Sully Prudhomme Un Songe

leurs amours ; Je rêve aux couples qui demeurent Toujours. René-Francois SULLY PRUDHOMME, Stances et poèmes, 1865. Songeant la nuit, bien souvent je pense être Songeant la nuit, bien souvent je pense être Auprès de toi couché certainement, Et les beautés qu'en toi le ciel fit naître Tâter, baiser, embrasser nuëment. Comme un plaisir acquis en un moment Passe, léger, et se voit disparaître, Mon songe ainsi s'enfuit soudainement, Me laissant seul et non toutefois maître, Car

22 mai 1808 à Paris et qui est essentiellement connu pour ses poèmes et ses nouvelles. Dans ce poème il aborde la question d'une douleur suite à la perte d'un un être cher II) Le second poème « L'agonie » est écrit par René Armand François Prudhomme un poète français né à Paris le 16 mars 1839, et premier lauréat du Prix Nobel de littérature en 1901. Dans le poème, il évoque une douleur à la fois physique et psychologique. Le narrateur vit les derniers instant de sa vie, donc il souffre. La

l’amour. La femme, ici, est comparée à un serpent : comme un animal tentateur et maléfique. Une sorte de complexité de la femme est exprimée car elle est tentatrice mais refuse toute approche. « Prière » est un poème écrit pas René-François Sully-Prudhomme (1839-1907), montre la place qu’occupe l’absence d’un « cœur » à cotés de nous. Il s’adresse aux personnes en couple car il y a une anaphore « si vous saviez comme » qui insiste également sur le manque d’amour du poète. Le poète rêve d’être aimé

nuit me voile ; Je sens vibrer en moi toutes les passions        D’un vaisseau qui souffre ;Le bon vent, la tempête et ses convulsions        Sur l’immense gouffreMe bercent. D’autre fois, calme plat, grand miroir        De mon désespoir! Sully Prudhomme — Épaves La Musique  Ah ! chante encore, chante, chante !Mon âme a soif des bleus éthers.Que cette caresse arrachanteEn rompe les terrestres fers !Que cette promesse infinie,Que cet appel délicieuxDans les longs flots de l’harmonieL’enveloppe

(Pierre Descouvemont) Ecoute ce que je ne dis pas, je t'en prie (Charles C. Finn) L'icône endommagée (Anthony Bloom) Nous avons tout dans le Christ (Saint Ambroise de Milan) Rencontrer Haut Le sourire (Anonyme) Un songe (Sully Prudhomme) La rencontre (Tagore) De la confiance (Gildas Richard) Travail d'équipe (Wallace Co. Inc.) Règles pour un mariage heureux (Anonyme)

ACTE 1 : Dans le parc………………………………………………………………...…...3 « La joie » de Émile Verhaeren du XIXème siècle (Julie et Noura)…..….……..…4 « Une tempête » de Victor Hugo du XIXème siècle (Sherine)……………………..6 « L'agonie » René-François Sully Prudhomme  du XIXème siècle (Julie)………...7 ACTE 2 : A l’hôpital………………………………………………………………………..9 « La mort des amants » de Charles Baudelaire du XIXème siècle( Emmanuel)……………………………………………………….10 « La mort des pauvres » de Charles

poésie est une véritable arme à plusieurs cibles, elle vise tout d’abord a envoyer un message, qu’il soit de nature politique, sociale, culturelle ou religieuse. Ce message provient naturellement de ce que ressent l’individu , ainsi que de ce qu’il songe. J’accorde donc a la poésie la mission d’illustrer les pensées des poètes, leurs tourments les plus profonds mais aussi leurs moments de joie les plus mémorables. Elle décrit leurs contemplations et méditations ; sur la vie, la nature, leurs chers

d'un âge perdu de l'humanité. Tout l'art de Nodier, dans ce conte, réside dans l'évocation concomitante du réel et des forces obscures qui le traversent pour le troubler ou le contester. Jouant, comme plus tard Nerval, des intermittences entre songe et lucidité, « dans cet espace, dit-il, indécis entre le repos et le réveil où le cœur se rappelle malgré lui les impressions qu'il s'est efforcé d'éviter pendant le jour », le conteur installe ainsi ses personnages et son lecteur dans un état de soupçon

parlez pas.
 
Je suis las des mots, je suis las d'entendre
Ce qui peut mentir ;
 J'aime mieux les sons qu'au lieu de comprendre
 Je n'ai qu'à sentir ;
 
Une mélodie où l'âme se plonge
 Et qui, sans effort,
 Me fera passer du délire au songe,
 Du songe à la mort.
 
Vous qui m'aiderez dans mon agonie,
Ne me dites rien.
 Pour allégement un peu d'harmonie
 Me fera grand bien. Vous irez chercher ma pauvre nourrice Qui mène un troupeau,
 Et vous lui direz que c'est mon caprice,
 Au bord

- Vos beaux yeux, Corneille, L’illusion comique, 1639 - Cher ange, vous êtes belle, Théophile Gautier, Élégies, 1838 - Au tribunal d’amour, après mon dernier jour, Théodore Aggripa d’Aubigné, L’hécatombe à Diane - Le réveil, René-François Sully Prudhomme, Les solitudes - 16/05, Ethan Street, 2009 - Amour en cage, Sybille Rembard, Beauté Fractionnée, 2002 - À la femme aimée, Renée Vivien - À ma fée, Christophe Bregaint, 2011 Préface Si l’amour est un paysage qui ne se raconte pas et qui