Subjectivité

militaire. Même définit par un modèle mathématique, la normalité introduit une incertitude qui nuit à la prise de décision. ** D’autre part, la « normalité » incarne également notre propre perception de la nature. Cette prise en compte de la subjectivité humaine,  dans la définition objective de la "normalité" est rendue complexe en raison du caractère intrinsèquement subjectif du psychisme humain. Les contextes culturels et éducatifs définissent  et déplacent la norme dans le temps. Les normes

(ex : je n'ai pas fait la FAC car ce n'est pas assez encadré) est un choix objectivement contraint.  Ce qui est terrible derrière cela et qui renforce cette subjectivité ce sont les notes. Donc on retient de l'école un jugement individuel, on ne prend pas en compte le social alors que les cours sont collectifs. Si ce qui fait notre subjectivité (ce qu’on a dans la tête) vient directement des contraintes sociales dans lesquels on se trouve, alors cela veut dire que comme les individus sont en désaccord

fin que de satisfaire nos désirs. En effet la vision du «moi» est défromée par le désir d'être. Nos actions sont déterminées par nos désirs; nos désirs étant plus fort que notre conscience et de notre volonté d'être. C'est le désir qui cause la subjectivité de l'image de moi-même. Ces désirs peuvent nous conduire à des illusions sur nous-même et des perceptions fausses mais qui s'opposent à nous. Il s'impose à nous comme une force naturelle qui nous emporte, comme une tyrannie intérieure qui apporte

disait Paul Klee dans "credo du créateur" : "l'art ne produit pas le visible, mais rend visible l'invisible" . Nous pouvons prendre comme exemple le célèbre tableau de Picasso " Guernica " où une scène de crime est représenté en cubisme. Selon la subjectivité du spectateur cela va lui apporté la morale que ce crime est une horreur et que nul homme peut recommencer un tel massacre. Mais un autre spectateur, peut rire devant cette œuvre sans comprendre qu'il s'agit d'un témoignage de massacre. Une œuvre

estiment qu'il faut rapprocher ces deux approches afin de comprendre la réalité sociale. Il n'est plus possible d'occulter aujourd'hui le poids des institutions ni même la marge de liberté de l'acteur. De plus on essaye d'associer objectivité et subjectivité, collectif/individuel quand on veut interpréter la réalité sociale. On parle aujourd'hui de constructivisme social.

2. La cristallisation amoureuse La cristallisation, phénomène d'idéalisation à l'œuvre au début d'une relation amoureuse décrit par Stendhal dans De l’Amour, consiste à doter l’être aimé de toutes les qualités et d’une aura de beauté, la subjectivité embellit le sujet. L'homme amoureux est ébloui. On a un portrait assez vague de la femme, il nous renseigne sur le sentiment mais non pas l'apparence. On note aussi l'emploi du mot « palpitaient », on peut supposer que ce qui palpite est le cœur

diplôme baisse. 5. Méthodologie → Démarche rigoureuse : Beaucoup de règles = science = forme d'objectivité. Risque : on ne voit pas tout, expérimente qu'à travers les relations qu'on a = approche partiel, influencée = pré-savoir. → Risque de subjectivité : A travers nos intuitions on va dire qlq chose sur l'extérieur = généralisation expérience personnelle = mauvaise méthode. → Sociologie : doit déconstruire les évidences sociales (compréhension objective du subjectif). A- Règles • Les faits

le cheval n’est pas uniquement reprise par cette brève description, elle est développé tout le long du texte. Cependant, nous observons aussi une grande différence entre ces deux textes. En premier lieu, il y a une différence au niveau de la subjectivité : l’un est subjectif, l’autre est objectif. Le texte de Simonin est uniquement objectif puisqu’il est explicatif. Son seul but est d’informer le lecteur en donnant par exemple les différentes manières de procéder pour descendre le cheval. Il est

modalisation I. Définition Un énoncé peut être neutre, c’est-à-dire se vouloir objectif. Cependant, certains énoncés comportent une prise de position de l’énonciateur qui exprime son opinion et ses sentiments. Les différents indices de la subjectivité de l’énonciateur constituent la modalisation La modalisation se manifeste par l’emploi d’un vocabulaire exprimant une opinion, un sentiment, une évaluation méliorative ou péjorative, une certitude ou un doute. Pour modaliser son discours, on

signifie tout d’abord avoir conscience que l’on vit comme une unité propre, et ensuite me rend maître de ce que je me fait. Cependant en nous limitant à cette définition, deux problèmes surgissent immédiatement : Quelle importance a la part de subjectivité dans le « je suis » ? Suis-je seulement constitué d’un ensemble homogène et stable ? En effet, l’homme pense avant tout avec ses sens. La conscience est l’ensemble de ce que nous pouvons tirer de nos sens. Cependant nos sens peuvent nous induire