Stendhal Citation

Le Rouge et le Noir, sous-titré Chronique du XIXe siècle, deuxième sous-titré Chronique de 1830 est un roman écrit par Stendhal, publié pour la première fois à Paris chez Levasseur en novembre 1830, bien que l'édition originale1 mentionne la date de 1831. C'est le deuxième roman de Stendhal, après Armance. Il est cité par William Somerset Maugham en 1954, dans son essai : Ten Novels and Their Authors parmi les dix plus grands romans. Le roman est divisé en deux parties : la première partie retrace

Marie-Henri Beyle, qui est plus connu sous le pseudonyme de Stendhal naît en 1783 à Grenoble. Ce pseudonyme, Stendhal est inspiré d'une ville allemande: Stendal mais sans le h, pas très loin du lieu où l'auteur vit de 1807 à 1808. Marie-Henri Beyle a utilisé plus d'une centaine de pseudonymes comme par exemple: Louis Alexandre Bombet ou Anastas de Serpière. Histoire de la peinture, qui a été écrite de 1814 à 1815, est le seul roman à avoir été publié sous son véritable nom. Le Réalisme et le

travers des interventions de ce dernier il va diriger influencer l'opinion du lecteur. Les focalisations ermployées dans ces deux textes diffèrent ( Stendhal utilise un point de vue interne, Proust plus omniscient) cependant les auteurs laissent entrevoir une subvjectivité certaine qui va traduire leur parti pris quant aux personnages.Par exemple dans Stendhal, le pronom « notre » désignant Fabrice implique le lecteur et le met du côté du narrateur, l'invitant à avoir une vision critique de fameux personnage

Ces trois textes écrits entre 1830 et 1867 expriment chacun une vision divergente du meurtre mais il existe quelques ressemblances notables. Nous avons ici à faire aux textes de l’auteur romantique Stendhal avec son œuvre Le rouge et le noir, à Claude gueux de Victor Hugo du même mouvement littéraire et enfin au naturaliste Émile Zola avec son roman Thérèse Raquin. Nous verrons ici quelles visions du meurtre présente ces trois textes. Nous débuterons par conséquent avec des meurtres mis en scènes

son courage et par son sang froid qui lui ont permit de sortit vainqueur de deux chasses. Mais le héros peut aussi faire rêver à cause de ses accomplissements, de son métier ou son destin. C’est le cas de Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir de Stendhal qui tout en venant d’une famille pauvre et étant assez faible physiquement il est ambitieux, et réussi son ascension sociale et même à trouver le bonheur a la fin de sa vie. Malgré son ambiguïté puisque il essaye de tuer Mme de Rênal le lecteur fini

l’indignation des bourgeois, l’avocat général qui « bondissait sur son siège. Danton provoquait la même initiation. 2. Evocation du crime social. 2 classes antagonistes s’affrontent= distance incommensurable J/ juges. L’ironie de J traduit celle de Stendhal « je n’ai point l’honneur d’appartenir à votre classe » Sanctionné en J : ambi° à s’élever/dépasser sa condi° de paysan jusqu’au rang des puissants. Il froisse l’orgueil des gens riches *Antithèses entre 2 classes : « classe sociale inférieure »/ »gens

et que nous manquons de recul ; les émotions, les sentiments enchevêtrés brouillent la lucidité. Le roman peut couvrir toute une vie, donc marquer une évolution, faire voir et ­comprendre les modifications du cœur. Ainsi, dans Le Rouge et le Noir, Stendhal expose quatre années de la vie de son jeune héros Julien Sorel au travers de deux histoires d’amour passionnelles. Il s’agit en partie d’un roman d’analyse, récit d’une passion tragique qui permet l’étude de la mécanique des sentiments à l’occasion

Objet d’étude : le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours Corpus Texte A Stendhal, Le Rouge et le Noir Texte B Texte C Albert Camus, L’Etranger Alain Robbe-Grillet, Pour un nouveau roman Texte A Stendhal, Le Rouge et le Noir Julien, jeune homme pauvre et ambitieux, est précepteur des enfants du maire, M. de Rênal. Il vient d’obtenir une double victoire : l’attention de la maîtresse de maison, et une augmentation de son salaire. 5 10 15 20 25 30 J’ai gagné une bataille, se

un journalintime.Le lecteur est dans les pensées et dans les gestes du personnage. Néanmoins dans les extraits de Stendhal et de Dumas, les narrateurs sont externes, en effet ils utilisent la troisièmepersonne dusingulier pour désigner le personnage principale « il ne pouvait », « lui n'avait » « il courut » 3Fabrice s'amusait. Cependant le point de vu dans l'extrait de Stendhal est interne puisquele lecteurpeut voir a travers les pensées du personnage, il sait tout de lui. L'auteur fait une description

un journalintime. Le lecteur est dans les pensées et dans les gestes du personnage. Néanmoins dans les extraits de Stendhal et de Dumas, les narrateurs sont externes, en effet ils utilisent la troisièmepersonne du singulier pour désigner le personnage principale « il ne pouvait », « lui n'avait » « il courut » 3Fabrice s'amusait. Cependant le point de vu dans l'extrait de Stendhal est interne puisquele lecteur peut voir a travers les pensées du personnage, il sait tout de lui. L'auteur fait une