Sur Une Barricade Hugo

The Project Gutenberg EBook of Les misérables Tome V, by Victor Hugo This eBook is for the use of anyone anywhere at no cost and with almost no restrictions whatsoever. You may copy it, give it away or re-use it under the terms of the Project Gutenberg License included with this eBook or online at www.gutenberg.org Title: Les misérables Tome V Jean Valjean Author: Victor Hugo Release Date: January 15, 2006 [EBook #17519] Language: French Character set encoding: ISO-8859-1 *** START OF THIS PROJECT

lecture Quatre-vingt treize de Victor Hugo • Nom de l’auteur : Victor Hugo (1802-1885) • Titre : Quatre-vingt treize. Permier récit : la guerre civile aujourd’hui le livre s’intitule juste Quatrevingt-treize • écrit de décembre 1872 à juin 1873, publication chez Michel Lévy le 19 février 1874 1) les contextes • le contexte biographique Victor Hugo naît le 26 Février 1802 à Besançon, dernier des trois enfants de Sophie Trébuchet et de Léopold Hugo. Sa mère est d’origine vendéenne. Même

1830 : nous sommes sous Charles X qui a eu la mauvaise idée de prendre certaines mesures : il veut légitimer la monarchie absolue, supprimer la liberté de la presse… : le peuple parisien va se soulever, 3 jours de barricades : ce sont les 3 glorieuses. La femme enjambe des barricades, des corps, elle entraine un peuple avec son drapeau. Il s'agit d'une œuvre pleine de vitalité, d'action et d'audace. C'est l'union du peuple des faubourgs et de la bourgeoisie révolutionnaire, représentés par les

la prostituée Sarah la Louchette vers 1840). Comme De Quincey avant lui, l’accoutumance le fait augmenter progressivement les doses. Croyant y trouver un adjuvant créatif, il en décrira les enchantements et tortures10. En 1848, il participe aux barricades. La révolution de février instituant la liberté de la presse, Baudelaire fonde l'éphémère gazette Le Salut Public (d'obédience résolument républicaine), qui ne va pas au-delà du deuxième numéro. Le 15 juillet 1848, paraît dans La Liberté de penser

l'acquisition de coûteuses œuvres d'art et expérimenta les «paradis artificiels» de l'opium et de l'alcool. Malgré ses tendances catholiques et ses goûts aristocratiques, il accueillit avec joie la révolution de 1848, se montra en armes sur les barricades, fonda avec Champfleury et Toubin une feuille éphémère (le Salut public), et fut un moment lié avec Proudhon. Mais son train de vie ne tarda pas à écorner son héritage: pour éviter la dilapidation de sa fortune, son beau-père et sa mère le firent

recueil Les Contemplations publié par V. Hugo en 1856. Le dernier poème est un sonnet intitulé « Le Dormeur du val » extrait du recueil Poésies, publié par A. Rimbaud en 1870. Nous allons étudier le registre dominant de ces poèmes. Tout d’abord, on remarque que le sonnet de Ronsard et le poème de V. Hugo sont tous les deux lyriques. En effet, les poètes rendent tous les deux hommage à une femme : Ronsard célèbre Cassandre, la femme qu’il aime, alors que V. Hugo lui, évoque le souvenir de sa fille

Les Contemplations publié par V. Hugo en 1856. Le dernier poème est un sonnet intitulé « Le Dormeur du val » extrait du recueil Poésies, publié par A. Rimbaud en 1870. Nous allons étudier le registre dominant de ces poèmes. Tout d’abord, on remarque que le sonnet de Ronsard et le poème de V. Hugo sont tous les deux lyriques. En effet, les poètes rendent tous les deux hommage à une femme : Ronsard célèbre Cassandre, la femme qu’il aime, alors que V. Hugo lui, évoque le souvenir de sa fille

Les journaux sont suspendus. Certains continuent de publier mais la police intervient. Cette répression est immédiate et compromet la position des libéraux. Une révolution populaire : les Trois Glorieuses Nuit du 27 au 28 juillet 1830 : des barricades sont élevées, les armureries pillées. Des manifestation violentes ont lieus le lendemain « Vive la Charte. A bas la royauté ! » L'hôtel de ville est envahi et le drapeau tricolore et c'est sur l'édifice ainsi que sur Notre-Dame Lors de la journée

l’interdiction, des manifestants se réunissent sur la place de la Concorde aux cris de « Vive la Réforme ! A bas Guizot ! ». Louis Philippe ne s’inquiète pas de ces manifestants car selon lui les Français ne se révoltent pas en Hiver. 23 février 1848 : Les barricades sont levées et une fusillade éclate le même jour : Louis Philippe prend alors conscience de l’ampleur du mouvement. Il renvoi alors Guizot et le remplace par Molé puis par Thiers. 24 février 1848 : les républicains entrent en scène : Les insurgés

dénombre près de 60 000 en 1792. Des fêtes civiques ont lieu en 1793 près de l’arbre de la liberté. En 1848 les manifestations populaires d’adhésion à la République se sont souvent exprimées à l’occasion de la plantation d’arbres de la liberté. Victor Hugo, le 2 mars 1848, lors d’une telle cérémonie, déclarait sous les acclamations : « [...] C'est un beau et vrai symbole pour la liberté qu'un arbre ! La liberté a ses racines dans le cœur du peuple, comme l'arbre dans le cœur de la terre ; comme l'arbre