Stendhal Le Rouge Et Le Noir Le Bal

L’Albatros », Spleen et Idéal, Les Fleurs du Mal - Daumal, « Les dernières paroles du poète », extrait final de ContreCiel - Eluard, L’Evidence poétique, extrait d’une conférence prononcée à Londres, le 24 juin 1936 HATIER Annabac 2006 « Je mis un bonnet rouge au vieux dictionnaire » (ES/S – juin 2005) - Boileau, Art poétique, Chant I - Hugo, « Réponse à un acte d’accusation », Les Contemplations, livre premier, VII. - Rimbaud, « Lettre à Paul Demeny, dite du voyant », 15 mai 1871 HATIER Annabac 2006 HACHETTE

joue-t-il dans la construction du personnage ? Objet d’étude : Le personnage de roman, du XVIIème à nos jours. groupement de textes (lectures analytiques d’extraits) : 1. Paul Scarron, Le Roman comique (portrait de Mme Bouvillon) 2. Stendhal, Le Rouge et le Noir (portrait de Mr de Rênal) 3. Gustave Flaubert, Madame Bovary (portrait de Catherine Leroux) 4. Alain Robbe-Grillet, La Jalousie (portrait de A… ) Documents complémentaires : Alain Robbe-Grillet, extrait de Pour un nouveau roman sur le

93 94 95 96 98 100 101 103 105 109 112 115 116 118 120 124 128 130 Module de lecture 1 : Le silence de la mer de Vercors Module d’apprentissage N°4 : Guerre et Paix Oral Débat : Guerre à la guerre ! Lecture Les routes noires de Antoine de SAINT-EXUPERY Lecture Le dormeur du val de Arthur RIMBAUD Langue Le conditionnel et le subjonctif Ecrit L’étude de texte Lecture de l’image Affiche Handicap International Lecture : Villages en flammes de Louis Ferdinand CELINE

1885, (3ème partie, Chapitre 3) Dans un commentaire composé que vous ferez de ce passage, vous étudierez par exemple l’attitude des Maheu face aux idées soutenues par Etienne Lantier. Texte 2 Au début de son poème, Césaire congédie le Noir humilié qui accepte son sort. Au bout du petit matin… Va-t’en, lui disais-je, gueule de flic, gueule de vache, va-t’en je déteste les larbins de l’ordre et les hannetons de l’espérance. Va-t’en mauvais gris-gris, punaise de moinillon. Puis je me

les noms des écrivains les plus importants dans chaque genre littéraire. P O É T E 1. LAMARTINE 2. Alfred de Poètes VIGNY Sé3. Victor HUGO co4. Alfred de ndMUSSET air Théo. Gautier Banville Nodier Barbier Béranger G.de Nerval R O 1. BALZAC M 2. STENDHAL A 3.George SAND N HISTOIRE 1.Augustin THIERRY 2. MICHELET Écrivains Religieux 1. LAMENNAIS 2. LACORDAIRE Critique littéraire : SAINT- BEUVE autres romanciers et conteurs THÉA- VICTOR HUGO Alfred de TRE MUSSET et a s A.

La Comédie humaine (1830-1848). Ce cycle romanesque est une peinture minutieuse de la société de son époque et s'inscrit dans le courant réaliste qui triomphe dans la deuxième moitié du XIXe siècle. 1. Sa vie | Doc. 1. Portrait de Stendhal | Stendhal (de son vrai nom Henry Beyle) naît à Grenoble en 1783 dans une famille bourgeoise pieuse et royaliste. Il a la douleur de perdre sa mère très tôt et ne gardera de son enfance que de mauvais souvenirs : la révolte contre son père hautain et

resplendissaient parmi les touffes blanches des cotonniers ; des vignes, chargées de grappes, montaient dans le branchage des pins : un champ de roses s'épanouissait sous des platanes ; de place en place sur des gazons, se balançaient des lis ; un sable noir, mêlé à de la poudre de corail, parsemait les sentiers, et, au milieu, l'avenue des cyprès faisait d'un bout à l'autre comme une double colonnade d'obélisques verts. Le palais, bâti en marbre numidique tacheté de jaune, superposait tout au fond

Réalisme et naturalisme (1830-1900) L’école réaliste, vers 1850, oppose l’exigence de vérité aux illusions romantiques. Elle sera plus pauvre en littérature qu’en peinture. Le réalisme au sens large caractérise déjà vers 1830 les romans de BALZAC ou de STENDHAL (marqués par le romantisme, mais qui représentent la société réelle), et le mot sera appliqué à FLAUBERT (Madame Bovary, 1857). Le naturalisme de ZOLA (vers 1880) définit plus rigoureusement cette esthétique de la vérité en se référant au modèle

partage des eaux entre histoire et fiction : le nom propre », in Circé. Histoires, Cultures & Sociétés, Numéro 1, 2012 : La solidité supposée d’un nom propre servit longtemps de digue pour protéger le récit historique des débordements de la fiction. Stendhal, dans la Chartreuse, invente Fabrice et convoque Napoléon. Du premier, il est le maître, du second l’esclave — au sens où les connotations de ce nom propre sont à la fois entièrement prévisibles et résolument incontrôlables. Il n’en demeure pas

vais vous mettre en scène. D’abord, il se nommait Godefroid de Beaudenord. Ni Finot, ni Blondet, ni Couture ni moi, nous ne méconnaîtrons un pareil avantage. Le gars ne souffrait point dans son amour-propre en entendant appeler ses gens au sortir d’un bal, quand trente jolies femmes encapuchonnées et flanquées de leurs maris et de leurs adorateurs attendaient leurs voitures. Puis il jouissait de tous les membres que Dieu a donnés à l’homme : sain et entier, ni taie sur un œil, ni faux toupet, ni