Stendhal Discours Indirect

toutes les facettes, la diversité des tactiques destinées à toucher le plus large public. - Rythme binaire. - Personnification de l’attaque : « L’attaque… frappait » (l.3), « cet ennemi inconnu et acharné » (l. 6). - Variante dans le discours direct de Madeleine : « flanquer un abattage » au ministre de la justice (l.19). Reprise à la ligne 20 : « Et on flanquait un abattage » = langue familière, argot. 2. La notoriété et l’influence de La vie française. Le journal « La Vie française

éloquences différentes (études des discours).  Ajout de L.F par rapport fables Esope, Phèdre / attrait du récit  discours (tt type de discours) 1) La stratégie du lion :  discours direct : permet au lecteur d’entendre la stratégie employée par le lion. Convaincre ou persuader ? persuader v.15 : « Mes chers amis »  situation de crise. Formule d’appel étonnante.  affection du roi pour ses sujets + mise au même niveau. - Un discours modalisé (qui laisse passer ses sentiments

et tu bruis / Quand s’ouvrent lentement tes grandes portes noires » Réécrivez ce passage en commençant par « O buffets… ». PASSAGE DU DISCOURS DIRECT AU DISCOURS INDIRECT - Comment elle est ta maman ? Quelle est sa couleur ? Comment s’appelle-t-elle ? - Où habites-tu ? En respectant les temps du récit, réécrivez ce passage au discours indirect, en commençant par la phrase « La dame lui demande… » [pic] (2/2) CHANGEMENT DE TEMPS ET DE PERSONNE « La tranquillité, on ne l’avait

que Guy de Maupassant a usé sont aussi spéciale. Il y a beaucoup de formes de passe simple, de l’imparfait, et de plus-que-parfait. Il a aussi usé quelques formes de passé antérieur qui était nouveau pour nous. Pendant le discours direct Il y a de présent. Mais les discours indirect sont très rares. C’était très surprenant pour moi que je n’ai pas trouvé une forme de passé composé. exposé Le conte se joue pendant un diner chez le baron des Ravles. Les gens a chassé toute la journée, mais le marquis

juger. Il évoque l’ordre d’un procès judiciaire ⋄ Champ lexical de la justice. Alternance entre « je » et « elle ». A l’arrière, le public est nommé avec un « on » indéterminé. Solennité dans le ton. Marion s’exprime au discours direct pour l’innocence et Rousseau au discours indirect pour le mensonge. Rapporté au présent de narration. C’est le moment crucial - Le verdict : * Renvoi dos à dos les deux partis : « le comte Laroque… » B) Les protagonistes 1°) Le portrait de Marion : Analespse

vie, là où tout leur soin regardait seulement à la passer heureusement et plaisamment ; pour cette raison, ce qu’ils en pourraient trouver, sauf ce qui était employé au service de leurs dieux, qu’ils le prissent hardiment ; quant à un seul Dieu, le discours leur en avait plu, mais qu’ils ne voulaient changer leur religion, s’en étant si utilement servis si longtemps, et qu’ils n’avaient accoutumé prendre conseil que de leurs amis et connaissants ; quant aux menaces, c’était signe de faute de jugement

II) Langue : (3 pts) 1/ Vocabulaire : L e narrateur se rappelle de son enfance avec son père. * Réécrivez la phrase en remplaçant le verbe souligné par un verbe de sens équivalent. 2/ Grammaire : Transformez la phrase suivante en un discours indirect : Le narrateur a affirmé : « Depuis que mon père est parti, je me sens une moitié, une moitié de moi-même qui court après une ombre qui ne reviendra plus » III) Essai : (10pts) Pascal Jardin avoue : « Depuis que (mon père) est parti,

présent ex : j’ai entré dans une restaurant puis un homme m’a invité pour le dîner et je lui dit j’ai mangé, cette dernière action est proche du présent contrairement au passé simple. -on utilise dans le style direct le passé composé, et le style indirect le passé simple L’imparfait : - On emploi l’imparfait quant- il y a les action au passé sont long, ou bien pour décrire puis pour l’habitude Le conditionnel - le conditionnel peut devenir un temps ex : il m’a dit que le lendemain j’irais à

sur … que nous répondrons à ces interrogations) sur Eschyle (Les Chéophores, les Euménides, 458 av. J.-C.), sur Pascal (Pensées, Trois Discours sur la condition des Grands, 1670) et sur Steinbeck (Les Raisins de la colère, 1939) pour répondre à ces questions. Ou encore : C’est à la lumière des Choéphores et des Euménides (Eschyle), des Pensées et des Trois Discours sur la condition des Grands (Pascal), ainsi que des Raisins de la colère (Steinbeck) que nous tentterons de répondre à ces interrogations

de « rieur » au début, le financier est montré à son tour « riant de sa naïveté » par la suite : le rire a donc bien changé de camp ! Mais c’est surtout par l’importance accordée au dialogue que La Fontaine anime la fable. Les nombreux passages au discours direct, des vers 15 à 33 et aux vers 48 et 49, restituent de façon vivante la parole des personnages. La dynamique du dialogue est assurée par les questions du banquier et les réponses de son voisin. A la première interrogation « que gagnez-vous