Subjectivité

réalité qui vaille. b) Présence d’éléments non picturaux qui relèvent de l’imaginaire et de la culture de Des Essentes . cf avant-dernier § : «  imprégnée de senteurs fauves (…) dans les encens et dans les myrrhes » c) Nombreuses marques de subjectivité qui traduisent une appropriation personnelle de la toile, et en premier lieu l’introduction de la description dans le premier § par un modalisateur : était peut-être plus inquiétante encore. - déictiques: là, maintenant - Interprétation qui

question peut des lors procéder à une introspection pour répondre à la question « qui suis je ». Cependant, si cette réflexion sur l'identité se fait grâce à une introspection elle ne peut être complète ,car elle laisserait toujours une part à la subjectivité c'est pour cela qu'après avoir fait une époché l'homme a besoin de se tourner vers autrui. Nietzsche dénonce l'identité du moi comme une « fiction grammaticale », la phénoménologie elle-même avec l'introduction de la conscience d'autrui et ainsi

vie ce n'est pas répondre à l'exigence d'une connaissance de soi qui nous dirait notre avenir, mais c'est s'inventer soi-même.   Mais que serait une expérience de la liberté sans aucune perception objective de soi-même? Perdu dans sa subjectivité, la conscience ne nourrirait-elle pas des illusions au sujet de la liberté?   3. La conscience objective de soi est source de notre expérience.   a. Bien conduire sa vie consiste à s'appuyer sur l'expérience. La

extrait d’un essai du même nom. L’essai est un genre littéraire en prose qui traite sous une forme très libre un thème souvent universel ou d’actualité et s’affranchit volontiers des codes littéraires établis. Il revendique la spontanéité, la subjectivité voire l’impertinence de son éclairage. Dans l’image mythologique de Sisyphe Camus voit le paradoxe de l’absurdité et de la grandeur de la condition humaine qui consiste réaliser la tâche inutile de vivre. Dans l’introduction de l’essai l’auteur

texte, Kant montre qu’il est dans la nature humaine d’apprécier certaine chose, et d’en détester d’autres selon un sentiment, et que, de ce fait, il reconnait que c’est un avis qui lui est personnel et qui n’est pas universel. Il insiste ici sur la subjectivité du gout, et sur sa nature à provenir du fondement d’une personne, et à être même complètement indépendante de la volonté de celui-ci. Ceci lui permet alors de suggérer qu’il est dans la nature de l’homme de comprendre que ses gouts personnels ne

de soins pour abaisser les coûts de la santé, mais il faut aussi s’interroger sur la qualité du séjour. La qualité subjective n'est pas facile à réaliser, la question qui se pose alors est de savoir quels indicateurs retenir quand on touche à la subjectivité des patients, en particulier quand il s'agit d'enfants. En effet il n'existe aucun instrument de mesure leur étant destinés, car on pensait que les enfants étaient peu fiables. On interrogeait les parents mais leur discours était lui même biaisé

discours scientifique. Il y a un effet de cercle dans notre esprit, il va falloir reconnaître le critère vérité comme vrai, mais il va falloir trouver un autre critère qui la définirait. Le renvoi de critère en critère nécessite le passage par la subjectivité. Nous devons identifier la différence de la certitude. La certitude ce dont on doit être assuré, une première évidence mais nous voulons être assuré à différences degrés. L'évidence de manière indubitable, ce dont on ne peux absolument pas douter

exister pleinement, elle doit passer par quelque chose qui n'est pas elle. La thèse de Hegel est de dire que le langage est indissociable de la pensée. Objectiver cette subjectivité, cette intériorité, c'est le mettre en mots. Le mot n'a plus cette réalité sociale mais c'est la langue qui s'exprime au travers de ma parole, ma subjectivité. Le mot est l'interface du subjectif et de l'objectif. C ) Freud est ce médecin qui s'est interrogé quant aux hystéries, il en a conclut que celles-ci n'était que

exprimer à l’oral et à l’écrit une impression, un ressenti, une émotion. Connaissances : notions d’individualité et d’universalité, de réception, de canons et de modes, modalisation, lexique de la perception. Attitudes : être conscient de la subjectivité de ses goûts. Supports : Yasmina Reza, Art, 1994 ; La Bruyère, « De la mode », les Caractères, 1688. Déroulement séance Questionnement élèves Textes 1 et 2 1-Dans le texte 1, pourquoi Décomède tient-il à son estampe ? Dans le texte 2,

véritablement connaître c'est bien moi même : J'ai conscience de moi et de mes actes et je connais mes goûts, mes émotions. La connaissance de soi est le savoir que nous avons acquit sur nous au cours de nos vie et de nos expériences subjectives. La subjectivité est l'expression d'une idée personnelle en l'absence d'élément concret incident, elle désigne également l'ensemble des goûts, des émotions et des idées d'un sujet à l'opposé de l'objectivité qui est elle une représentation correcte de la réalité