Subjectivité

: anonyme – voix narrative choisie par l’auteur – ce n’est pas une personne – n’appartient pas à la fiction – s’exprime à la 3ème personne – est différent de l’auteur. acteur des événements – 1ère personne de la conjugaison – manifeste une subjectivité par les adj. Et le voc. Utilisé (‘elle est moche’…) Focalisation ou point de vue = qui voit, entend, ressent, pense ? Point de vue omnisciente ou focalisation zéro : le narrateur est omniscient, càd qu’il sait tout, voit tout, connaît les pensées

personnelles et sont faites de manière subjective. Une science se doit d’être, un ensemble de corps de connaissances exacte et universelle, ayant un objet déterminé et reconnu, et une méthode propre vérifiable exprimée par des lois. À l’inverse, la subjectivité est propre à un ou plusieurs sujets déterminés ( et non à tous les autres); qui repose sur l’affectivité du sujet. Par conséquent, ces expériences ne sont pas du domaine scientifique, parce qu’elles n’ont jamais été rapportées de sorte qu’on puisse

représentation) Mais être conscient de soi, ce n’est pas seulement ni principalement se savoir être , c’est se connaître et là il semble que nous ne soyons pas les mieux placés pour cela: manque de recul ( on colle à soi), mauvaise foi ( divertissement), subjectivité ( en tant que sujet, je me juge comme objet). D’où une place pour les autres.  II. les autre sont nécessaires à la connaissance de soi garant de mon identité et de la réalité de mon existence ( d’où lutte pour la reconnaissance selon Hegel

saisir que l’apparaître de la chose n’est pas modifié ou déçue par la connaissance de la vérité de la 3 Kant, Critique de la faculté de juger, § 48. 4 Celle–ci, rappelons-le est appelé par Kant le génie, et nous voyons bien ici que c’est la subjectivité de l’artiste qui confère son âme à l’œuvre d’art. 5 Cf. Gadamer, Vérité et méthode, première partie, Paris, Seuil, 1996, p. 101 : « Au fond, nous avons dû attendre la critique phénoménologique de la psychologie et de la théorie de la connaissance

thème aura été éffectué par affinité, parmis les thèmes proposés celui-ci, son originalité, sa popularité en France qui est la conséquence de son objectivité et de sa culture induite montrant la mentalité des gens, lors de l’occupation, et de la subjectivité émise par le film. Notre sujet est : Le film monsieur batignol est-il fidèle à la réalité ? Qui sera developpé en 3 parties : La collaboration, La résistance, et le Génocide. Nous en avons conclut qu’il est en partie fidèle à la réalité mais qu’il

être abordé de manière neutre, objective ? Mais les faits que constituent l’histoire sont-ils donnés comme les phénomènes naturels ? ne faut-il pas au contraire les choisir, les trier ? ce qui reviendrait à laisser place à la personnalité et à la subjectivité de l’historien. De plus, le verbe « pouvoir » renvoie aussi ici à la moralité. Il s’agit de comprendre s’il est souhaitable de regarder l’histoire comme une chose. N’est-ce pas nier la spécificité humaine ? Sa liberté ? Document 2 : Charles-Victor

pronom personnel/sujet grammatical qui renvoie au SUJET du discours et à l'OBJET du discours ("Je mange") Je---> Subjectum, substance: ce qui se tient, ce qui se suffit à lui même Je---> énoncé d'une conversation, entraine une certaine subjectivité --> ce qu'il y a de + intime    objectif du sujet: faire part de son intimité Suivant l'étymologie, le sujet est celui qui est soumis à quelque chose, à l'autorité. On est sujet à (un trouble quelconque  par ex) ou sujet de (roi par ex)

responsabilité fondée sur la faute Cette responsabilité est également appelé responsabilité subjective Une faute est un manquement à une obligation juridique OU morale ; Ceci est donc SUBJECTIVE [Je t’insulte, je trouve ça blessant, toi non, subjectivité !] le juge déterminera SI IL Y A FAUTE. Si le juge établit la faute, le fautif devra payer des dommages à la victime. Le risque : On peut engager sa responsabilité sans faute, CELUI qui à le profit d’une activité générant un risque supporte en

s’amenuisent ? Mais la conscience de soi n’est pas unilatérale. Elle est un retour sur soi après son passage par le monde. Cette distance suffit-elle pour conclure que la conscience peut se prendre elle-même pour objet de connaissance ? La subjectivité a t’elle la capacité d’établir un savoir objectif sur elle-même ? Autres Problématiques possibles : -Le fait que nous puissions établir une réflexivité sur ce que nous sommes suppose t’il que nous ayons la capacité d’acquérir

dire trop et trop peu, que définir la pure durée comme un temps subjectif opposé au temps objectif de l’horloge. Posons dès maintenant que la durée n’est pas « subjective » (comme les goûts et les couleurs) mais l’élément même de la subjectivité. Pour la subjectivité, il n’y a pas simplement des moments qui durent plus ou moins ; ceci n’atteint pas le fond du phénomène. Bien différente est l’idée que « je dure », ainsi que dit B. de façon laconique. Dans l’introduction, nous disions qu’une existence