Stichomythie

affrontement plus vif. La tension entre les protagonistes monte rapidement et la dispute devient alors comique ou, alors, dramatique. Les auteurs ont recours à la stichomythie afin d'exprimer un face-à-face entre des ennemis jurés. Dans Le Cid, la dispute entre Don Diègue et le Comte, qui aboutit à un soufflet, se déploie dans la stichomythie. Le dialogue de théâtre possède aussi une variété de registres qui soulignent l'affrontement entre les personnages. Le lyrisme est présent dans les scènes de désaccord

-par le comique de situation, engendré par la vitesse d’enchaînement des actions : un paysan annonce l’arrivée imminente d’Ubu, et Ubu défonce la porte à la fin de sa phrase. Le ramassage des « finances » se fait aussitôt après un dialogue en stichomythie ; Ubu parle et proteste quand un paysan prend la parole en lui reprochant de parler tout le temps : la mauvaise foi est terrible mais fait rire. -par le comique de geste : Ubu ramassant lui-même la finance ; la bataille finale (gifles, mêlée de

Hirsch 01.02.2010 D. Lʼemploi des temps: - S utilise le présent de vérité générale , on peut dire quʼil parle de sentences. E. Lʼalternance des répliques: - il y a des répliques brèves, on appel sa les stichomythies (p.34 «nous ne le pouvons pas , que fais-tu dont avec nous ?» = stichomythie) II. Lʼaffrontement idéologique. A. Les reproches de S à K: - il lui reproche son narcissisme «pour se suicider il faut bcp sʼaimer» - S remet en cause la sincérité de lʼengagement de K « je nʼaime pas

et à mesure que les vers avancent. 2. Développement : a. Une joute verbale : i. Au début réplique courte pour attirer l’intention du Comte, ii. En suite explication avec quelques répliques plus longue, iii. Puis les répliques s’accélèrent (stichomythies) pour arriver au duel. b. La naissance du héros : i. Un début timide, il tente une « approche » avec le Comte par des interrogations dont il connait la réponse. ii. Il s’explique sur sa venue, il veut venger l’affront qu’à subit son père. iii

Plusieurs techniques sont possibles, et même cumulables : partir de l’un des enjeux et repérer tout ce qui s’y rapporte ; analyser le texte ligne par ligne et relier les observations aux enjeux repérés ; analyse le texte par étape (d’abord les stichomythies puis les répliques longues par exemple). Dans cet exercice, nous utiliserons le principe du ligne par ligne : • Premiers mots de Toinette sont insolents « on y va », ordre donné à Argan, pas de marque de déférence sociale • La réponse

présent suivit de l’infinitif. Mais il y a aussi beaucoup d’impératif, de subjonctif, de futur et de conditionnel qui montre l’expression de l’ordre et de la volonté et parfois même de la défense. 5) Cette scène n’est pratiquement faite que de stichomythies, ce qui montre que les personnages se disputent et sont en désaccord sur le sort de Martine (la renvoyer ou pas). Tout cela donne un rythme assez soutenu et rapide. C’est un ton agressif car les répliques sont très courtes et alternées. Il y a

reconnaît que cette scène est une scène de comédie par son coup de théâtre son registre comique et son dynamisme A)Scène de reconnaissance : coup de théâtre Comique de situation Les stichomytie signal qu’on est dans un coup de théâtre. Scène vive stichomythie accélération Il présente sa tache de naissance comme un hiérogliphe qq chose de divin. Il se présente comme un héro de roman, il a été enlevé par des bohémiens et serait issu d’une famille noble, il a été retrouvé recouvert d’or et de chose précieuses

> Molière, de son vrais noms, Jean Baptiste Poquelin, est l’un des plus grands dramaturges français. > Molière connaît le succès pour la première fois quand il joue une pièce devant le roi Louis XIV (Le Docteur amoureux). Le roi l'apprécie beaucoup. En 1659, sa première grande comédie, Les Précieuses ridicules, est applaudie et ses pièces suivantes connaissent beaucoup le succès mais aussi la critique. > Il est célèbre pour ses

Molière, L’école des femmes. Tout est en alexandrine. Une stichomythie IE répliques courtes Le barbon IE vieux amoureux du jeune ; est ridicule à la base. Etre prédestiné comme être cocu. Amour malséant IE va à l’encontre des bienséances. Tonalité tragique avec vers emphatique ou lyrique (isolexisme) – (début de vers) qui donne une tournure pathétique au personnage mais aussi comique entre le registre employée et la situation qui est là. Echo au comique de situation car Arnolphe responsable

Analyse : Acte II, scène 9 Scène d’adieu: “éloignement” l.1 : antipathie  jeu sur le double sens du mot  scène d’adieu qui va se transformer en scène d’aveu  paronyme Stichomythies (=échange vif, agressif) : l.1-18 ; l.40-l.89  jusqu’au moment d’aveu Phrases brève  rythme haletant  sensibilité du personne  l.20-22, l.28-29 + elle dit que Dorante n’a aucune chance avec elle (repris plus tard par Dorante) Répétition de la question l.12-13, l.60-62  remet en cause l’adieu < XVIIème