Suffragette

1848 (seconde république). Au niveau européen le suffrage universel c’est répandue, puis il y a eu au début du 20éme siècle des contestations de groupes féminin pour exiger le droit de vote. On parle à al fin de la seconde Guerre Mondiale, des suffragettes qui obtiennent un certain succès puisque el droit de vote leur est accordé. En France, sous la III République, la question du vote féminin à été posé mais les républicains au pouvoir ont rejetés cette possibilité en considérant que les femmes étaient

en 1832 avec le premier acte de réforme du vote ; puis 1867, 80 ; suffrage universel en 1918 des hommes de plus de 21 ans et femmes de plus de 30. Ce n’est qu’en 48 qu’est supprimé le double vote, donné aux PDG et universitaires. Mouvement des « Suffragettes ». Il faut attendre 1920 pour que la C US soit modifiée et autorise le droit de vote des femmes. Existence de ce mouvement en GB. On refuse le droit de vote aux domestiques car on les considérait comme dépourvus des conditions de pensée autonome

femmes. ▪ La ligue française du droit des femmes est fondée en 1882. ▪ l'Union française pour le suffrage des femmes regroupe 12 000 adhérentes en 1914 derriere Cécile Brunschvicg ▪ Hubertine Auclert et Madeleine Pelletier sont les premieres suffragettes francaises. En 1908, elles détruisent des urnes le jour des élections. Elles font du droit de vote la condition d'une amélioration du sort des femmes et de la moralisation de la société. ◦ Mais les résistances persistent. La majorité des représentants

incarnation du peuple français pour Jules Michelet ; * instrument d'un complot clérical pour Anatole France ; * sainte nationale pour Mgr Félix Dupanloup ; * résistante patriotique pour Bernard Shaw ; * féministe avant l'heure pour les suffragettes ; * sainte de l'Église universelle et personnalité de stature internationale pour Guido Görres (en)2 ; * femme opprimée, victime pour Léonard Cohen, Luc Besson …

suivi à Paris, en Suède et en Finlande. Dans de nombreux pays européens naissent des mouvements féministes qui réclament l’obtention du droit de vote pour les femmes. La Finlande le leur accorde en 1906, la Norvège en 1913. En Grande-Bretagne, les suffragettes fondent l’Union sociale et politique des femmes. Les socialistes français pensent que l’émancipation de la classe ouvrière passe avant celle de la femme, les autres partis l’excluent totalement. VI- LES MOUVEMENTS CULTURELS AU XIXe SIECLE

période romantique, Monselet trouvait d’ailleurs peu convenable qu’une femme fît connaître ses opinions politiques dans les journaux. Certains, comme son suiveur l’érudit Leopold Lacour, ont affirmé en 1900, à une époque où on parlait beaucoup des suffragettes, que les causes que Mme de Gouges défendaient étaient de toute façon des causes perdues et qu’elle n’avait jamais été autre chose qu’une sorte de Don Quichotte femelle. Il reste que, aujourd’hui, elle est ni plus ni moins oubliée que 99 % des femmes

immobilisme social se représente dans le refus de l’extension du droit de vote aux femmes : le problème n’est pas la majorité politique de l’Assemblée ; par trois fois en 1920, 1926 et 1936, l’Assemblée se prononce en faveur de l’égalité civique. Une suffragette, Marthe Bray, organise même en 1925 un Tour de France en faveur du droit de vote féminin. A chaque fois, le Sénat a fait blocage, beaucoup plus conservateur que l’Assemblée. On ne parlera que d’émancipation de la femme, au niveau éducatif et politique

La main d’œuvre ayant été mobilisée, on a recours au travail féminin dans les usines. Le taux d’emploi féminin dans les usines était de 30%. Les femmes travaillèrent aussi dans les champs. Cela marqua le début d’une émancipation féminine (les suffragettes). L’industrie fut réorganisée : les besoins militaires explosèrent. L’organisation de l’industrie ne fut pas spontanée. La guerre accéléra la concentration des entreprises et incita à la modernisation. On assista à de grands progrès dans divers

colonies et ses valeurs, l’appauvrissement des pays européens contre la richesse des ÉtatsUnis, la redéfinition du rapport de force avec le prolétariat, le rôle actif des femmes et leur aspiration à une émancipation (à commencer par le mouvement des Suffragettes en Angleterre pour acquérir le droit de vote). 2) La valorisation de la vie intérieure. Avant le journal intime, tradition religieuse de l’examen de conscience : la Confession. Selon le philosophe américain Charles Taylor dans Les sources du moi

efforts des femmes pour obtenir le droit de vote sont connus sous le nom de « mouvement des suffragettes ». La fondatrice de ce mouvement au Canada est la Dre Emily Stowe, première femme canadienne à pratiquer la médecine au Canada. En 1916, le Manitoba devient la première province à accorder le droit de vote aux femmes. En 1917, grâce aux efforts mobilisateurs de femmes comme la Dre Stowe et d’autres suffragettes, le gouvernement fédéral de sir Robert Borden donne aux femmes le droit de vote aux élections