Style tintinnabuli

Introduction faire référence aux voyages de découvertes de l’époque, à la mode des suites qu’utilise ici Diderot I- La figure du vieillard tahitien L'éloquence oratoire et structure du discours
2 destinataires différents, mais muets dans ce texte Partie 1 aux Tahitiens (discours d'adieu, ton du prophète) - Désapprobation quelque peu ironique (répétition de pleurez)
- Antithèse révélant le comportement raisonnable (départ-arrivée)
- Avertissement par anticipation (répétition d'un jour)
- Gradation

importants du texte, tant sur la forme que sur le fond. Néanmoins, il fallait bien comprendre qu'il convenait d'expliquer le chagrin du poète à partir des figures de style. III - LES CONNAISSANCES REQUISES Vous n'aviez pas besoin de connaître la biographie de Paul Eluard pour commenter son poème. Une connaissance minimale des figures de style (métaphores, antithèses, oxymore) vous permettait de mener à bien l'analyse. IV - UN TRAITEMENT POSSIBLE DU SUJET A - CE QUI DONNE AU POEME UN CARACTERE INTIME

Problématique choisie : Ce texte est-il un article d'encyclopédie traditionnel ? I Une définition originale 1) Définition de dictionnaire En commençant par « Le christianisme » on fait une annonce de la définition, comme un article traditionnel. « Cela prouve » marque d'argumentation, volonté de construire le discours annonce une explication. Rq: si l'on regarde bien, dans la définition on a tous les vices rassemblés : violence, peur, superstition. 2) Mais une définition subjective

jjl s:jm lsj nsdg dgs s gs gd sf dgs ggsommentaire sous forme de lecture linéaire : Introduction : César Chesneau Dumarsais (1676-1756) est un grammairien. Il est surtout connu pour un Traité des tropes, c’est à dire une théorie des figures de style, un ouvrage de rhétorique. Ami de Diderot, et de d’Alembert, maîtres d’œuvres de l’Encyclopédie il est chargé par eux de rédiger pour cet ouvrage l’article « Philosophe » qui reflète l’idéal de tout un mouvement littéraire : le mouvement dit des «

contradictoire, où le mystère serait perceptible et saisissable seulement si l'on peut comprendre la femme et la peindre. La comparaison « son regard illumine comme l'éclair » et la métaphore « explosion dans les ténèbres, forment une succession de figures de style qui traduisent l'incapacité du poète à transcrire concrètement ce qu'évoque la femme. Une comparaison rappelle le premier tercet du sonnet « A une passante » des Fleurs du Mal: « Un éclair... puis la nuit! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait

oeuvres. La poésie: synthèse   les figures de style dans la chanson   un personnification c'est : une figure de style par laquelle on attribue une action humaine à un non-humain. ( ex: les repas nourrissent notre estomacs ) la comparaison c'est:une figure de style dans laquelle on met en évidence les ressemblances entre deux éléments au moyen d'un outil de comparaison. ( ex: dormir comme un lion) la métaphore c'est: une figure de style qui rapproche deux éléments pour en souligner une des

discours sont aux figures (linguistiques) de la langue ce que les images sont aux visages : les premières combinent les secondes de manière particulière ou singulière (bizarre, inattendue, imprévue, voire imprévisible). Les figures du discours (ou de style) sont des métaboles, parmi lesquelles comptent les métasémèmes, soit les figures (stylistiques) de mots : les métasémèmes sont des tropes; ce qui fait de la rhétorique restreinte des tropes une tropologie. Les trois principaux tropes, les archifigures

vraisemblables, mais aussi réflexion sur les « mœurs » de l’orateur et les passions du public. Ce genre apparît comme lié à la psychologie. DISPOSITION Organisation de l’ensemble du texte Ordonner ds un plan. ELOCUTION Mise en mots + figures + style C’est le domaine de l’ornementation ACTIO=hupocrisis Art de jouer le discours Ciceron prenait des cours. MEMORIA Ensemble de procédés mnémotechniques Les logos ou topoi (=la raison qui gouverne) ou magasin d’arguments =matière de

tragi-comique. L’emploi du 1er verbe au passé simple « nous fîmes » montre que l’auteur n’a pas abandonné le style soutenu. Sur le plan syntaxique, la plupart des phrases sont juxtaposées et non subordonnées. Elles débutent de façon indépendante comme : « Avec ma mère » (l 1), « Dans le grand abandon » (l 8), « Il y a » (l 11), « Tout se passe » (ligne 21). Ces tournures énumératrices donnent un style haché qui correspond bien au langage de tous les jours. Détaillons plus profondément. L’aspect misérable

La laitière et le pot au lait I) L’art du récit. a) Portrait d’une paysanne ambitieuse : - Verbes de mouvement - projets - tenue vestimentaire légère - vers 5 '"pour être plus agile" vient souligner sa détermination a etre dans lé meilleures conditions pour mener a bien sn affaire b) un récit bien structuré : - Plan du texte : 1ére partie : Le portrait de Perrette (l 11 à 29) tenue vestimentaire, pensée de Perette… 2ème partie : Le monologue intérieur qui traduit les rêves de Perrette