Stigmatisation

l’intégration, il est nécessaire de savoir quelle place la société politique et institutionnelle est prête à accorder aux revendications identitaires et culturelles […] la crainte de l’étranger prend de l’ampleur, en même temps que se développe la stigmatisation des banlieues paupérisées dans lesquelles se concentrent la plupart des difficultés d’ordre social et économique des sociétés post-industrielles. » En rattachant la thèse de cet auteur à la notion d’altérité, pouvons-nous réellement affirmer que

questionnements (2). 1) Un climat conflictuel La discrimination positive crée des conflits car en favorisant certains individus, ceux-ci sont stigmatisé (a) et rencontre parfois des problèmes (b). a) La stigmatisation des individus d’une société La discrimination positive peut entrainer une stigmatisation des individus. Stigmatiser un individu c’est un processus qui vise à le désigner selon une caractéristique qui lui est propre. Cela est problématique. On reprend l’exemple du présentateur de TF1

pairs, pratiques et relations qui deviennent sources de tensions face aux exigences scolaires, et de mettre en avant la réaction de l’institution face à ces nouvelles pratiques ascolaires qui viennent perturber l’ordre scolaire (discréditation et stigmatisation des élèves et des pairs). (Plan du texte) I)Les pairs, l’école et les doubles contraintes a) La force symbolique des pairs et des sociabilités de quartier Grâce à de nombreux entretiens et d’observation il a été mi en évidence l’importance

de risques à rompre le silence. Les familles se replient sur elles-mêmes et rentrent peu à peu dans l'isolement. 3) L'isolement Après la découverte des conduites à risques du jeune, la famille se marginalise à travers cette peur de la stigmatisation, la honte, la culpabilité. La famille remet très peu en cause la société, le business des rues, elle se dit individuellement responsable et coupable mais reconnait à l'enfant sa part de responsabilité. Cette culpabilité génère un isolement

| | | |Chômage et précarité participent aussi à accroître la |ou | | | |désocialisation, la stigmatisation, la dévalorisation de soi. |A) Les transformations de la famille | | | |(documents 2 et 3) |B) Au choix une autre instance d’intégration : la protection

une norme social car dès le plus jeune âge durant la socialisation les enfants apprenne le modèle familiale. Par le biais des jouets,film pour enfant... et est rendu comme conduite légitime 2)Homosexualité: de la répression à la tolérance Stigmatisation c'est le fait de designer quelqu'un comme déviant en raison des caractéristique physique en tenant de l' apparence différent de la norme déviance: transgression des norme et valeur établit (norme soc) Etre homosexuelle est vu comme déviant

déviant ou non. La déviance est perçue comme une construction sociale par laquelle certains individus sont désignés comme tels : ils intériorisent cette étiquette et la sanction a des effets de renforcement sur le statut de déviant (phénoméne de stigmatisation). . La déviance peut être analysée comme une véritable sous-culture. Certains conflits culturels peuvent apparaître entre les normes et les valeurs d’un groupe et la culture dominante dans la société. CONCLU

1995 à 2,3 % en 2005. Selon Daniel Sabbagh, les politiques de discrimination positive ont été efficaces à court terme aux Etats-Unis en intégrant des élèves issus des minorités. Les effets pervers de cette politique a été de créer une stigmatisation supplémentaire envers ces minorités en envisageant qu’ils n’auraient pas les capacités d’accéder à ces universités sans la création de ces mesures. Cela a donc produit une dévalorisation de ces diplômes à cause du traitement préférentiel.

L’exclusion sociale est due à différents facteurs qui sont plus ou moins liés et qui peuvent être engendrés par un bouleversement au cours de la vie de l’individu, mais aussi à des facteurs de vulnérabilité, des inégalités sociales, la précarité, la stigmatisation ou encore à des problèmes rencontrés par la personne au cours de son enfance . Elle peut s’appliquer à n’importe qui, et personne n’est « immunisé » contre l’exclusion. C’est aussi en partie avec l’évolution de notre société depuis les années

l’islamisation de l’espace public, ce qui est contraire au principe de laïcité », répond André Gérin, président de la mission d’information parlementaire. Il semble donc judicieux de trouver le bon équilibre entre la banalisation du phénomène et la stigmatisation de la communauté musulmane. Comme l’exprime François Bayrou, « la bonne réponse s’est de réaffirmer que notre pays, est le pays des visages dévoilés ». En conclusion, l’éternel dilemme lié à la nécessité ou non du principe de laïcité ne peut