Suicide collectif

III – rompre, continuer, recommencer a) la pièce est l’histoire d’une rupture déchirante (oui il y a rupture même pour Lopakhine), mais les personnages (sauf le vieux Firs) ont la force de continuer b) la pièce ne s’achève pas sur le suicide de Lioubov, mais sur encore un autre départ, nouveau (pas vers des « lendemains qui chantent » comme semblent le croire Trophimov et sa nouvelle disciple ; mais l’important n’est pas là – les personnages vont probablement retomber dans leurs défauts

frère s’était suicidé et mon père était quelque part dans le monde. Je dus renoncer à mes cheveux et mon amour-propre en prit un bon coup : me déguiser en garçon, c’était bien bon pour les fêtes de village ! Malheureusement, si je ne voulais pas me faire égorger vive par ces brutes, je devais le faire. Ce changement ne parut par contre pas gêner Kaze, qui était plutôt garçon manqué… On entra donc au service de Tokugawa et de ce salaud d’Oda, que je tenais pour responsable dans le suicide de mon frère

pourraient-elles jouer un rôle important dans le suicide philosophique ? D'abord, il me semble important de donner la définition du suicide pour les religions monothéistes: “si le fait de se suicider est d'abord un acte qui va contre soi-même, l'« appartenance » de la destinée de l'homme à Dieu fait que cet acte devient une rupture de la relation spécifique entre l'homme et Dieu et un acte allant contre la souveraineté de Dieu.” L'Islam, par exemple, interdit le suicide et le considère comme un péché: Il

* 2 groupes infinitifs coordonnées par « ou » (v.305-306). * 2 groupes nominaux juxtaposés (v.312). * Noms communs juxtaposés (v.311) -> fortes antithèses. * Pensée de Rodrigue piétine. II- La tentation de la fuite dans le suicide (v.31 à 40) a) Justification du désir de mourir * 4e stance ménage une progression : Rodrigue veut mourir « il vaut mieux courir au trépas » (v.321). * Vers 322 à 330 justifient ce choix : * Valeurs d’égale force : choix impossible

Résumé Antigone est la fille d'Œdipe et de Jocaste, souverains de Thèbes. Après le suicide de Jocaste et l'exil d'Œdipe, les deux frères d'Antigone, Étéocle et Polynice se sont entretués pour le trône de Thèbes. Créon, frère de Jocaste et – à ce titre – nouveau roi, a décidé de n'offrir de sépulture qu'à Étéocle et non à Polynice, qualifié de voyou et de traître. Il avertit par un édit que quiconque osera enterrer le corps du renégat sera puni de mort. Personne n'ose braver l'interdit et le cadavre

la coordinations des fonctions qu’elle implique.L’intégration de la société moderne de type organique ne concerne pas seulement la société en général mais tous les gropes particulier qui l’a compose c'est ce que démontre variation du taux de suicide , le suicide varie en raison inverse du degré d’intégration des groupes sociaux dont fait partie l’individus.

mère qui lui donnera le goût de la littérature. Quo Vadis ? de Henryk Sienkiewicz, dont elle lui fait la lecture, marquera l'ensemble de sa vie et lui fournira les thèmes qu'il abordera tout au long de son œuvre (l'amitié, la corrida, Rome et le suicide). Son renvoi en 1912 du collège Sainte-Croix de Neuilly-sur-Seine lui fournit le thème de deux de ses œuvres, La Ville dont le prince est un enfant (1951) et Les Garçons (1969). C'est à Sainte-Croix qu'il rencontra Philippe Giquel, dont il écrira

l’impression d’après la d’être un vrai homme. Moïse a un seul véritable ami dans l’histoire. C’est Monsieur Ibrahim, qui a un petit magasin dans la Rue Bleue – rue dans laquelle Moïse habite. Les gens le surnomment l’« Arabe du coin ». Après le suicide du père de Moïse, Monsieur Ibrahim adopte Momo. Ils vont en voiture en Turquie. Dans son pays natal, Monsieur Ibrahim fait tout seul une virée en voiture. Pendant cette virée, il a un accident et meurt. Moïse hérite du magasin de Monsieur Ibrahim

peur de mourir dans la souffrance qui incite beaucoup de gens à regarder vers l’euthanasie ou le suicide médica-lement assisté. Il ne faut pas que cette angoisse soit un motif de propagande en faveur d’une mort hâtée mais au contraire qu’elle contribue à renforcer la création d’un réseau dense de structures proposant des soins pal-liatifs. L’expérience le montre : les demandes d’euthanasie et de suicides médicalement assistés diminuent presque toujours lorsqu’on propose un accompagnement palliatif

fils. La famille décide de déguiser ce suicide en accident, car à cette époque, les personnes se donnant la mort intentionnellement sont très mal perçues par le reste de la société. Elles n’ont par exemple pas le droit de reposer dans un cimetière. La justice de Toulouse doute que ce soit une mort accidentelle, car tout porte à croire que Marc-Antoine s’est fait étranglé. Elle décide donc d’enquêter sur le sujet et interroge chaque membre de la famille. Le suicide est avoué, mais les enquêteurs n’en