Strophes pour se souvenir

Séquence n°1 : Les Mémoires d’une âme« Souvenir »Alfred de Musset - Poésies nouvelles - 1850Éléments d’introduction :- Carrière d’abord poétique (génie + cycle poétique des Nuits). En parallèle, échec théâtral : four de La Nuit Vénitienne (décide d’écrire du théâtre pour ne pas le représenter : exemple de Lorenzaccio et défi théâtral = paradoxe). Plus connu aujourd’hui pour son théâtre, avec une écriture pourtant toujours très poétique. - Relation mythique George Sand / Alfred de Musset = les amants

se répète à la fin de la première et de la dernière strophe. Il y a aussi une comparaison : « Comme des larmes d'or qui de mon cœur s'égouttent, » Cette œuvre d’Émile Nelligan possède aussi, selon moi, une grande musicalité. ****Tout au long du poème, Nelligan fait allusion à des feuilles qui tombent. La strophe « Feuilles de mes bonheurs, vous tombez toutes, toutes. » laisse entendre que ces feuilles dont on parle sont en fait les souvenirs heureux que Nelligan avaient ainsi que ce qui le rendait

puis nous aborderons l’état d’âme du poète. Le poème s’organise de la façon suivante : dans la première strophe, il y a l’existante d’un amour impossible dans la seconde strophe, le temps qui passe est clairement expliqué dans les deux dernières strophes, une description du paysage est fait par le poète. Le protagoniste qui jouait un rôle important dans les 2 premières strophes s’efface. I- La description d’un paysage A) la présence de l’observateur et du bateau La promenade

structure très visible apparait comme un moyen de redonner une cohèrence et une certaine existance aux moments de bonheur qui ont echapper au poète. Cette effet de composition circulaire est renforcé par la métaphore de la coupe au vers 48: le souvenir est comme la coupe dans lequel le poète recueil tous les instants de bonheur et l'action du poème est comparé à l'action de boire cette coupe: 'boire le reste...' v38. Versification: Alexandrins: vers longs adapter pour la reflexion et la meditation

travers « Chanson d’automne ». Ces axes de réflexion ouverts, il s’agira d’étudier dans un premier temps la musicalité présente dans la première strophe qui confère au poème son genre de chanson et annonce dès lors la douleur du poète. Douleur explicitée dans la seconde strophe en relation avec la thématique de la fuite du temps où seuls les souvenirs peuvent apparaître comme un remède, pour finalement conclure sur l’impuissance du poète devant sa destinée aussi fragile que celle des feuilles automnales

poème très mystérieux et comme « Annie » il évoque un personnage féminin et un amour impossible. C’est un poème élégiaque qui s’inscrit dans le cycle rhénan. Le poème se compose de cinq quatrains d’octosyllabes à rimes placées un peu au hasard d’une strophe à l’autre. On note l’absence de ponctuation, car seul le rythme du vers suffit. Le titre est marqué de prime abord par le déclin du jour et donc par la mort, ces éléments renvoient peut-être à cet amour perdu avec Marie Laurencin. Le cadre de ce

sa renaissance». En fait, l'année 1903 est la date de la déconvenue amoureuse et non pas celle du poème lui-même. Il aurait chanté sa complainte dès cette année-là mais ne lui aurait donné une forme littéraire qu'à partir de juin 1904 (voir la strophe 55). Quant à l’amour de Guillaume Apollinaire, véritable phénix en effet (oiseau fabuleux qui renaissait de ses cendres), il allait, tout au long de sa vie, sans cesse renaître chaque fois pour une autre femme ! Le poème comprend soixante quintils

jeunesse jusqu’à la mort. La 3ème strophe : lente = un quintil et une coupe différente des alexandrins : 4-5-3 ou 2-2-2-6 => impression de lenteur. Evocation du vent et de l’eau qui entraînent tout, montrant le cours de la vie => Fuite du temps. B. Idée de permanence Place du souvenir : « Figé en arrière » => il y a des traces malgré l’éloignement Ambiguïté avec « ruines » (tout est détruit, a disparu) cachées, parées par le « mai » mais les souvenirs sont toujours là. Résistance des

mélancolique, plaintif, éploré (lamento, lamentation). Le mot élégie est un emprunt au latin « elegia », qui reproduit le grec « elegos » (le chant de deuil). Le Lac Le plan du Texte Les deux premieres strophes: Lamartine fait l’exposition et met en place le décor Les quatres dernieres strophes: Elvire prend la parole. Le poème est une réflexion sur le temps en rapport avec un amour qui semble à jamais fini. Il constate amèrement que le passé, fut-il heureux, est passé à jamais, que le temps

désespoir, mais que le souvenir de la femme aimée l’aide à trouver une certaine sérénité. 2. Faites toutes les remarques nécessaires sur la structure de ce texte Le poème est en pantoum à forme fixe, il est composé de 4 quatrains. Le deuxième quatrain reprend deux des vers de la première strophe. Le deuxième et le quatrième vers du premier quatrain sont repris en tant que premier et troisième vers du deuxième quatrain. Et ainsi de suite de strophe en strophe. Mais ce pantoum à