Strophes pour se souvenir

quatrième vers de chaque strophe sont repris respectivement comme premier et troisième vers de la strophe suivante, le tout dernier vers du poème reprend le premier. L'alternance des rimes masculines et féminines impose un nombre de quatrains pair. Le nombre de quatrains est illimité, mais doit être supérieur à six. Cette forme permet de donner au poème une musicalité particulière. La particularité vraiment originale du pantoum réside dans le sens : il développe dans chaque strophe, tout au long du poème

comment les nazis essayaient d'associer l'action des résistants à des actes criminels. Aragon présente les résistants comme des héros, des hommes courageux. Aragon utilise un registre pathétique à la dernière strophe car il parle des sentiments. Comme son titre l'indique «strophes pour se souvenir» il ne veut pas qu'on oublie ce qu'il c'est passé. Il s'agit de manipuler l'opinion publique en jouant sur la peur histoire des arturrragon a écrit ce poème en s'inspirant de la dernière lettre de Missak Manouchian

composa d’abord un poème où chaque strophe comprenait trois vers de décasyllabes aux rimes féminines. Puis il supprima la ponctuation, transforma les tercets en quatrains en conservant deux décasyllabes qui encadrent deux vers de quatre et six pieds. Ainsi furent créées des strophes dites élégiaques où les vers courts, porteurs de sentiments profonds, sont plus intenses. ‘’Le pont Mirabeau’’ est formé de quatre strophes où s’intercale un refrain. Chaque strophe est composée de trois décasyllabes

« Une charogne» Structure : 1ere strophe : souvenir commun, l’auteur parle à son âme (une femme) 2eme strophe : évocat° du souvenir (la charogne), descript° du lieu + positionnement du corps 3eme strophe + début de la 4eme : le temps, la météo 4eme strophe: l’odorat 5eme , 6eme et 7eme strophe : l’ouïe + la vue 8eme strophe : comparaison avec les peintres + la décomposit° de la forme 9eme strophe : lieu + gout 10eme, 11eme, 12eme strophes : discourt de la femme I/ Choquant car une description

nuit avec la femme dont il était amoureux, Julie Charles. Le tout est un discours, au présent. Le poème est composé de seize quatrain (strophe de quatre vers) faits d'alexandrins et hexasyllabes. Le schéma des rime est, de la strophe une à cinq et de la strophe dix à seize, alternés avec trois alexandrins et un hexasyllabe (ABAB). Le discours interne, strophe six à neuf, suit le schéma alterné aussi mais avec alexandrin et hexasyllabe alterné aussi (ABAB). Le schéma masculin-féminin est aussi alterné

et le lecteur comprend qu'il s'agit de souvenirs. En effet, cette fois-ci, le poète revient seul sur les lieux de ses premiers amours. Il cherche peut-être à revivre des moments merveilleux mais il ressent également beaucoup de regrets. Il se souvient avec mélancolie d'une promenade qu'il a faite l'année précédente avec elle. Le poète cherche à se rappeler des moindres détails de ces moments heureux mais les souvenirs s’estompent. Les trois dernières strophes se composent de prières et le subjonctif

«Si je mourrais là-bas » est composé de cinq strophes, elles-mêmes composées de cinq vers en alexandrins. Les quatre première strophe sont au conditionnel, tandis que la dernière strophe et le post-scriptum sont au présent. Mais le plus important, c’est que, dans toutes les strophes, les premiers vers illustrent le même thème : l’idée que le poète se fait de sa mort. De nombreux mots sont répétés plusieurs fois tout au long du poème : « sang » et « souvenir », ce qui montre bien l’obsession de l’auteur

composa d’abord un poème où chaque strophe comprenait trois vers de décasyllabes aux rimes féminines. Puis il supprima la ponctuation, transforma les tercets en quatrains en conservant deux décasyllabes qui encadrent deux vers de quatre et six pieds. Ainsi furent créées des strophes dites élégiaques où les vers courts, porteurs de sentiments profonds, sont plus intenses. ‘’Le pont Mirabeau’’ est formé de quatre strophes où s’intercale un refrain. Chaque strophe est composée de trois décasyllabes

fleurs du mal". Il s’agit ainsi de se demander comment baudelaire oscille entre laideur et beauté. Afin de répondre à cette question, nous verrons dans un premier temps comment ce poème semble à la première lecture n’être qu’un simple récit d’un souvenir amoureux. Nous étudierons cependant dans un second temps la comparaison entre la charogne et la fleur faisant balancer le poème entre laideur et beauté. Enfin, nous mettrons en lumière de quelle façon baudelaire arrive à sublimer son poème en transformant

des vagues, des splendeurs Et des esclaves nus, tout imprégnés d'odeurs, Qui me rafraîchissaient le front avec des palmes, Et dont l'unique soin était d'approfondir Le secret douloureux qui me faisait languir. 1 ère strophe : - Des rymes embrassés. Chaque strophe represente une succesion de - Une petite réminiscence - Une hyperbole qui a pour but de manifier le soleil. - Les piliers sont droits grand et magestueux : désire de manifier cette descripition grâce a une hyperbole. -