Stendhal Indirect Libre

du monde contemporain de La Bruyère (la France, l’Autriche, la Bavière) sont mis en parallèle avec des hauts lieux de l’antiquité (Egypte, Babylone). L’absurde trouve son point d’orgue dans les deux derniers phrases du passage, où Hermagoras laisse libre cours à ses divagations. Le style coupé donne l’effet d’un pêle-mêle de paroles sans aucune connection, malgré la logique réflective que le personnage manifeste, qui se caractérise par des digressions. Les deux dernières phrases restituent particulièrement

discours indirect libre pour mieux nous révéler la fausseté des doutes de Jean et son point de vue sur ses états d'âme. II - UN SUBTIL JEU SUR L'ALTERNANCE DISCOURS/RECIT A. Discours direct (Marques distinctives : guillemets ; 2 points ; présent dominant) Repérage : l. 6, l. 32-33, l. 35 Le discours direct donne une notion de spontanéité, d'authenticité aux paroles de Jean. "O", symboliquement, ce discours est celui qui est le moins présent dans le texte. B. Discours indirect libre

comme baigné de lumière : " s’allumaient ", " éclairaient toute la figure de leurs fils d’or ", " figure d’or ", " clarté autour de lui " : allusion à Vulcain, dieu des forgerons. " il devenait beau, tout-puissant, comme un bon Dieu " : discours indirect libre . C’est Gervaise qui pense (d’où la comparaison " comme un bon Dieu " et non " comme un dieu ") Conclusion : Cette évocation de Goujet a donc d’abord une portée argumentative : Zola veut démontrer la valeur du travail manuel (il s’adresse

|temporels | | |Quel plaisir a-t-il eu depuis qu’il est au monde ? |Monologue au discours indirect | | |En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? |libre : bilan, introspection | | |Point de pain quelquefois, et jamais de repos, | |

l'interpelleront pas. 1) Devant ceux qui son pour lui des "héros de chair et d'os", il éprouve tout d'abord un sentiment d'admiration et d'envie qu'exprime l'image "avec des yeux de pauvre" et la double exclamation hyperbolique au discours indirect libre "comme ils étaient forts et rapides! comme ils étaient beaux!" Sartre insiste sur le désir qu'éprouve l'enfant de participer, de partager les jeux des autres. Son humilité est telle qui l'en est a accepter des rôles de moins en moins glorieux

limitée du fait de son anonymat. Quelques décennies après sa mort, le livre Mémoires de Jane Austen, écrit par son neveu, est publié, la faisant connaitre d’un public très large. Son réalisme, sa critique sociale mordante et sa maîtrise du discours indirect libre, son humour décalé et son ironie ont fait d'elle l'un des écrivains anglais les plus largement lus et appréciés. Elle écrit deux autres romans, Northanger Abbey et Persuasion, qui font tous les deux l'objet d'une publication posthume en 1818,

compte leur mécontentement : « des deux moitiés la bonne est pire que la mauvaise » (l.31), « heureusement que son boulet ne l’a coupé qu’en deux » (l.35.36), «  Dieu sait ce qu’il nous aurait fait voir ! » (l.37). Il se sert également du discours indirect libre : «  Finis les temps heureux et licencieux de Préchampignon ! » (l.20), «  personne ne pouvait faire son bon plaisir sans être réprimandé » (l.22.23). La philosophie des lépreux correspond à l’épicurisme c’est-à-dire à la recherche raisonnée du

civilisation européenne est faite de corruption et de mensonge. I/Un échange faussé. Composition en miroir : →Structure un discours l.1 à 13 + réponse faite à ce discours l.13 à 38 ; les deux au stylé indirect libre « qu’ils étaient gens paisibles. » l.4 →Le discours indirect libre permet à Montaigne de se mettre à distance de ce qui est dit, dans la première partie présence d’ironie « plaisante » l.2, « remontrances » l.3 = euphémisme ironique, « très bénignement » l.9 = hyperbole ironique

Chamalières-Clermont, Clermont-Paris, Paris-Valenciennes ». Le narrateur anonyme adopte le point de vue de Simon qui est d’économiser la dépense d’un parapluie parce que ce voyage lui a déjà couté chère. Il a acheté « un sandwich à prix d’or ». Par le discours indirect libre qui à pour principale fonction de rapporter les pensées intimes du personnages nous apprenons que l’essentiel dans la vie de Simon est de « casser sa croute, et trouver chaussure à son pied » c’est à dire de manger et d’avoir une compagne, mais

de « prostituée », de « honte publique » (l.2-3) appartiennent au discours indirect. Cela nous permet d’adopter la position de Boule de Suif, qui n’est pas dans la conversation des trois dames. Elle n’entend que ces mots péjoratifs à son égard et ne sais pas qui les a prononcés (car il ya un manque volontaire de complément d’agent dans la phrase). Cet effort de syntaxe rend ce passage plus réaliste. Le discours indirect libre entendu dans « …leur semblait-il…vendue sans vergogne » (l.10-12), nous montre