Suis Je Responsable De Mon Bonheur

Mouvement littéraire 2 Les Lumières « Les Lumières, c'est la sortie de l'homme hors de l'état de tutelle dont il est lui-même responsable. L'état de tutelle est l'incapacité de se servir de son entendement sans la conduite d'un autre. On est soi-même responsable de cet état de tutelle quand la cause tient non pas à une insuffisance de l'entendement mais à une insuffisance de la résolution et du courage de s'en servir sans la conduite d'un autre. Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton

étant le seul et unique responsable de son malheur : « … le rend à la longue tyran de lui-même et de la nature ». Aussi, Rousseau propose une seconde différence entre ces deux machines, soit la faculté de se perfectionner, où aucun contre arguments ne peut venir ébranler cette affirmation. Je suis d’accord avec le point de vue de Rousseau. En effet, l’homme, tel qu’il est aujourd’hui, est le seul maître de ses actions. Il se conduit lui-même à son malheur ou à son bonheur, agissant selon son bon

bien, il cherche le bonheur. (1)La modification de la nature par l’homme n’est pas le résultat d’une simple contrainte car elle montre que l’homme peut prendre de la distance vis à vis de la nature, que son comportement n’est pas prédéterminé par des instincts(l’homme modifie ses instincts et il les contrôle, il cherche à remplacer la loi de la jungle par des règles d‘égalité). Grâce à la modification de la nature l’homme créé son avenir, il évolue, et il est auteur et responsable de son évolution (2)

car les premiers vers évoquent la paix, le confort, la sécurité et l’amitié 2) Opposition du bonheur : En opposition avec cette vision de bonheur on a : - le passé des camps qui est actualisé par du présent de l’indicatif (valeur de vérité générale et de narration) - la nécessité douloureuse de ce souvenir permanent (v.18-19) - l’antithèse avec la malédiction des 3 derniers vers qui détruit ce bonheur et cette paix si le mémoire de devoir n’est pas fait 3) Malédiction : La malédiction n’est

maris et les femmes (les mères et les pères) seront responsables devant Dieu de la manière dont ils se seront acquittés de ces obligations. FAMILLE est ordonnée de Dieu. Le mariage entre l’homme et la femme est essentiel à son plan éternel. Les enfants ont le droit de naître dans les liens du mariage et d’être élevés par un père et une mère qui honorent leurs voeux de mariage dans la fidélité totale. On a le plus de chances d’atteindre le bonheur en famille lorsque celle-ci est fondée sur les enseignements

deux cas de morts prévues par Goodrich, la mort de Kévin et de Candice, et dans le deuxième cas, il était même le premier responsable de la mort. Finalement, Nathan n’avait qu’à croire Goodrich et admettre qu’il va bientôt mourir. Par conséquent, il décide de changer sa vie, de corriger ses erreurs passées et de se réunir avec sa femme et sa fille. Il a même avoué être responsable de l’accident commis par son beau père pour que ses deux ne soient pas influencés par le mauvais regard de la société.

finir sur une brève étude de l’argumentation vu par l’auteur.   I. Monsieur de Nemours, un séducteur à la recherche du bonheur   M. de Nemours est un coureur de jupon, à la psychologie proche de celle d’un Dom Juan. Dans ces propos, il ne semble pas comprendre le discours de Mme de Clèves : - A la première ligne, « Ah ! [...] quel fantôme de devoir opposez-vous à mon bonheur ? » accentuée par « Quoi ! [...] une pensée vaine et sans fondement vous empêchera de rendre heureux un homme que vous

richesse et de sa production matérielle. Ainsi, le travail est orienté vers l’accumulation des richesses matérielles et, par ricochet, vers l’augmentation de la puissance politique productive qui procure le pouvoir, la puissance politique et aussi le bonheur individuel de ses membres. C’est pourquoi Adam SMITH déclare :« c’est le travail annuel d’une nation qui fournit à sa consommation annuelle toutes les choses nécessaires à la vie. »12 Commentant l’auteur, Daniel MARTINI insiste sur la perspective

pour le malheur ni pour le bonheur. L’humain ne les intéresse pas, il leur faut l’exceptionnel. " L’humain vous gêne aux entournures " métaphore originale, l’humain est comparé à un vêtement trop étriqué qui gêne les mouvements. Ils veulent affronter leurs destins au lieu de le subir. Il rappelle le destin d’Œdipe, ce destin provoque chez eux du plaisir " avidement " " goulûment ". Pour Créon, ce bonheur de faire souffrir autrui qui leur donne du plaisir est un bonheur à l’envers. Selon lui, les

par définition, s’assimile à la quête du bonheur. Le bonheur, un état basé sur la longévité, un bon présage qui se perpétue au fils du temps, renvoie cependant à des enjeux individuels, collectifs, moraux, culturels et politiques. Nos actions, nos interventions peuvent modifier mais aussi changer la condition du bonheur. Celui-ci se dévoile tel qu’un tout absolu présenté comme un idéal durable avec un maximum de satisfaction mais aussi comme un bonheur réel, accessible où la douleur du malheur