Strabon

tolérait l'homosexualité, c'etait à condition que les concernés se comportent comme des hommes et on refusait qu'ils agissent comme des "folles" sous peine de se voir rejetés et traités de « culs-larges ». Les historiens grecs, Éphore et Strabon, évoquent ,quand à eux des mythes selon lesquels des hommes vennaient kidnapper des garçons et les emmènaient dans les forêts, où ils les gardaient pour en faire des hommes. L'apprentissage durait deux mois, au cours desquels il y avait pénétration

Babylone dont la réalité historique est remise en question. Origine de la liste L'origine de la liste des Sept merveilles du monde est difficile à attribuer. On peut citer notamment Hérodote (-484, -425), Diodore de Sicile, Antipater de Sidon et Strabon. Antipater de Sidon a rédigé l'une des premières versions de la liste des sept merveilles du monde, dans un poème datant d'environ - 140 : « J'ai posé les yeux sur le rempart de la vaste Babylone surmontée d'une route pour les chars, sur la statue

Histoire romaine – les Antonins - Textes d’appui du cours Les pouvoirs de l’empereur Selon Strabon : Les provinces ont été réparties diversement selon les moments ; à l’heure actuelle, elles le sont suivant l’organisation de César Auguste. Quand sa patrie lui concéda le pouvoir suprême et qu’il fut reconnu à vie comme seigneur de la guerre et de la paix, il divisa l’ensemble du territoire romain en deux parties. Il en prit une pour lui-même et il attribua l’autre au peuple. Quant à lui,

bataille navale d'Arnorgos (322), lui merne A son tour par Sylla en 86, ce dernier des monuments de I'irnperialisme athenien doit sa gloire posturne aux cornrnentaires des historiens, geographes et encyclopedistes de I'epoque romaine des Vitruve, Strabon, Plutarque, Valkre Maxirnel et surtout de Pline qui parait I'adrnirer au mbrne titre que les rnerveilles du rnonde antiquez. La reputation dont jouit actuellement I'arsenal de Philon est cependant due rnoins A sa glorification par les anciens qu'

c'est-à-dire de la péninsule ibérique à la Roumanie en passant par la France, le nord de l'Italie, l'Allemagne, la Bohême, la Slovaquie, l'Autriche où la présence de populations à caractère celtique est attestée, et la Hongrie. Diodore de Sicile et Strabon laissent penser que le coeur celtique se trouvait dans le sud de la France. Le premier nous dit que les Gaulois vivaient au nord des Celtes, alors que les Romains considéraient les Celtes comme étant également des Gaulois. Avant les découvertes de

terme péjoratif qui désigne une tradition suspecte.· Possibilité de croire en ces légendes : épurer les mythes du merveilleux, par exemple, Aristote distingue le mythe de ce qui n’est pas mythique (« on raconte que » et « à ce que l’on croit »). Strabon a su séparer le vrai du faux : Ulysse a existé mais n’a pas fait tous les voyages dont décrivaient Homère· Paul Veyne prend les points de vue d’une grande diversité d’auteurs connus (Lucrèce, Polybe) et dont les époques varient.· De plus, il est possible

temple d'Hadès, ouvert une seule fois par an et seulement pour le prêtre du dieu33. Pausanias note que « les Éléens sont les seuls à [s]a connaissance qui rendent un culte à Hadès », mais donne par ailleurs des indications sur un culte à Coroné34 ; Strabon évoque également un culte à Hermioné35. Hadès est « Zeus souterrain »36, à rapprocher du « Zeus chtonien » qu'Hésiode recommande au laboureur d'invoquer avant de mettre la main à la charrue37. Il est plus couramment vénéré sous des épiclèses qui

pénétration est si forte qu’on trouve dès 75 av. J.-C. des imitations du denier romain comme monnaie gauloise. Le reste de la Gaule n’est pas pour autant un ensemble cohérent et structuré. César et tous les auteurs antiques (Diodore de Sicile, Strabon, Lucain) insisteront sur les divisions qui y règnent : « En Gaule non seulement toutes les cités, tous les cantons et fractions de cantons, mais même, peut-on dire, toutes les familles sont divisées en partis rivaux.» (César, De Bello Gallico, VI

de l’IMA 2. L’Egyptologie, histoire d’une science L’Egypte pharaonique est très vite oubliée après l’antiquité mais se retrouve dans la Bible (en tant que menace), le Coran, des évocations dans des écrits de grecs (Hérodote, Diodore de Sicile, Strabon, Plutarque) Finalement, peu de sources fiables mais certains de leurs témoignages sont importants car ils ont longtemps étés les seules sources L’Egypte entretient un lien étroit avec l’ésotérisme (pouvoirs magiques des hiéroglyphes par exemple) A

1. Qu’est-ce que la romanisation de la Gaule La romanisation de la Gaule est un processus historique long et complexe qui s’est étalé sur environ quatre siècles. Pour l’appréhender, les traces écrites gréco-romaines (César, Strabon…) donnent un état de la Gaule et de ses habitants mais qui peut prêter à caution. Une approche plus objective doit s’appuyer aussi sur les sources épigraphiques (14000), archéologiques et architecturales. Parmi ces dernières figurent les mosaïques très prisées dans