Surexploitation

dont l’unique préoccupation de chacun est de s’assurer que nous périssons tous ensemble. Que ce soit l’homme des villes ou de la paysannerie, nous payons tous les conséquences de la paupérisation des populations rurales, cause principale de la surexploitation des ressources naturelles. Car, une telle mentalité ne fait qu’accrocher notre communauté au régime du sous-développement. Face à nos ennuis, nous ne pouvons plus faire semblant d’ignorer la gravité et la délicatesse de notre situation. Donc,

côtières n’ont pas des stations d’épuration des eaux usées. [pic] Côte rocheuse souillée par du pétrole Source : http://www.marees-noires.com/fr/impact/pollution-du-littoral/sensibilite-ecosysteme.php La biodiversité est donc menacée par la surexploitation, mais aussi par la dégradation des milieux. Un autre facteur est le changement climatique qui a augmenté les risques naturels et affaibli les défenses des littoraux. Les érosions, les inondations, les tremblements de terre, dues au réchauffement

une superficie de 200 000 hectares. Elles sont dans un processus de dégradation par endroits et de régénération naturelle et / ou assistée dans d’autres endroits. Les facteurs de dégradation sont entre autres : la salinité, la sécheresse, la surexploitation des ressources, les activités hydro-agricoles (rizières), les activités touristiques agressives, le manque d’initiatives locales de protection, de conservation et de restauration des mangroves. Les conséquences sont connues des populations

L’écologie industrielle est elle une nécessité au sens économique du terme ? Nous pensons que l’écologie industrielle n’est pas une nécessité économique dans le court terme mais bien dans le long terme. En effet, de nos jours, le coût de la surexploitation des ressources et le rejet inconditionnel des déchets ne représentent pas un coût considérable aux entreprises. Les ménages se satisfont de leurs poubelles et des énergies qu’ils achètent à bas prix et, les réseaux d’eau et d’électricité ne présentent

environnementaux et sociaux dans les prix des biens et services. 2)Historique   Comment est née la notion de « Développement durable » ?   En 1971, le Club de Rome lance un vrai pavé dans la marre en publiant « Halte à la croissance ». Face à la surexploitation des ressources naturelles liée à la croissance économique et démographique, cette association privée internationale a créé en 1968, «  la croissance zéro ». En d’autres termes, le développement économique est alors présenté comme incompatible

internationales. La Communauté internationale est engagée dans débats difficiles où s'opposent souveraineté nationale et intérêt général de la planète.Le monde entier se réveille et les gouvernements ainsi que la population ont compris que la surexploitation des ressources naturelles conduisent notre plante son appauvrissement et valorisent l’inégalité de la population mondiale. En 1998 nous avons assisté la mise en place de nombreuses traites, accords ainsi que des déclarations sur tous les domaines

la prise de conscience des enjeux écologiques et humains à l'échelle planétaire remonte au début des années 70. → En 1971, le Club de Rome publie le rapport Meadows au titre provocateur : The Limits to Growth (Halte à la croissance). Face à la surexploitation des ressources naturelles liée à la croissance économique et démographique, le rapport pose la question de la pertinence de la poursuite indéfinie de la croissance. La croissance zéro y est prônée. → En 1972, se tient la Conférence de Stockholm

qui la composent. La réussite d'une telle politique passe aussi par l’acceptation de certaines contraintes pour les consommateurs, ainsi que  par le respect d'exigences de transparence et de participation des citoyens. Historique Face à la surexploitation des ressources naturelles liée à la croissance économique et démographique, le groupe de réflexion appelé Club de Rome créé en 1968, prône la croissance zéro. Ce groupe rassemble des scientifiques, des économistes, des fonctionnaires nationaux

tourisme, la limitation du nombre de visites, etc. Malheureusement, ces contrôles sont, dans la plupart des cas, réalisés seulement après que les atteintes à l’environnement soient à déplorer, triste résultat d’une expansion incontrôlée, d’une surexploitation des ressources et du site, d’une gestion des déchets non maîtrisée, etc. Encadré 2.2 Exemple : Réglementation du développement aux Maldives En raison de la taille modeste et de l’environnement fragile des Maldives, tout développement du tourisme

ces systèmes nécessitent beaucoup d’espace, alors que la croissance démographique augmente la pression sur les ressources naturelles disponibles. Cela est d’autant plus vrai que la pratique pastorale de ces populations reste tributaire d’une surexploitation des ressources (sol, eau, végétation, etc.) avec comme corollaire la fragilisation et l’érosion des terres. A cela, s’ajoute la précarité des conditions climatiques caractérisées par une mauvaise répartition des précipitations dans le temps et