Stylo-plume

LES OISEAUX. Prologue 1 1 - 48 EUELPIDE, au geai. Est-ce tout droit que tu me dis d'aller, du côté où l'on voit cet arbre ? PISTHÉTÈRE, tenant une corneille. La peste te crève ! La voilà qui me croasse de revenir en arrière ! EUÉLPIDE. Pourquoi, malheureux, sautillons-nous de haut en bas? Nous nous tuons à chercher ainsi notre route de côté et d'autre. PISTHÉTÈRE. Je me suis fié, pour mon malheur, à cette corneille, qui m'a fait parcourir deux mille stades de chemin. EUELPIDE.

humains / au Poète, avec majuscule => tous se valent ; « agace, mime » => cruauté, jeu futile ; « bec » ( bouche du poète donc ils se moquent de sa poésie ; idem pour « mimer » ( parodier le poète qui composait ou déclamait (n’écrit-on pas avec une plume, justement ?), càd sûrement mimer avec grandiloquence le lyrisme poétique en le boursouflant ; d’autre part, « boîter » ( faire un mauvais vers (ne dit-on pas « un vers boîteux » pour un vers irrégulier ?) ; « archer » => rappel de la violence humaine

Les frustrés cherchent junon Bruit de fond, brouhaha, puis la petite cloche sonne, puis silence puis silence. Junon sort de sa boite avec une musique indienne Junon: je vous ai tous eût, je vous ai tous eût Autres frustrés, en cœur : bonjour Junon Junon fait les présentations de tous les frustrés un par un, et leur dit bonjour. Ensuite, les autres frustrés répètent ce que Junon a dit Junon: je vois que nous avons un nouvel arrivant. Comment t’appelles-tu ? Paon :

renaître, telles le Fébus, mais qu’il fallait avoir un cœur pur pour en percevoir le mystère et la beauté de la plénitude de leurs couleurs ! » * « C’est bien belle histoire que vous me contez là, ma mie ! » * « Trouvez moi, sur mon étal, une plume d’or, une de rubis, et une troisième, couleur de truffe, si vous pouvez les voir, elles écriront votre nom dans le ciel, et berceront le soleil et la lune de votre nom ! » Aussi dit, aussi fait, le chevalier prit trois plumes qui s’élancèrent vers

À ses pieds,une lettre déchirée, Mais au fond, son cœur est brisé, Elle n'arrive pas à concevoir ce qui s'est passé Elle donnerait tout pour recommencer... La lettre est écrite sur papier doré Couleur de son heureux passé, L'écriture à la plume argentée Couleur de ses larmes salées. Elle est partie vers les falaises arborées Sans un au revoir et sans histoire, Au fond du ravin, elle est tombée Pour oublier qu'il n'y avait plus d'espoir. Le lendemain, son corps a été trouvé Le teint

le texte d'andersen , la princesse sur un pois , n'est pas réaliste mais fantaisiste comme le sont les contes . De nombreux indices le prouvent : Le cadre spacio-temporel ,tout d'abord , est très vague , le narrateur situant l'histoire dans une époque indéterminée au moyen de la formule traditionelle "il y avait une fois" et ne se référant pas à un lieu plus précis qu'un "chateau". Ce cadre spatio temporel nous plonge d'embléé dans l'univers du conte merveilleux , et non dans un registre réaliste

me faire incinérer pour que plus personne ne puisse toucher à mon corps après la Mort et au moins je serais dans une petite urne qui pourra être au côté de mes proches ^^ Stranger: J'espère qu'on la fleurira de roses rouges et noires... Et qu'un plume de corbeaux s'y déposera pour que ton âme s'envole vers d'autres étoiles... Plus brillantes et plus belles... Stranger: *une You: Moi aussi je l'espère mais d'ici là je compte bien profiter de la vie et si je te croise je la profiterai avec toi ^^

la plus commune comportait de 28 à 32 plumes d’aigle royal. Ces plumes étaient montées autour d’une bonne en forme de cercle. Les plus anciennes coiffes Blackfoot et Cheyenne était autrefois montée en forme de tube.   Chaque partie de la coiffe en plume avait toujours une signification qui était comprise part tous les membres de la tribu.   La forme du bonnet avec ses plumes autour de la tête d’un guerrier était un symbole de la grâce divine du grand esprit qui rayonnait autour comme le soleil

répandu, Voit un pigeon auprès : cela lui donne envie ; Il y vole, il est pris : ce blé couvrait d'un las Les menteurs et traîtres appas. Le las était usé : si bien que, de son aile, De ses pieds, de son bec, l'oiseau le rompt enfin Quelque plume y périt : et le pis du destin Fut qu'un certain vautour à la serre cruelle, Vit notre malheureux qui, traînant la ficelle Et les morceaux du las qui l'avaient attrapé, Semblait un forçat échappé. Le vautour s'en allait le lier ,quand des nues

faisait, en marchant, miroiter et crier les plis glacés et luisants, comme un appel aux armes ! Exagérément cambrée, comme il est rare de l'être en France, elle s'étreignait dans un magnifique châle turc à larges raies blanches, écarlate et or ; et la plume rouge de son chapeau blanc – splendide de mauvais goût – lui vibrait jusque sur l'épaule. On se souvient qu'à cette époque les femmes portaient des plumes penchées sur leurs chapeaux, qu'elles appelaient des plumes en saule pleureur. Mais rien ne pleurait