Structure Gouvernement Empire Carolingien

») II/ Autorité publique dans les institutions Chapitre 1 : Les principes Chapitre 2 : La justification de l’autorité publique Chapitre 3 : L’adoption des principes de l’autorité publique aux diverses formes politiques III/ Les institutions de gouvernement Chapitre 1 : Les conseils Chapitre 2 : Les « lois » Chapitre 3 : Expansion de l’Etat PARTIE 1 : CONSTITUTION ET INSTITUTIONS DE L’OCCIDENT Chapitre 1 : De la fin de l’Antiquité Grecque à l’époque Franque Les conceptions de communauté supérieure

représentatifs de cette tendance (1960’s). En 1959 il va revendiquer une orientation sociologique fondée sur une analyse des faits plutôt que sur une conception a priori de l’État et du gouvernement. Ainsi le point de vue des politistes sur les phénomènes politiques montreraient les structures et les mécanismes du gouvernement des hommes tels qu’ils sont et non pas tels qu’ils voudraient être. Pour les politistes, le droit constitutionnel serait un mythe. Maurice Duverger explique que les juristes ont longtemps

(une lieue théorique autour de la ville, sous sa juridiction // le plat-pays (les campagnes environnantes, non fortifiées Quelques spécificités de l’espace urbain au Moyen Age : - un espace marqué par une absence de ségrégation sociale, parfois structuré en quartiers organisés autour d’une famille dominante (résidant dans un palais, parfois muni d’une tour). - un chantier permanent : on détruit facilement les bâtiments existants. - un espace de libre circulation - un espace public : celui de la

France est alors « Roi très chrétien ». A partir de la fin du moyen age, les rois de France se prévalent du droit d'ainesse de la foi : ils sont fiers d'être les descendants du 1er roi converti (malgré la différence de descendance mérovingiens, carolingiens...) ils se font appeler «les fils ainés de l'Église» .1ere expression. Fin XVme cette expression est officiellement dans la titulature du roi de France (titre du Roi) et la papauté le reconnait (relation très étroite entre la France et

les évènements qui sont advenus de quelque nature qu’ils soient. Histoire politique : vient du grec police qui veut dire ville , cité. C’est « l’art de bien gouverner la cité » ( Aristote ) Regroupement : mise en place de la cité ; système gouvernement ; grandes administrations : la justice , financière et armée. L’étude des constitutions des missions de l’Etat. De tout les régimes et doctrines politique : philosophique , idéologie politique. Histoire économique : OICONOMIA ordre entre arrangement

qu’il tend à instituer une unité entre les êtres humains, une société ; ensuite, l’État implique une puissance d’ordre c’est-à-dire qu’il institue des rapports de commandement et d’obéissance donc une certaine hiérarchie que reflétera la forme de gouvernement ; enfin, l’État est une totalité exclusive ou si l’on préfère une puissance jalouse de son monopole qui s’affirme en s’opposant. Le droit, particulièrement l’approche positiviste, a souvent considéré l’État comme une réalité naturelle mais aussi

territoriale et populaire de l'Europe et exprime une quête d'unité ancestrale (A). Ces difficultés n'ont pas empêché l'unification progressive de l'Europe à travers l'exploration maritime et fluviale et la fondation de comptoires marchands (B), qui vont structurer, du XIe au XIIIe siècles, des économies hétérogènes et diversifiées (C). A – La part mythologique : de la légende d'Europe aux Chevaliers de la Table Ronde L'Europe se construit par des légendes communes aux peuples européens, qui révèlent

conservateurs (à droite). Mais ils en oublient la personne. Ius personarum : romains intègrent la famille. • Les sources juridiques, repères historiques, bibliographie. On peut découper l’histoire en 3 blocs : Rome, ancien régime ; révolution et empire. • Rome. Repères politiques : au nombre de 3 : -la royauté avec le premier roi : Romulus en 753. Elle s’achève en 509 avec la République avec Brutus qui dure jusqu’à -27 avec la fondation de l’empire jusqu’en 476 et orient jusqu’à 1453 avec la

coup d’état de Pépin le Bref en 751, l‘hérédité a subit sa première atteinte puisqu’une nouvelle dynastie, sans lien avec la précédente, a été mise en place. En 754, Pépin le Bref fait sacrer ses fils et pose le principe selon lequel seul un roi carolingien peut gouverner le royaume : retour à l’hérédité. En 888, l’hérédité est remise en cause et jusqu’en 987 triomphe l’élection des rois. En 987, nouvelle dynastie fondée donc retour à la légitimité des liens du sang. Pourtant, si la légitimité passe

nouvelle dynastie : les Carolingiens, dont le 1er Roi est Pépin le Bref. Ces rois francs (germaniques) vont donner l’illusion sous le règne de Charlemagne et de son fils Louis le Pieux, jusque dans les années 840 donnent l’impression qu’à la différence des Mérovingiens, ils vont pouvoir rétablir, imposer l’ordre, la paix, donc l’unité. Cette espérance se solde par un échec et l’on peut dire qu’à partir des années 888, l’époque dite féodale succède à l’époque carolingienne. Les temps féodaux sont