Stendhal Discours Indirect

noter le paradoxe car les premières œuvres de Flaubert sont marquées par le romantisme. En effet, Flaubert critique le romantisme à travers différentes façons dans le roman : - les discours amoureux de Rodolphe sont une réutilisation des poncifs romantiques. Or, Rodolphe cherchant à manipuler Emma, les beaux discours perdent leur portée émotionnelle ; - les conversations de Léon et Emma sont aussi dominées par leurs lectures romanesques et romantiques et ils multiplient eux aussi les lieux communs

au personnage : (l.4) croire/laisser paraitre De penser : (l.15) «  il ne put résister à l’envie » (l.29) « elle jugea » Narration : - pronom indéfinie « on » qui inclue le narrateur et le lecteur. - discours direct : phrase de M.de Nemours à Mme de Clèves (l.32-38) Discours indirect : (l.8-10) « demande » (l.42-47) « il dit à sa femme que » → permet de mettre en évidence l’intensité de la narration. Le lecteur est sujet et spectateur. B) un geste

pester, éclater La supplication : supplier, implorer, prier, conjurer, insister Le doute : insinuer, soupçonner, suspecter, douter ATTENTION : le dialogue peut aussi marquer une rupture dans le rythme narratif. Pour passer du discours direct au discours indirect, sont soumis aux changements : les verbes, les indicateurs de lieux, les indicateurs de durée. Généralement, on passe du présent à l’imparfait, du passé composé au plus que parfait. Bien évidemment, les pronoms personnels et possessifs

travers ces procédés le lecteur ressent de la pitié envers les habitants de Rocreuse, on peut identifié le registre pathétique. Dans ce texte on entend la voix des habitants : « on allait donc se battre ? », « oui, on allait se battre ». C'est un discours indirect libre qui est introduit dans la narration. Le narrateur perçoit à travers la narration les sentiments des habitants. On peut distinguer le champ lexicale de la rumeur : « des gens qui passaient sur la route annonçaient les Prussiens », « à entendre

également l’heptasyllabe et le trisyllabe, fantôme d’un vers possible, le décasyllabe. Tout cela suscitant le sourire chez le lecteur cultivé à l’horizon d’attente déjà fournie. Le substantif « été » est narrativement intégrer à la fable, porté par le discours du narrateur, comme s’inscrivant près de l’univers quotidien des hommes. Au vers 3 et 4, le double passé simple est le signe du constat : un fait isolé qui passe de l’été à la bise. Le passé simple entraîne précipitation et synthèse. La modalisation

2 La discussion - Discours direct : théâtre l71 seule réplique du père ; 5 répliques "moi" ; 5 réplique "Dr Bissei" ; dernière réplique "Moi" l75-90 --> s'adresse comme un médeci à un criminel -Discours indirect l45 que... que... que --> volonté de donner de la valeur aux propos de Bissei - Discours narrativisé l1-8 : parlent mais on ne détaille pas leurs échanges --> aucun intérêt pour le débat. Conclusion Petit passage narratif, beaucoup de discours de différentes variétés/natures

s’inscrit dans le projet de Zola : dans sa volonté de réalisme, il adopte la langue des personnages qu’il met en scène, ce qui lui sera reproché.. – b ) les Lorilleux - Ils interviennent à partir de la ligne 7 par le discours indirect libre: « une vraie poison, disaient-ils », discours indirect libre que l’on retrouvera plus loin, l. 25-26 « Et ses toilettes donc, des guenilles dégoûtantes qu'une chiffonnière n'aurait pas ramassées ! Dieu de Dieu ! il pleuvait drôlement sur sa mercerie, à cette belle blonde

res­a­un­ami­allemand­reflexions­sur­la­guillotine­ la­peine­de­mort­l­absurde/camus­la­peste­commentaire­du­preche­de­paneloux.html     I ­ Un discours persuasif du prêtre.  1) L’organisation du texte.        2) Force de persuasion du discours.    Mélange de récit et des trois formes de récit :  discours direct, discours indirect et discours  indirect libre.  http://www.etudes­litteraires.com/discours­rapp orte.php     Un paragraphe = un argument.  1) châtiment divin, “dieu n’est pas tiède” il 

(Phonétique, phatique, rétique). Phatique dans le sens choisi par Austin veut dire parler. Rétique on met un relation un sujet avc un prédicat ou un thème avec un rhème. Il m’a dit « sortez » vs …de sortir. Le discours direct réécrive l’acte illocutoire tandis que le discours indirect ou narrativisé réécrive autre chose, on n’a pas information précise de l’art illocutoire. Acte illocutoire : art effectué en disant qqch. et par se dire lui-même. Il a été développé dans la pragmatique des arts

ligne 40. Dans cette partie le discours domine. Avec le discours narrativisé allant de la ligne 5 à la ligne 9, nous avons une intériorité du loup. Puis nous avons un déferlement de verbes d’action qui doivent remédier à la frustration du loup. Puis un dilemme se pose entre une action instinctive violente (le mettre en quartiers) qui est refoulée au profit d’une résolution (ligne 10 à 12). Péripéties 2 (ligne 13 à 31) Dans cette partie le discours domine également. L’éloquence