Structure Narrative Le Horla

Le Horla de Maupassant Analyse Identifier le sous-genre : Les sous genres romanesques • le cadre de l’intrigue : c'est un roman rural étant donné que l'intrigue se déroule dans la campagne. • la nature de l’action: c'est un roman noir qui se base sur la folie. • la technique narrative : - énonciative : le roman est raconté à la première personne du singulier. - esthétique : nous sommes dans un courant surréaliste. - formelle : nous sommes dans un vrai faux journal

Exemple d’explication de texte : la nouvelle Le Horla de Maupassant Sommaire : I. Eléments du cours II. Extraits du Horla (1887) III. Exemple d’explication de texte I. Eléments du cours L’explication de cette nouvelle est faite par l’élève en suivant différents niveaux d’analyse qui vont du général au particulier et lui permettent d’appréhender la structure d’ensemble du texte. A chaque niveau, l’élève doit à la fois reconnaître des éléments présentés en

< Précédent Suivant > Mots clés caractéristiques Séquence 2 La nouvelle fantastique Etude d’une œuvre intégrale : La Vénus d’Ille de Prosper Mérimée Objectifs : - Découvrir la notion de fantastique. - Etudier la structure narrative d’une nouvelle du XIXème siècle - Réinvestir les acquis de la séquence 1 sur le récit complexe Séance 1 : Oral - Evaluation diagnostique : Introduction à la notion de fantastique Séance 2 : Ecriture/Oral - Contrôle

désigner le Horla sont également intéressants. En effet, le narrateur utilise d’une part des pronoms de la troisième personne du genre masculin : « je l’ai vu » « guettant celui que je sentais » « pour le tromper » « je fus certain qu’il lisait » « qu’il était là » « je l’avais vu ». Ces pronoms suggèrent que l’être a des caractéristiques humaines. Cependant, des pronoms personnels du genre neutre sont également utilisés, ce qui souligne au contraire l’identité très floue du Horla : « je regardais

qu’il côtoie tous les jours sont aussi très intéressants et singuliers, comme Peggy Blue, une jeune fille qui souffre de la « maladie bleue » et qui vit avec Oscar, amoureux d’elle, à l’hôpital. J’ai choisi cet œuvre car la façon dont l’histoire est structuré pour démontrer le changement de mentalité de l’enfant par rapport aux difficultés qu’il rencontrait sur son chemin m’ont beaucoup touché et m’ont permis de remettre en question des croyances que j’entretenais, tout en me divertissant. Cette histoire

analyse de Horla Romancier de la seconde moitié du XIXe s., Maupassant est connu pour avoir fondé avec Zola et les écrivains du groupe de Médan le mouvement littéraire du Naturalisme, qui pousse à l’excès les exigences du Réalisme. Bel Ami et Boule de Suif sont des œuvres caractéristiques de la veine naturaliste de l’écrivain. Néanmoins, Maupassant a également composé des nouvelles fantastiques dont la plus célèbre est Le Horla. Le fantastique dans Le Horla On parle de fantastique en littérature

« conte » (Zola, Contes à Ninon ; Flaubert, Trois Contes), les écrivains choisissent une double direction qui caractérise le genre : la veine fantastique et la veine réaliste. Le Chef-d’œuvre inconnu (1831) de Balzac, La Vénus d’Ille (1837) de Mérimée, Le Horla (1887) de Maupassant témoignent de l’engouement pour la nouvelle fantastique au XIXe siècle. • La nouvelle, genre bref, bénéficie d’une large diffusion grâce à la presse qui publie de nombreux récits courts. C’est ainsi que Musset (Nouvelles,

tourne volontiers vers les « démons intérieurs » et les fantasmes, et les cours publics de CHARCOT attirent nombre d’écrivains parmi lesquels figure MAUPASSANT, dont les nouvelles fantastiques explorent souvent ces troubles intérieurs (cf La peur, Le Horla.) - La Nuit dépeint l’errance du personnage-narrateur dans un Paris devenu méconnaissable sous le manteau nocturne, où le héros finit par « se perdre ». Mais le cadre fantastique de la nouvelle, sous-titrée « cauchemar », place le texte à la frontière

tourne volontiers vers les « démons intérieurs » et les fantasmes, et les cours publics de CHARCOTattirent nombre d’écrivains parmi lesquels figure MAUPASSANT, dont les nouvelles fantastiques explorent souvent ces troubles intérieurs (cf La peur, Le Horla.) - La Nuit dépeint l’errance du personnage-narrateur dans un Paris devenu méconnaissable sous le manteau nocturne, où le héros finit par « se perdre ». Mais le cadre fantastique de la nouvelle, sous-titrée « cauchemar », place le texte à la frontière

et se poursuivent par la description d’un lieu lointain qui exclut une relation avec le réel, les récits fantastiques sont intégrés dans la description d’un contexte concret qui ancre le récit dans la réalité. Les nouvelles de Maupassant comme « le Horla » ou « Qui sait » sont les récits d’événements étranges qui surgissent dans le quotidien et l’environnement des héros. Parfois, c’est lors d’un séjour dans un espace nouveau qu’il découvre que le héros est surpris par le surnaturel, c’est dans ce contexte