Stendhal Et La Religion

renaissance et humanisme, le contexte historique et son influence sur les idées et les valeurs de l'humanisme. 2 Le baroque Le baroque naît à la fin du XVIe siècle et se prolonge jusqu’au second tiers du XVIIe siècle. Il est marqué par les guerres de religion. • Il se caractérise par l’exubérance des formes, le mouvement, les jeux de miroir, les métamorphoses Mais ceci se dessine sur un arrière-fond pessimiste : la mort est toujours présente, le monde est inconstance et illusion. • Le baroque s’exprime

Commentaire Composé Le réalisme est un mouvement artistique et littéraire apparu au XIXe siècle. Il connaît son apogée dans les années 1830 à 1850 avec des auteurs tels que Émile Zola, Victor Hugo, Alexandre Dumas, Stendhal, Guy de Maupassant ou encore Honoré de Balzac. Ce mouvement vise à reproduire le plus fidèlement possible la réalité en abordant des sujets dont l'inspiration plonge dans la description de la société du 19 éme siècle. Par exemple Zola décrit avec réalisme la misère du monde

valeurs esthétiques et morales, ses idées et thématiques nouvelles ne tardèrent pas à influencer d'autres domaines, en particulier la peinture et la musique. Le romantisme peut être présent dans les romans du XIXe siècle comme chez Hugo, Chateaubriand, et Stendhal. Le romantisme en Allemagne Le romantisme émerge en Allemagne à la fin du xviiie siècle. Novalis en définit le programme dès 1798 : « Le monde doit être romantisé. Ainsi on retrouvera le sens originel. […] Quand je donne aux choses communes

illusions, au registre pathétique. LE DRAME ROMANTIQUE Le drame romantique est une forme littéraire appartenant au genre du théâtre, née au début du XIXe siècle dans le sillage du drame bourgeois du XVIIIe siècle. Racine et Shakespeare, l'œuvre de Stendhal parue en 1823, et surtout la Préface de Cromwell (1827) de Victor Hugo, le théoricien de ce nouveau genre, en sont les textes fondateurs LE REALISME Le réalisme est un mouvement artistique moderne apparu en Europe dans la seconde moitié du XIXe

mots collectifs : interminable.défilé, peuple, monde.. 5. L'atmosphère solennelle et religieuse d'un sacrifice : - postures symboliques : à genoux, baissé le front - allusions à Dieu : l'Homme-Dieu, descendait sur la terre - champ lexical de la religion : encens, autel, sacrifice divin, croyait reconnaissance II L'apothéose d'un arriviste : 1. L'apothéose sociale par des images fortes: a. Les précisions sur l'attitude, le comportement physique Suzanne semble suivre Duroy mécanniquement

différence existe pour prouver à chaque individu qu’il possède ses propres caractéristiques et qu’elles l’aident à se distinguer des autres. Toutes ces distinctions , qu’elles soient religieuses, physiques ou autres amènent à des multitudes de questions. Stendhal affirme que : La différence engendre la haine. Le fait de ne pas être comme les autres susciterait la haine, une hostilité à faire du mal. Mais est-ce la différence qui est au cœur de ce problème ? La différence a-t-elle un quelconque lien avec

MOUVEMENTS LITTERAIRES Humanisme : C’est un mouvement européen centré sur l’homme plutôt que sur des valeurs telles que Dieu, la religion, les lois. C’est une véritable révolution dans les mentalités. Se caractérise par la foi en l’homme et la redécouverte de la littérature de l’Antiquité. Auteurs : ERASME, RABELAIS, MONTAIGNE, Joachim DU BELLAY. Pléiade : Nom donné à un groupe de poètes français de la renaissance caractérisé pour son refus de l’héritage littéraire médiéval et son admiration

futur. “L’avenir est dans le science”. Les banques jouent une rôle, obsession pour l’époque, on emprime, on change etc. Fin dus siècle: le cas Flaubert. Il n’y a pas d’ecrivains qui osent Flaubert au Xxe siècle. Symbolismes Correspondences Réligions XIXe:Les Révolutions (aussie révolutions économique, la grande industrielle, developpement les mines, des ateliers, des usines etc) La photographie et l’electricité sont là. Revolutions sociales: classe ouvriers, grande bourgeoisie, classe paysana

Elle [ la poésie ] se mettra à faire comme la nature, à mêler dans ses créations, sans pourtant les confondre, l’ombre à la lumière, le grotesque au sublime, en d’autres termes, le corps à l’âme, la bête à l’esprit ; car le point de départ de la religion est toujours le point de départ de la poésie. […] nous venons d’indiquer le trait caractéristique, la différence fondamentale qui sépare, à notre avis, l’art moderne de l’art antique, la forme actuelle de la forme morte, ou, pour nous servir de mots

l’époque, la senteur cadavéreuse d’une société qui s’éteint. L’auteur anonyme de la Physiologie prend plaisir à nous ôter les illusions de bonheur conjugal, premier bien des sociétés. La Confession achève le livre de M. de Lamennais, et proclame que la religion et l’athéisme sont également morts, tués l’un par l’autre ; qu’il n’y a pas de consolation pour l’honnête homme qui commet un crime. Nodier arrive, jette un regard sur notre ville, sur nos lois, sur nos sciences ; et, par l’organe de don Pic de Fanferluchio