Sumitomo

Ricardo Hausmann est Directeur du Center for International Development de l’université Harvard. Dani Rodrik est professeur d’économie politique internationale, et Andrés Velasco est professeur de finance internationale et de développement (chaire Sumitomo) de la John F. Kennedy School of Government à Harvard. Bibliographie : Hausmann Ricardo, Dani Rodrik, and Andrés Velasco, 2005, “Growth Diagnostics,” John F. Kennedy School of Government, Harvard University (Cambridge, Massachusetts); http://ksghome

1945 et 1947, les Américains voulurent les démanteler pour leur rôle actif dans la Seconde Guerre mondiale. Les zaibatsu ne disparurent pas, mais prirent une autre structure que l'on nomme maintenant keiretsu. Quelques zaibatsu : Mitsubishi, Mitsui, Sumitomo, Itochu, Marubeni, Nichimen, Kanematsu. - 3 / 10 - JAP437 il y a une communauté coréenne assez importante, pour la plupart des travailleurs forcés emmenés au Japon avant et pendant la guerre. Pendant longtemps, le Japon n’a pas su sur quel

grands trusts et holdings américains : Standard Oil de Rockefeller, Morgan, l’acier de Carnegie, ou le trust ferroviaire de Vanderbilt, et l’industrie japonaise nait dans le contexte de concentration en conglomérats, les zaibatsu : Mitsubishi, Mitsui, Sumitomo. La concentration s’accélère avec un premier vaste mouvement d’internationalisation de grandes firmes, principalement américaines, qui généralisent leur présence à cette époque : par exemple, Ford en Allemagne et General Motors qui rachète Opel en

ferroviaires d'Etats, des entreprises publiques. Puis une fois, bien développées, ces entreprises publiques deviennent des entreprises privées : ce sont des Zaibatsu, qui sont des grands groupes privés, contrôles par des familles comme la famille Sumitomo ou encore la famille Fujita ou encore la famille Mitsuhishi. Ils contrôlent le transport maritime, les banques, les assurances, les activités minières et les activités manufacturées. Ces grands groupes représentent 1/3 de la production des secteurs

l’existence de barrières à l’entrée (procédures limitant les fusions/acquisitions étrangères, réglementations des marchés du travail et des biens) ainsi que le jeu des participations croisées liant les entreprises au sein des Keiretsu (Mitsubishi, Mitsui, Sumitomo…). Les liens qui unissaient, autour d’une grande banque, les entreprises des Keiretsu ne se sont distendus qu’à partir de la fin des années 1990 quand les city banks ont été confrontées au problème des créances douteuses et au risque sur leur ratio

risques opérationnels, réputationnels et stratégiques. Parallèlement, il a été prouvé que les pertes les plus considérables durant les dernières années au niveau des institutions financières sont des pertes liées au risque opérationnel (Barings, Sumitomo, Daiwu...) Le comité de Bâle2, source des réglementations bancaires, établit que les plus grandes pertes résultent d’une mauvaise surveillance du contrôle interne ou d’un manque de respect des procédures existantes. Il soutient que « la gestion du

three companies: the first one is the Japanese Bridgestone, followed by Michelin and the third one is the American Goodyear. These three companies supply 54% of the tires market in the world, others companies are followers like Continental, Pirelli, Sumitomo, Yokohama etc… The structure of the industry is a consolidated structure because it is dominated by an oligopoly composed by Bridgestone, Michelin and Goodyear. The bargaining power of buyers There are two types of buyers in this sector:

Cosmophoswerke AG (créée en 1924), qui devient Aluminiumwerke AG Rorschach. 4 Jalons de l’histoire 1930 1930 1930 Royaume-Uni Mise en chantier de l’usine de laminage et d’extrusion de Banbury. 1931 Japon Constitution de Aluminium Sumitomo Limited (qui devient Toyo Aluminium K. K. en 1950). 1930 Canada Constitution d’Aluminium Goods Limited. Elle fusionne avec Produits Alcan Canada en 1972. 1934 Suède Constitution de A/B Svenska Aluminium Kompaniet, qui devient par la suite

soit 1,2 milliard d'euros au total. Les zones franches sont aussi considérées comme un levier de développement des compétences technologiques, en particulier dans l'industrie des composants automobiles. De grands clients comme Yazaki, Sumitomo et Delphi approvisionnent maintenant le secteur automobile, et une nouvelle demande est probable, grâce aux investissements de Renault. La zone franche de Tanger est une réussite parmi d'autres dans la région MENA, mais certaines zones prospèrent

le milieu des années 1990, plusieurs affaires boursières éclatent : en 1995, Daiwa Bank découvre qu’un de ses traders, Toshihide lguchi, a perdu 1,1 milliard de dollars en se livrant à des opérations non autorisées. En 1997, Yasuo Hamanaka, de Sumitomo Corporation, cause une perte de 2,6 milliards de dollars. En 2002, Allied Irish bank apprend que son trader John Rusnak utilise des faux depuis plusieurs années pour jouer à la montée du yen contre le dollar, il a parié plus de 7,5 milliard alors