Style Journalistique

Cette animalisation présente les conditions inhumaines de la situation. Les enfants sont traités comme des animaux. Les gardes deviennent même des chasseurs qui courent après leurs proies quand elles le leur échappent . A l'aide de cette figure de style Prévert nous montre qu'il ne cautionne pas toute cette violence auprès des enfants, qu'ils soit délinquants ou pas. A la fin du texte il espère que les fugitifs rejoindront le continent néanmoins il rappelle que l'île est entouré d'eau, et qu'il n'y

le luxe du magasin b) la publicité et le rendu. Pas de partie ni de sous-partie qui étudie seulement la forme : à éviter absolument la deuxième partie : « les procédés d'écriture » ; on ne sépare jamais le fond (les idées) de la forme (figures de style) Il manque dans les copies des remarques portant sur les formes littéraires (images, métaphores, hyperboles, etc...) , ne pas se contenter d'un simple recensement des mots, du vocabulaire (domaines lexicaux) Il faut rédiger l'introduction des citations

1) L'approche du texte: décrire, analyser, interpréter Il est nécessaire d'apprendre à aborder un texte (littéraire, argumentatif, journalistique ou autre) de façon systématique et raisonnée qui permette de dépasser la "lecture naïve" d'où naissent des impressions superficielles. Le moyen le plus sûr consiste à procéder selon trois étapes: décrire, analyser, interpréter. Bien qu'il faille au départ respecter cet ordre, l'explication consiste à opérer de constants aller-et-retours entre les trois;

l’objet d’étude (théâtre, argumentation, poésie, etc.) On repère tous les faits littéraires importants : Vous travaillez alors sur un brouillon : vous faites ici une étude linéaire dans laquelle vous étudiez de manière systématique : → figures de style (métaphore, comparaison, répétition, anaphore, métonymie, parallélisme, gradation, accumulation, apostrophe, etc.), tonalités, connotations, rythmes, sonorités, champs lexicaux, énonciation, phénomènes grammaticaux, types de phrase, valeur des temps

lecture analytique impose un cheminement rigoureux. Méthode de la lecture analytique d'un texte littéraire 1) L'approche du texte: décrire, analyser, interpréter Il est nécessaire d'apprendre à aborder un texte (littéraire, argumentatif, journalistique ou autre) de façon systématique et raisonnée qui permette de dépasser la "lecture naïve" d'où naissent des impressions superficielles. Le moyen le plus sûr consiste à procéder selon trois étapes: décrire, analyser, interpréter. Bien qu'il faille

qui parle à qui?, où? , quand?  -registre: comique, tragique, lyrique... -thème -problématique Il faut reconnaitre et respecter les caractéristiques formelles des textes (dans une lettre: formule d'introduction, date, lieu...), les procédés de style et caractéristiques d'expression. 2. Cas particulier de l'essai argumentatif. l'analyse du libellé de la question vous indique à quel niveau on vous incite à entrer dans le débat. -rendre compte: observer, reformuler, résumer. Vous ne vous impliquez

fonction du texte qui va au-delà de la simple transmission d'informations. Par exemple, elle s'interrogera sur la pertinence et l'efficacité des figures de style employées telles les métaphores, métonymies, litotes ainsi que sur l'agencement du texte, le vocabulaire et les temps verbaux employés. La stylistique renvoie à la notion de « style » (ou « stile » en ancien français) qui dans l'Antiquité désignait ce poinçon de fer ou d'os qui servait à écrire sur de la cire, et dont l'autre extrémité

un ouvrage qui va développé des idéos.  Style : Développement et l’enrichissement de la langue grâce à des néologismes  ils vont multiplier les genres. Le roman commence à naitre, ainsi que les essais. Les humanistes pensent que la perfection a été atteinte en Antiquité. (2 mouvements qui suivent l’humanisme).  Cette découverte du nouveau monde ébranle ces certitudes. Mouvement baroque : L’idée que le monde est un théâtre : Le style va surcharger la phase.  Très sophistiqué

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56 Les jeux poétiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58 Figures de style : les images . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 L’indignation et l’engagement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

facile d’expliquer un sonnet de Du Bellay que trois pages de Queneau, une courte scène de Racine qu’un long extrait de Beaumarchais ? Que les candidats se rassurent : l’examinateur a quelque conscience de la relative accessibilité de tel texte, de tel style, voire de tel auteur, et module ses critères d’évaluation en conséquence. Aucun piège n’est tendu : il suffit de bien lire, d’utiliser ses connaissances afin de discerner les enjeux de l’extrait proposé. Quels enjeux ? À titre d’exemple, reprenons