Suicide Philosophique

A-t-on le droit de se suicider ? C'est l'étude du combat entre tout ce qui nous pousse à quitter la vie et tout ce qui nous en empêche qui nous intéresse. Cette problématique est essentielle pour nous car il est nécessaire de justifier la vie avant de se poser des questions sur les principes de celle-ci ou quelconque autre question philosophique. En effet, on comprend bien que si l'on conclut que le suicide se justifie, il n'y a alors plus aucune autre question à se poser. Depuis l'apparition

pourraient-elles jouer un rôle important dans le suicide philosophique ? D'abord, il me semble important de donner la définition du suicide pour les religions monothéistes: “si le fait de se suicider est d'abord un acte qui va contre soi-même, l'« appartenance » de la destinée de l'homme à Dieu fait que cet acte devient une rupture de la relation spécifique entre l'homme et Dieu et un acte allant contre la souveraineté de Dieu.” L'Islam, par exemple, interdit le suicide et le considère comme un péché: Il

devez répondre à toutes les questions. Vos réponses doivent avoir entre une et trois lignes. Vous devez répondre dans vos propres mots. Présentation p.1-46 1- En quoi les paysages algériens peuvent-ils être considérés comme des concepts philosophiques dans l’oeuvre de Camus? 2- Comment peut-on décrire la conception de la philosophie de Camus? 3- En quoi, la phénoménologie de Husserl influence Camus (donnez une influence positive et une influence négative)? 4- Comment Malraux pense-t-il

L'ABSURDITÉ, LE SUICIDE ET L'ESPÉRANCE Face au fait de l'oubli de l'existence au profit de la raison durant les premiers siècles jusqu'aux temps modernes, beaucoup de penseurs vont se lever pour regretter cette attitude. Cette révolte des écrivains face au primat de la raison va donner naissance à un courant qu'on nommera au début du 20ème siècle L’absurde : Ce qui n'a pas de sens (ni signification, ni direction), qui est aveugle, sans but. L'après-guerre a été marqué par les œuvres et les

|Le Suicide | |Le Suicide | | Le suicide est vu bien différemment selon le courant philosophique l'évoquant. Il peut être considéré comme un acte suprême de liberté ou une | |option de faiblesse et de renoncement, voire de sacrifice

examinant de près la fameuse question philosophique d’Albert Camus (la vie vaut-elle ou ne vaut-elle pas la peine d’être vécue?) qui prétendait que le suicide était bel et bien le plus grand problème philosophique. Après maintes réflexions, André Comte-Sponville vient affirmer que le suicide abroge le problème plus qu’il ne le résout comparativement à l’amour qui nous garde tous en vie. En résumé, l’auteur explique pourquoi l’amour est un sujet plus important que le suicide par l’entremise de ce passage :

dans L'Etranger? Le mot apparaît notamment dans le passage de l'épilogue (colère contre l'aumônier). sens courant : I - * contraire à la raison, au bon sens, à la logique/ * qui agit, parle sans bon sens /* ce qui est absurde II – acception philosophique : dont l'existence est gratuite, non justifiée par une fin (selon que l'on choisit l'existentialisme ou bien le point de vue de Camus, ce même constat mène à des fins différentes). LE "CYCLE DE L'ABSURDE" : L'Etranger (1942) ; Le Mythe de Sisyphe

vouloir s’en affranchir. Elle peut aussi se reconnaître dans la définition et la pratique d’un culte, d’un enseignement, d’exercices spirituels et de comportements en société. La question de savoir ce qu'est la religion est aussi une question philosophique, la philosophie pouvant y apporter des éléments de réponse, mais aussi contester les évidences des définitions qui en sont proposées. La notion de religion peut être l’objet d’élaborations théologiques, chaque religion pouvant avoir sa propre appréciation

en 1942, intitulé Le Mythe de Sisyphe. Camus pose un problème philosophique sérieux qui est le suicide. On peut se demander si la vie vaut-elle d'être vécue, ou s'il vaut mieux mettre fin à ses jours. Pour l'homme, le suicide est la délivrance du poids de la vie. En effet la vie est absurde, elle n'a pas de sens. La vie nous apparaît comme un éternel recommencement, comme si elle était répétitive et sans fin. Donc le suicide permet de tirer un trait sur cette existence sans sens, sur une

deux lignes racontent l’histoire de Gabriel Rivages qui retrace la vie du poète américain Richard Brautigan, de sa naissance en 1935 jusqu’à sa mort 49 ans plus tard. En fait, Rivages souhaite comprendre les raisons pour lesquelles Brautigan s’est suicidé. Les thèmes de la vie et de la mort sont omniprésents tout au long du roman et poussent constamment le lecteur à réfléchir. Éric Plamondon a écrit mayonnaise en employant un style d’écriture bien à lui. L’histoire est fragmentée comme un puzzle dont