trouve en effet aucune proposition classique "disait-il"). Or, mine de rien, cette décontraction que l'on retrouve aussi entre les deux protagonistes dialoguant instaure une histoire originale où Le Maître n'exerce plus sa supériorité sur son valet. Bien au contraire, il le relance dans son récit comme s'il était demandeur d'informations essentielles et donc dépendant du bon vouloir narratif de Jacques, qui en profite en faisant durer le suspense concernant ses amours (cf. "Qui le sait ?"). Diderot

L’Illusion comique : Matamore, Clindor et Isabelle. Précédemment, Isabelle, pourtant promise à Adraste par son père Géronte, repousse ses avances. Ici, Matamore, capitaine gascon et épris d'Isabelle, tente de séduire la demoiselle à l'aide de son fidèle valet Clindor, en vantant divers exploits militaires et amoureux. Le fanfaron ignore à ce stade la liaison secrète entre Isabelle et Clindor. Cette scène, particulièrement cocasse, démontre les jeux de l’ostentation et de la dissimulation, propre à l'esthétique

.Le marivaudage = finesse d'analyse psychologique + subtilité de langage + sensibilité rafinée. Ce langage de salons que seuls les maîtres par leur élégance naturelle et leur bonne éducation savent pratiquer, devient préciosité ridicule chez les valets car il n'est alors qu'affectation. LE THEATRE AU XXeme siècle : PRINCIPAUX CHANGEMENTS ET COURANTS En litt. , la mise en abyme est un procédé consistant à placer à l'intérieur de l'œuvre principale comme dans la pièce Hamlet ou Dans l'Illusion comique

vers 440 « sous / l’ha/bit / d’un / va/let, // les / pa/ssi/ons / d’un / roi ». La diérèse sur le mot passion insiste sur le désespoir de Ruy Blas. Il y a une antithèse entre le valet et le roi, et entre l’être et le paraître. Mais cet amour de Ruy Blas pour la reine est impossible à cause du statut social des personnages qui les sépare. Cette passion prend donc des accents tragiques. II. Une passion aux accents tragiques : 1. Expression de la révolte : Le vers 428 : « mais ô

pas vu sauter de cheval. » le caractérisent comme le bouffon de la farce, le vieux bourbon lequel on rit à ses dépens. Pourtant le scène contenait toutes les informations de l'intrigue et aurait pu paraître pour un drame, si Antonio n'avait pas ce statut de pitre, il aurait dévoilé la description du Chérubin et le brevet d'officier. Ce personnage, propre à la parade, a ainsi, pour seul rôle de faire rebondir l'intrigue dans un atmosphère de jovialité et de rire. Outre la farce, les didascalies peuvent

tenter de se décrire en insistant d’avantage sur ses qualités (Cf : Préambule) pour se faire aimer. Rousseau va aussi prendre une revanche vis-à-vis de la société : * Durant le « Grand diner » Rousseau rétablit un ordre social, car en tant que valet, il se montre plus érudit que les aristocrates. ROUSSEAU ET LE BONHEUR : I. Famille/amis : * Complicité avec son père par le biais de la lecture, puis avec sa tante : « assis à coté d’elle j’étais heureux. » Rousseau est également lié

sentiments opposés. On peut voir les caractéristiques d’une démonstration romantique. 1.  Un couple animé de sentiments violents et opposés a)  Ruy Blas du valet coupable à la grandeur du héros On peut dire qu’il y a dans ce texte un schéma inversé de l’évocation des personnages. Ruy Blas en proie à une grande agitation est ici un valet écrasé par un sentiment de culpabilité tandis que la reine hautaine et glacée manifeste son ressentiment. Ruy Blas est très mal à l’aise, les didascalies nous