Sujet De Culture Generale

La culture. AXE 1 : Nature et Culture, les frontières de l’humain en question. Travail à partir de trois sujets : objectif est de faire comprendre ce qu’est un problème et montrer comment s’y prendre pour construire un problème. - Peut-on établir une frontière entre l’homme et la nature ? Phase 1 : Problématisation, c'est-à-dire construction d’un problème philosophique : trouver le noyau du débat, quelles sont les alternatives concurrentes ? Il y a problème lorsque des thèses opposées

1 COURS DE METHODOLOGIE D’UN SUJET D’ORDRE GENERAL Cette épreuve nécessite une connaissance des disciplines académiques et des faits sociaux (la politique, la religion, la culture, la science). Il est présenté aux auditeurs en tant qu’épreuve écrite d’admission (4 h) puis en tant qu’épreuve orale d’admissibilité avec une durée de 15 minutes de préparation et 5 minutes d’exposé devant un jury, lequel a la latitude de me prendre autant de temps qu’il veut au travers des questions. LA COMPREHENSION

fr BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TOUTES SÉRIES CULTURE GÉNÉRALE ET EXPRESSION SESSION 2013 ________ Durée : 4 heures ________ Aucun matériel autorisé. Dès que le sujet vous est remis, assurez-vous qu’il est complet. Le sujet comporte 7 pages, numérotées de 1 à 7. BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR – TOUTES SERIES Culture Générale et Expression CULTGEN SESSION 2013 © Comptazine BTS 2013 – EPREUVE 1 - Culture générale et expression 1/7 www.comptazine.fr Paroles

LE SUJET DE REFLEXION Le sujet de réflexion se présente, le plus souvent, sous la forme d’une question. On attend de vous d’être capable d’expliquer et de justifier votre point de vue. Voici, par exemple, le sujet proposé au brevet des collège en juin 2013 : Le monde d’aujourd’hui laisse-t-il, selon vous, la place à un ailleurs qui fasse rêver? Vous devez rédiger au moins deux pages. I. La lecture du sujet La question est explicite. Définissez les mots du sujet en le développant avec d’autres

pour la Base Nationale des Sujets d’Examens de l’enseignement professionnel. Ba s e N at io na le de sS uj et s Campagne 2013 Ce fichier numérique ne peut être reproduit, représenté, adapté ou traduit sans autorisation. BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR es sio nn el TOUTES SPÉCIALITÉS ig d' E Ré xa se me au n SC s de ER l'e EN n se SESSION 2013 ________ ne m en t pr of CULTURE GÉNÉRALE ET EXPRESSION Durée : 4 heures

Faut-il être connaisseur pour apprécier une ouvre d’art? Faut-il être connaisseur pour apprécier une œuvre d’art ? Cela est un sujet très complexe, avec beaucoup d’arguments pour et contre. Tout d’abord, avant de nous plonger dans le discours, il faut préciser les points principaux de la question. Premièrement, qu’est ce que c’est vraiment un « connaisseur » ? Le mot devient d’un mot de l’ancien français ; « connoistre », qui voulait dire d’être familier avec quelque chose, d’avoir beaucoup

Première ES 3 2009-2010 La consommation des jeunes : « Les jeunes consomment-ils pour s’identifier à un groupe ? » Sommaire -Introduction..................................................page 3 I- Culture juvénile..........................................page 4 II- L'évolution de la consommation des jeunes.............................................................page 5 III-Les choix de consommations...................page 7 - Conclusion.............................

Culture populaire Modalités d'examen : 1re semestre : DS de deux heures à mi-parcours du semestre puis partiel de 3h pour valider la matière. Pour chaque épreuve un sujet sera à traiter sous forme de dissertation. -Ne pas faire de fautes d'orthographe, surtout sur les noms propres. Faire une introduction (4 éléments dans cette introduction). 1/une amorce (exemple de l'actualité médiatique en une ou deux phrases). 2/reprendre le sujet. 3/problématiser le sujet (expliquer le problème

Lors de la session d’automne 2011, j’ai été en contact avec des gens d’autres cultures dans deux situations assez différentes. La première a été par le parrainage d’un étudiant de la Côte-d’Ivoire, dans le cadre d’un programme de l’Université de Sherbrooke. Ce contact était une initiative de ma part, donc il était planifié. L’autre contact, qui a inspiré le présent travail, s’est fait plus par hasard, bien que ce fût également en raison de mon implication parascolaire. J’étais sur le conseil exécutif

langage publicitaire, un langage mixte composé de différents codes, spécifiques aux médias utilisés pour diffuser le message publicitaire - soit la presse et l’affichage, la radio, la télévision et le cinéma, ainsi que l’Internet. S’agissant d’un sujet qui a déjà été largement abordé, il nous a fallu réfléchir à des aspects inédits afin d’y apporter des éclairages renouvelés et de l’élargir au maximum sans pour autant se perdre dans ce domaine vaste et diversifié. Au début, notre projet de recherche