Stereotype Du Petit Poucet

chassé du paradis. 3) L’univers stéréotypé des personnages Présentation du héros, puis de la famille du baron et enfin de Pangloss. Chaque personnage porte un nom qui le caractérise et la description se limite à un trait caricatural . a) le héros : innocence et naïveté indiquées par le nom / prénom qu’il porte : pas de nom de famille : c’est un « bâtard » cad naissance illégitime : comme dans les contes, le héros est « inférieur » ( cf. petit poucet ou vilain petit canard ). Traits valorisants :

les dessins de Pierre Belvès, lecteur adolescent à l'Heure Joyeuse. Il sera pour le Père Castor l'illustrateur d'une cinquantaine d'albums, notamment du célèbre Roule galette de Natha Caputo, de Pauv'coco de Marie Colmont, du Petit poisson d'or de Rose Celli, ou du Vilain Petit Canard de Hans Christian Andersen. Son style, inspiré par les costumes folkloriques d'Europe centrale, a marqué l'imaginaire des enfants du troisième quart du XXe siècle. Ce n'est pas un hasard d'ailleurs s'il est chargé en

magiques. Il y a souvent intervention des éléments naturels… - Les personnages varient peu : la plupart des héros n’ont pas de nom propre, mais des surnoms caractérisant un trait physique (le Petit Poucet, Barbe Bleue, Riquet à la Houppe), un accessoire (Cendrillon) ou un vêtement (Peau d’Ane, Le Petit Chaperon Rouge, Le Chat Botté). Ils peuvent aussi être caractérisés par leur titre, leur fonction sociale ou leur situation familiale. - Les situations sont identiques et traduisent une quête

L’œuvre connaît tout de suite un grand succès, même si la censure intervient bientôt, étant donne lé caractère polémique et satirique de l’œuvre. Voltaire nous présente ici son héros arrivé à l’âge de l’adolescence, vivant heureux dans une famille de petite noblesse allemande, sur fond de paysage idyllique qui semble justifier le titre. Nous allons voir en quoi ce chapitre semble annoncer le début d’un conte. Nous verrons ensuite en quelle mesure cette atmosphère de conte cache en fait une critique

réactions de la Belle, elle n’a plus peur du monstre Incitation à quitter nos préjugés Conclusion : Il y’a des ingrédients du merveilleux, qui sont au service d’une réflexion morale. L’auteur s’interroge sur la dualité de l’homme en créant le stéréotype du monstre. Le thème du monstre est un moyen de parler de l’homme. ----------------------------- 4- Victor Hugo : Notre dame de Paris (Quasimodo) ------------------------------------------- I- Le triomphe de la laideur --> Une description

caméra stable. Les républicains voulaient que ça mène à sa perte mais c’est le contraire qui s’est produit car Clinton nous est apparu comme un etre normal (qui bégaye, s’énerve). On a donc eu pitié de lui. On en parle tellement que ça devient un stéréotype, un cliché. Tout le monde fait de la communication sans le savoir. Il y a donc une double difficulté: incertitude et succès. Incertitude : elle est partout et nulle part. On ne sait pas exactement ce que c’est, puisque ce n’est pas une discipline

peut-il avoir une utilité sociale ? Il permet, par exemple, d’éviter des décisions absurdes, parfois collectives, en entreprise. Il permet aussi de résister, dans nos démocraties, aux croyances erronées : les mythes du complot par exemple, ou des stéréotypes bien ancrés. Et la résistance cognitive est aussi un facteur de tolérance. Elle permet l’intelligence interpersonnelle, c’est-à-dire la capacité de faire taire son propre point de vue pour favoriser celui d’autrui. Quand les attentats de janvier

leur étude ne peut se contenter des outils habituels de la critique littéraire : par leur forme comme par leurs sujet, ils entrent dans le champ des sciences humaines. Les Contes sont aussi un livre qu'on connaît ou qu'on croit connaître depuis la petite enfance. 1.2 Un livre pour enfants ? Les Contes appartiennent simultanément à deux sous-genres dépréciés, qui sont la littérature populaire et la littérature pour la jeunesse. Mais le livre de Perrault est-il vraiment un livre pour enfants

préférait l'aînée qu'elle favorisait constamment. Un matin, elle envoya la puînée au fleuve pour laver une calebasse. La petite obéit et partit aussitôt. Arrivée au bord du fleuve, elle rencontra un génie qui avait pris l'apparence d'une vieille femme. - Peux-tu m'aider à remplir ma jarre ? lui demanda la vieille femme. - Oui, dit l'enfant. Dès que la jarre fut pleine, la petite fille lava sa calebasse et voulut rentrer chez elle. Mais la vieille femme la retint et lui offrit un oeuf. - En chemin

tard des dictionnaires vont compléter et codifier ce « bon usage » en question. Mais plus encore l’âge du goût. L’âge du goût Parce que Molière : « La grande règle de toute les règles et de plaire » C’est donc séduire et pour plaire il faut le petite je-ne-sais-quoi. On cherche à plaire. Molière, Lafontaine, mais encore Bossuet, Racine.. un travail très précis sur la forme. Pascal, Boileau = sont les théoriciens du « bon goût », sont aussi les ennemis du pédantisme. L’éveil de l’esprit