Subjectivité

plus souvent. Max Weber, considéré à juste titre comme le fondateur de la sociologie compréhensive, a défini une nouvelle orientation dans l’analyse sociologique et « scientifique » des sociétés humaines : son approche se fonde sur la « subjectivité » des comportements sociaux. Ainsi le sociologue se charge de comprendre, par l’intellect, l’interprétation et même l’empathie, moyens, finalités et conséquences de l’activité sociale. De cette façon, le sociologue peut saisir dans leur diversité

sens selon les domaines où on la rencontre. S’agit-il d’une vérité scientifique confirmée par des vérifications logiques ou expérimentales, ou de la vérité du croyant qui a la foi ? Du fait de la complexité de la notion de vérité, et de la part de subjectivité de la certitude, une problématique se pose alors : comment pouvons-nous être certains de ce que nous avançons ? En effet, la certitude se présente comme une garantie, mais qu’est-ce qui la garantit à son tour et quels sont ses fondements ? Dans

occidentale obtuse par le regard neuf du narrateur à travers la description unique dʼune métropole européenne. Pour ce faire, nous étudierons dʼabord la description unique de la ville provoquée par la focalisation interne du narrateur, puis comment la subjectivité de celui-ci conduit à la critique dʼune société occidentale obtuse. Développement: I- La description subjective dʼune ville européenne 1) Une focalisation interne ☞ Prédominance des descriptions * Notion de découverte → impressions instantanées

d'un jugement rationnel, qui fasse loi. « Dois-je ou pas...? ». question éthique, l'obligation nait d'un questionnement éthique comment dois ja agir ou faire pour mener ma vie au mieux. Lignes directrices, de conduite. C) On est arraché à la subjectivité et on bascule alors dans dans l'universel avec la notion d'impératif catégorique donné par Kant. L'obligation est imposé par soi même mais devient dans certains cas un devoir, puisqu'on se l'impose, on est obligé de faire cela, et non pas contraint

usuel d’ « existants » ou d’ « êtres ». Il y a une subjectivité du doute qu’on peut écarter, non parce qu’il s’agit d’un mauvais doute, qui conduit aux Ténèbres, mais que, mauvais ou bon, il s’agit d’une attitude qui, par nature, fait obstacle à l’objectivité requise en toute recherche. Non seulement on peut écarter le doute mais, en un certain sens, on le doit, car il ne représente, bon ou mauvais, que la forme d’un égarement dans la subjectivité. L’exigence de surmonter le doute est requise à deux

impossible, cette empathie avec l'autre est limitée. Nous avons vu que nous pouvions le rejoindre lorsqu'il partageait avec nous des sentiments en communs, mais jusqu'à quel point ? Les situations ne sont pas forcément superposable, cela dépend de la subjectivité. Il y a, il est vrai,un écart entre ce qu'il vit réellement comment je peux me le représenter. Par exemple, la mort de l'arrière grand mère d'un individu 1, peut être ne l'a pas du tout bouleversé alors que pour un individu 2, cette personne compatit

qui fut le point de départ. Son personnage est subjectif, séducteur et stéréotypé. C’est avant tout un reporter de terrain utilisant la caméra comme arme, et l’image comme preuve. Subjectif. Il mélange sans complexe opinion et information. La subjectivité affirmée de Michael Moore dérange. « À aucun moment, Michael Moore ne fait le moindre effort pour être objectif.» Pourtant, un documentaire est d’abord et avant tout, nous rappelle Richard Schickel, « un arrangement d’images non-fictionnelles,

plus subjective puisqu’elle se base sur des critères subjectifs. Cette critique est encore plus fausse que tout autre car elle utilise les outils et l’autorité de la science afin de se donner une véracité qu’elle ne peut avoir. Elle n’est donc que subjectivité donc ne peut pas donner de vérité sur laquelle tout le monde puisse s’entendre. C’est ainsi qu’il y a débat entre les impressionnistes et les dogmatiques. Ces derniers dirigés notamment par Brunetière, pensent créer une critique objective car scientifique

arguments paraît dénier toute objectivité à tout ce qui relève du surnaturel et du mystique. En conséquence, le domaine de la pensée rationnelle et objective est souvent présenté comme incompatible avec la croyance qui recèle un irrationnel et une subjectivité irréductibles. Il convient tout de même de se demander si la raison s’oppose vraiment à la croyance religieuse. Depuis les origines, raison et croyance religieuse ne s’imbriquent-elles pas ? Ne vont-elles pas de pair dans les mythes, dans les cosmogonies

différentes : L’escompte de papier commercial, l’escompte de papier financier de crédit par caisse. II)- Les caractéristiques majeures de la satisfaction Les caractéristiques majeures de la satisfaction des clients, sont en nombre de trois : la subjectivité, la relativité et l’évolutivité[4]. a- La satisfaction est subjective : La satisfaction des clients dépend de leur perception des services et non de la réalité b- La satisfaction est relative : Directement dépendante de la perception