Streptococcus pneumoniae

UFC. Une coloration de Gram a montré des cocci à Gram positif disposé en diplocoques et en « flamme de bougie » évoquant Streptococcus pneumoniae. -un réisolement sur gélose au sang en déposant un disque d’optochine sur le 1er quadrant est réalisé ainsi qu’un antibiogramme sur gélose MH sang. J3/ ECBC -La souche isolée est sensible à l’optochine, en faveur de S. pneumoniae. Un ApiStrepto est ensemencé pour confirmer l’identification. -L’antibiogramme révèle un S.pneumoniae de sensibilité diminué

 exemples  de  cellules  procaryotes   Metallireducens  bacteria           Salmonella  sp.     Francisella  tularensis     Escherichia  coli       Streptococcus  pneumoniae       Staphylococcus  sp.   3-­3-­  La  cellule  eucaryote   La  majorité  des  organismes  vivants  actuellement  répertoriés  sont  des  eucaryotes.  Leurs  tailles

        Quelques  exemples  de  cellules  procaryotes     Metallireducens  bacteria       Salmonella  sp.     Escherichia  coli       Francisella  tularensis       Streptococcus  pneumoniae       Staphylococcus  sp.   3-­3-­  La  cellule  eucaryote   La  majorité  des  organismes  vivants  actuellement  répertoriés  sont  des  eucaryotes.  Leurs  tailles  et  leurs   complexités

Lors du lancement de la campagne en 2002, la France consommait plus d’antibiotiques que tout autre pays d’Europe et faisait face à un problème naissant de résistance aux antimicrobiens, notamment avec l’apparition d’une souche résistante de Streptococcus pneumoniae, bactérie qui colonise le nez et la gorge et peut provoquer des affections allant de l’infection bénigne de l’oreille moyenne à la pneumonie potentiellement mortelle et menace tout particulièrement les jeunes enfants et les personnes âgées

: 5 à 10% Fréquence élevée d’isolement de Salmonelles et à un moindre degré d’H. influenzae Fréquence élevée d’isolement de Streptocoques du groupe A T. BEN CHAABANE et al. des cas, plus rarement les Staphylocoques coagulase négative, Streptococcus pneumoniae et Entérocoques. L’antibiothérapie de première intention doit tenir compte de la nature de la porte d’entrée : 2.2- Les arthrites septiques Elles représentent 54% des IOA observées au cours de l’étude multicentrique et sont plus fréquentes

présente dans les voies respiratoires supérieures (nez, gorge, oreilles) et pouvant infecter le liquide céphalorachidien (autour du cerveau et de la moëlle épinière)) était la plus sensible aux huiles essentielles, suivie par Streptococcus pneumoniae (le pneumocoque) et Streptococcus pyogenes (peut être à l’origine des angines, impétigos, scarlatines …) Les huiles essentielles contenant des aldéhydes ou des phénols montraient l’activité antibactérienne la plus forte, suivies par celle contenant des alcools

| | | | |Micrococcus | | | | |Streptococcus | | | | |Enterococcus | |COCCI |- |[pic]

infections parasitaires et dans l’allergie. Les Anticorps (et donc les lymphocytes B) sont particulièrement importants dans la lutte contre les infections a bactéries extracellulaires, encapsulées (bactéries pyogènes): haemophilus influenzae, streptococcus pneumoniae par exemple; ainsi que contre certains virus, en particulier intestinaux. Comment le sait-on ? Les patients sans Acs (agammaglobulinemiques) présentent des infections sévères et récurrentes avec ce type de germe, qui débutent vers 6 mois

paroi. Parmi ces streptocoques non groupables, un seul est pathogène ; c’est ce le Streptococcus pneumonaceae. En générale, les streptocoques beta-hémolyse sont des streptocoques groupables. Dans ce cas il suffit de chercher la nature chimique du polyoside C pour trouver le groupe du streptocoque. Si le streptocoque produit une alpha-hémolyse, il est non groupable (seul le Streptococcus pneumoniae est rechercher). Mode opératoire : On prépare une suspension bactérienne et on pose

Aiguës (OMA) Les modifications de l’épithélium par les virus respiratoires au décours des infections intercurrentes contribuent à favoriser l’adhésion et la multiplication des bactéries normalement présentes dans le rhinopharynx. Celles-ci (Streptococcus pneumoniae, Hemophilus influenzae et Moraxella catarrhalis) colonisent l’oreille moyenne par la trompe d’Eustache, d’autant que le tapis mucociliaire y est altéré, en particulier à cause d’infections par certains virus respiratoires. Plusieurs facteurs