Surexploitation

Orient.. Dans les pays en dvlpmt, surtout dans les zones arides nous pouvons craindre a des pénuries. SOLUTIONS : Il faut freiner le rythme d'exploitation de l'eau comme avec les barrages dont le cout est contesté. Il faut empêcher la surexploitation des nappes phréatiques, car lorsque le niveau des nappes baisse, de l'eau saumâtre se crée ( eau salée). Il faut lutter contre le gaspillage de l'eau, ménagers, agriculture en améliorant les moyens d'irrigation. (Au Pakistan seulement 40%

De pétrole, de gaz, d'uranium,d'air,d'eau" ; l'écrivaine explique clairement que ce qui "nous" arrive est de notre faute et que la nature reprend ses droits.L'écologie, mais aussi la survie des hommes risque d'être touchées, par exemple la surexploitation croissante de feuilles de papier engendre la déforestation notamment celle de la forêt amazonienne qui est le poumon de la terre et sans elle l'homme serra privé d'oxygéne .L'utilisation de gazs à effet de serre a crée un trou dans la couche

détermination de vaincre la nature amène à conséquence un enjeu environnemental inéluctable : l'exploitation de la nature provoque notre propre fin. En effet, du fait de notre société industrielle les aléas comme le réchauffement climatique, la surexploitation des ressources (renouvelable ou non) la disparition aussi bien de certaines espèces animales que de ressources énergétiques amenant à la fin de l'existence humaine. L'humain vit grâce à la durabilité de la nature, c'est incontestable. Sans elle

L’énergie géothermique Avantage : C’est une énergie qui ne produit aucun déchet et sa ressource reste inépuisable tant que la qualité d’énergie géothermique captée est inférieure à la chaleur qui provient du centre de la Terre. Inconvénient : La surexploitation d’un gisement entraine une chute de température du sous-sol ce qui fait que la qualité du gisement baisse progressivement jusqu’à ce qu’elle s’épuise complètement. En outre, il peut y avoir une concurrence entre l’eau qui est pompée pour sa chaleur

s’imposent pour arriver à atteindre toute la surface de Madagascar. Pour ce faire une politique de conscientisation s’avère nécessaire afin de prévenir les populations des conséquences désastreuses de la disparition de ces espèces suite à une surexploitation et espérer ainsi leur coopération dans la préservation de ces spécimens.

l’espèce ne peut plus y survivre donc elle s’éteint. Ça peut arriver à cause de plusieurs effets comme la pollution de l'environnement, ou limiter les capacités de l’espèce à chasser dans la nature ou à se défendre contre les autres espèces. La surexploitations des espèces vivantes et de ressources à travers la pèche, la chasse, le commerce ou l'utilisation du bois, a causé la disparition de nombreuse espèces animales, végétales au cours de ses derniers siècles. L'homme a aussi développer un commerce

la flotte, elle doit croître actuellement à un rythme annuel de près de 2,5 à 3% malgré la stabilisation de la puissance motrice par les mesures réglementaires. De ce fait, même si les mesures biologiques de gestion semblent bien adaptées, la surexploitation économique est déjà largement atteinte. Par la passé, la rade de Brest a longtemps été le principal gisement dans la région. Après un effondrement dans les années 60 et 70, son potentiel de production allait croissant depuis plusieurs années

d'autres, favorisées par certaines substances (comme les algues). Mais dans cet exemple on ne parle que de la suppression des haies, on peut alors imaginer l'ampleur des conséquences sur la biodiversité des espèces à cause des déforestations. La surexploitation des espèces est également une des grandes causes de la baisse de la biodiversité. La chasse menace 40 % des espèces de vertébrés (comme l'éléphant, le rhinocéros, le bison, le grand pingouin, le tigre ou une autre de ces espèces emblématiques)

également selon les zones géographiques. D'ici à moins d'un demi siècle, c'est 15% à 50% de la biodiversité animale et végétale qui risque de disparaître. 60% des services écologique rendus par la nature seraient en grand danger de fait de leur surexploitation par l'activité humaine. C'est le cas par exemple pour l'eau douce, les ressources maritimes, le réchauffement atmosphérique... Les experts scientifiques sont pour la plupart d'accord pour parler d'une sixième extinction de masse de la vie sur

retombées négatives sur l’environnement et la qualité des relations sociales. 1. L’épuisement des ressources ? →doc20p34 : Il y a un risque d’épuisements des ressources primaires non renouvelables, des conséquences environnementales et une surexploitation. 2. Les dégâts environnementaux →doc21p34 : La production industrielle croissante, l’automobile, les avions entraînent des gaz à effet de serre. Les dégâts environnementaux par la pollution de l’eau, de l’air, sonore ou la surconsommation