Sufentanil

Mademoiselle M 25 ans arrivée en salle de réveille pour INTERRUPTION VOLONTAIRE DE GROSSESSES. Elle vit chez ses parents dans un contexte familial particulier ce sachant enceinte ne pouvant pas assumer d’élever un enfant seule et sans ressources pour subvenir a leur besoins. Elle est prise en charge par la sécurité sociale et bénéficie de la mutuelle. Mlle M à demandé une anesthésie générale à la consultation du médecin anesthésiste. Nous prenons donc en charge Mlle M, verification de son

elle est préconisée par certains. Elle est de plus grevée d’effets secondaires non négligeables : dépression respiratoire, retard de réveil, troubles de conscience prolongés, hypoxémie. Kinirons et al. Ont montré que l’administration de 5 ug de Sufentanil et de 1mg de Midazolam améliorait les conditions de réalisation de l’anesthésie locorégionale sans effets adverses majeurs. Proporol : Le Propofol a l’avantage de permettre un retour à l’état de conscience plus rapide et plus reproductible que le

un Ringer Mise sous scope et PNI (TA= 110/70. Fc= 69) SAO2 = 100% en air ambiant (AA) Ventilation sous masque laryngé en ventilation spontanée (Fr= 13) Réchauffeur patient Drogues administrées : Diprivan 200mg (= Propofol, hypnotique) Sufentanil 15mg (morphinique analgésique) Déxaméthasone 4mg (hormone glucocorticoïde de synthèse à effets anti-inflammatoire et immunosuppresseur) Antalgiques : Acupan (Néfopam) 20mg Contramal (Tramadol) 100mg Spasfon 80mg Synthèse de séjour : Arrivée

est augmenté à sa posologie maximum et introduction du midazolam. Le 10/11 il y a une diminution progressive du propofol à 60mg/h sous couvert d’une sédation par sufentanil 25 ug/h, midazolam 20mg /h et tercian 20 gouttes 4 fois par jour. Il est bien sédaté mais ouvre légèrement les yeux. Le 11/11 arrêt du propofol, diminution du sufentanil à 20.Le 13/11 arrêt des sédations, reprise d’éveil du patient le jour même. Le 21/11 entretien avec l’infirmière du service, découverte que son AVP est en réalité

Présentation PowerPointMédicaments de la sédation Dr Sébastien Szajner Pharmacien Praticien Hospitalier - CHPO  Le terme « sédation » est utilisé fréquemment en médecine mais désigne des contextes et des objectifs différents : calmer la douleur, l’anxiété et le stress, permettre un meilleur sommeil, diminuer la perception d’une situation intolérable pour le patient…  Utilisation de moyens en majorité médicamenteux permettant de calmer le patient en vue d'assurer son confort physique

enfin au niveau du transit, la patiente n’a toujours pas eu de selles depuis son entrée malgré plusieurs lavements et laxatifs quotidiens, la patiente est dripé à Jmax. TTT :· PSE Céfépime · PSE Profofol · PSE Midazolam · PSE Cisatracurium· PSE Sufentanil· Enoxaparine 0,4ml/24h· Paracétamol 1g /6h· Lansoprazole 15mg/24h· Lactulose 20g/24h· Aérosol : Chlorure de sodium + Ipratropium + Salbutamol / 6h· Frésubin HP Energy CiblesDonnées et facteurs favorisantsActions sur rôle prescritActions sur rôle

Sur le plan neurologiqueIl arrive aux urgences confus avec un glasgow évalué à 14. À son arrivée en USC, il se dégrade rapidement avec un glasgow à 8, avec une décompensation respiratoire précisée auparavant il est donc intubé. De l’hypnovel et du sufentanil sont mis en place. En réanimation : Les sédations ont été arrétées le 18/11, avec une reprise d’éveil le 20/11. Afin de compléter le bilan de la méningite, il est réalisé un IRM encéphalique et cervical le 18/11. Celui-ci révèle une collection cervicale

chlorhydrate, d'efficacités identiques. À ce jour, la morphine est le médicament analgésique de référence pour de nombreux types de douleurs physique, mais ce n'est pas le plus puissant. D'autres morphiniques (alfentanil, fentanyl, remifentanil, sufentanil) ont une puissance équivalant entre 15 et 1000 fois celle de la morphine. Cependant, leurs emplois intraveineux ou intrathécal (péridurale ou rachianesthésie) les réservent à un usage en anesthésie-réanimation (médecins et infirmiers anesthésistes)

techniques par rapport à l‘autre du fait des antécédents du patient ou du souhait de ce dernier, n’était pas un critère de non inclusion stricte. b. Protocole d’anesthésie Dans le groupe anesthésie générale : l’induction était pratiquée avec du sufentanil à la dose de 0,3 µg/kg ainsi que du propofol à la dose de 3 mg/kg. Les doses étaient adaptées suivant le niveau d’anesthésie obtenu. L’anesthésie était entretenue par halogénés, soit le sevoflurane soit le desflurane. La co-analgésie comprenait

techniques par rapport à l‘autre du fait des antécédents du patient ou du souhait de ce dernier, n’était pas un critère de non inclusion stricte. b. Protocole d’anesthésie Dans le groupe anesthésie générale : l’induction était pratiquée avec du sufentanil à la dose de 0,3 µg/kg ainsi que du propofol à la dose de 3 mg/kg. Les doses étaient adaptées suivant le niveau d’anesthésie obtenu. L’anesthésie était entretenue par halogénés, soit le sevoflurane soit le desflurane. La co-analgésie comprenait