Stendhal Indirect Libre

répliqua Gabriel avec simplicité. » ainsi que du discours indirect : «Doukipudonktan, se demanda Gabriel excédé. ». La narration entrecoupe ces dialogues de façon éphémère : « Gabriel regarde dans le lointain ; elles, elles doivent être à la traîne, les femmes, c'est toujours à la traîne ; mais non, une mouflette surgit qui l'interpelle ». (Explication) Cette abondance de dialogues et cette narration qui rappelle parfois le discours indirect libre donnent une très grande dynamique au texte. Les actions

puissance dramatique au récit « Elle ne répond pas. (…) Elle attend. ». Un autre procédé très important et qui est aussi présent dans tout le texte est le mélange des discours indirect, indirecte libre et direct. On les retrouves au sein d’une même phrase « Elle lui dit quelle ne fume pas, non merci » (l.8) ; «Il réfléchit et puis il dit qu’il (…) c’est bien ca, n’est-ce pas ? Oui c’est ca. » (l.15-18) ; « …une jeune fille comme elle l’est

discours indirect. Il permet une mise à distance des propos des personnages grâce à des modalisations maintenues et des formes de phrases telles que les phrases interrogatives ou exclamatives nous permettant de nous faire ressentir l'état de la personne lors de ces propos. Une autre forme de discours est également utilisée dans les extraits présentés qui se détache complètement des caractéristiques du discours direct et dont les subordonnées même disparaissent ; il s'agit du discours indirect libre

Gervaise ressent de l’angoisse face à l’alcool et l’exprime dans le texte (ligne 5) au style direct : « Oh ! C’est vilain de boire ! » (ligne 8) au discours direct. Coupeau lui aussi est répugné face à l’alcool (ligne 10 et suivantes) au discours indirect libre et donne une raison au discours direct (ligne 17) : « Dans notre métier, il faut des jambes solides ». Les personnages parlent de leurs antécédents familiaux. Les personnages parlent de leur passé familial, Gervaise nous raconte « qu’elle avait

fragilité et cherche autant à faire entendre la voix du personnage au lecteur, qu’à la rendre touchante. 2- La joie d’un monde Parallèlement, Zola inscrit dans sa narration toute la joie du monde des bars. Elle intervient ici grâce au discours indirect libre qui se fond dans la description de l’alambic. La gouaille et l’imagination de Mes-Bottes sont éloquentes et amusantes. Ses camarades reconnaissent même qu’il a " un fichu grelot ", et l’on peut penser que Zola adhère à cette idée. Il reprend d’ailleurs

corps. . Discours indirect : narrateur inclut les paroles des personnages dans son propre discours. Pas placé entre guillemets mais sont subordonnées à un verbe de parole, ce qui entraîne un certain nombre de modifications grammaticales. . Discours indirect libre : les paroles des personnages subissent les mêmes modifications grammaticales que dans le discours indirect, mais elles ne sont plus subordonnées à un verbe de parole. Le discours indirect et le discours indirect libre ont pour principale

atmosphère angoissante indiquer par 2 métaphores « l'angoisse lui tordait l'estomac » et « cette nuit écrasée d'angoisse ». 2°) Prise de conscience: Tchen semble prisonnier de son acte. Sa désolation s'exprime par les exclamations, et le discours indirect libre nous permet de connaître sa pensée « Combattre, combattre des ennemis éveillés, des ennemis qui se défendent ! » Répétition expriment son dépit. Il est obligé d'agir pour une cause à laquelle il croit, mais il se rend compte qu'il va devoir

de peintres. Les personnages ne sont pas caractériser par un portrait physique détaillé ou par un portrait moral approfondi mais caractériser par leurs attitudes. Par le discours narativisé « il commanda une halte », du discours indirect, par du discours indirect libre et du discours direct. III- La réflexion de l'art et de la mimesis Mimesis : Art de représenter le réel → cf : Salon des refusés ( Déjeuner sur l'herbe de Manet fit scandale ) On voit que l'attitude des personnages est mise

fait froid » et la boisson me fait froid l 32. Le froid annonce l’arrivée prochaine de sa mort. Point de vue de mes bottes : pour décrire l’alambic du point de vue de mes bottes, Zola a utilisé deux discours : le narrativisé et le discours indirect libre présent l20 « tonnerre de dieu ! Elle était bien gentille »et 24 « dame ! (…) ça aurait joliment remplacé les dés à coudre de ce roussin de père colombe ! », son niveau de langue est familier. On est en face d’un ouvrier ivrogne grossier dont

 décalage.  Je  démontrerai  que  le  choix  du  contexte  n’est  pas  innocent.  J’insisterai   surtout  sur  l’utilisation  de  la  focalisation  interne  et  du  discours  indirect  libre  car  c’est  par  leur  biais   que   Zola   nous   fait   littéralement   «  ressentir  »   le   décalage   entre   les   personnages   et   le   monde   dans   lequel